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Marc Bruxman

Ingénieur, scientifique, et passionné de politique, je m’intérésse particuliérement aux rapports entre le progrés techniques et les conditions sociales des gens.  

Tableau de bord

  • Premier article le 09/06/2006
  • Modérateur depuis le 07/09/2006
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Ses articles classés par : ordre chronologique













Derniers commentaires



  • Marc Bruxman 5 septembre 2012 02:35

    C’est plutot le premier fournisseur que le premier client. Parce que sinon je connais plus d’un entrepreneur qui serait super content ;) M’enfin je dis ca je dis rien...



  • Marc Bruxman 4 septembre 2012 20:06

    "Il y a du chômage parce que nous le voulons bien...

    De multiples plus-values réduites à néant, notamment par le biais
    du syndrome du « tout gratuit », par la faute de l’internet.

    Un exemple concret, goutte d’eau parmi l’océan :
    le site leboncoin, donnant du boulot à une dizaine de salariés, avec ses annonces gratuites, qui a coulé la société Paru-Vendu, avec annonces payantes, avec au final plus de 1300 (mille trois cent) chômeurs."

    Ce n’est pas que nous le voulons bien mais vous avez au moins compris ce qui se passe. Grâce à la technologie, nous faisons avec 10 personnes ce qui se fesait avant avec 1300. Ce n’est pas fini, cela n’est que le début. Mais vous oubliez qu’au final 60 Millions de personnes - 1300 ont bénéficié de ce service. Ils peuvent passer des petites annonces gratuitement.

    "Actuellement, des centaines de milliers d’activités dans tous les domaines sont réduites à néant du fait de ce syndrome du "toujours moins cher« ou carrément »tout gratuit« . »

    Ce n’est pas un syndrome, c’est réduit à du gratuit car cela ne vaut plus rien. Le bon coin est rentable, de même que fotolia (pour en prendre un autre qui fait polémique). Si la technologie permet d’avoir quelque chose pour presque rien, alors il est dans l’intérêt collectif de le faire.



  • Marc Bruxman 4 septembre 2012 19:23

    On continue de prendre le problème à l’envers. Le plein emploi n’est probablement plus atteignable. La plupart des travaux « bas de gamme » sont maintenant automatisable et ce que peut faire la machine monte petit à petit en gamme. En clair, en dessous d’un niveau de formation non négligeable, vous êtes assurés d’être soit cantonné à des emplois de service non automatisables (coiffeur, femme de ménage, hotesse d’accueil, nounou, ...) soit au chomage.

    Problème : Cela n’est pas fini. De nombreuses grosses entreprises sont relativement inefficaces. Prenez les banques par exemple et allez souscrire un crédit. Combien d’opérations manuelles sur papier ? Une tonne. Tout cela pourrait être grandement optimisé. Cela le sera. Une tonne de choses dans nos vies pourraient être grandement optimisées si par exemple on permettait l’échange électronique de document signés électroniquement. Des heures de gagnées chaque année pour tout le monde, des centaines de milliers d’emplois sacrifiés. Mais cela viendra.

    Alors que faire ? Pourquoi ne pas penser au dividende universel ? Il y a des gens qui n’auront plus jamais de boulot et il ne sert à rien de les stigmatiser. Remplaçons les allocations chomages et toutes les aides de la CAF par un DU. Cela fournira un filet de sécurité minimal à ceux qui ne bosse pas, ne créera pas de trappe à chomage (cela favorisera ainsi l’emploi), ne coutera rien à fliquer et supprime un argument récurrent sur « l’assistanat ». (Vu que le riche touche le DU comme le pauvre).

    Investir dans l’éducation permettra à plus de gens de rester dans le système (à condition de former à des choses utiles), mais ne permettra pas de retrouver le plein emploi. Alors autant trouver un moyen de s’éloigner de la valeur travail.



  • Marc Bruxman 4 septembre 2012 19:04

    Comparer le prix des produits achetés en Chine au prix du produit vendu par la grande distribution est méconnaitre un truc. Un supermarché ca coute TRES cher à exploiter.

    Ce que vous ne voyez pas c’est :

    • Le coût du foncier (terrain) et de la construction d’un hyper. Ainsi que la maintenance du batiment et des installations.
    • Le coût de l’apport en énergie pour tout ce qui est alimentaire notamment (les gros frigos de rayons consomment parfois jusqu’à 1 mégawatt). D’ailleurs pour l’écologie, l’hyper avec ses frigos « ouverts » c’est très mal.
    • Toute la logistique pour mettre les produits en rayon, suivre les DLC.
    • La monétique, oui la gestion de tout le liquide que vous payez à la caisse afin de faire en sorte que tout cela soit sécurisé.
    • Les frais de sécurité et de gardiennage. 
    • Les entrepots de stockage et la gestion de la centrale d’achat.
    • La logistique pour amener les produits de la centrale d’achat au point de vente final. 
    • La pub pour amener le client final au magazin.

    Tout cela, c’est payé a des entreprises bien européennes et cela coute très cher. Je ne plains pas les hypers, ils vivent bien et font de gros bénéfices. Mais comparer le prix d’achat au producteur au prix de vente final est tout à fait fumeux. 

    D’ailleurs, le même produit si vous le trouvez en Chine vendu dans un hypermarché sera probablement cher. (Moins cher mais pas forcément donné). La vérité c’est que vendre a un coût et que ce coût est de plus en plus élevé. Mais sachez que vivre dans une ville de 10 millions d’habitants et avoir tous les jours des légumes, des fruits de la viande et de multiples produits livrés sans se fatiguer tient du miracle. On l’a juste oublié. Mais faites venir en France quelqu’un qui vit dans le tiers-monde et il vous dira ce qu’il pense du supermarché.



  • Marc Bruxman 3 septembre 2012 20:03

    Il le connait déja (Franprix, Monoprix et autres se portent très bien).

    Ne manque plus que des grandes surface de proximité en zone dense. Il y en a quelques unes à Paris mais trop peu. Mais effectivement les hypers trop loins des zones denses vont souffrir, mais cela concernera toute la zone dans laquelle ils sont...

    Dans 15 ans, on ne parlera plus des banlieues, on parlera du périurbain et de la ruralité. Ce sera la nouvelle zone.

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