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Martin sur AgoraVox

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Martin sur AgoraVox habite dans un village et travaille dans une grande ville.

Tableau de bord

  • Premier article le 28/03/2007
  • Modérateur depuis le 21/05/2007
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Ses articles classés par : ordre chronologique













Derniers commentaires



  • Martin sur AgoraVox Martin sur AgoraVox 21 août 2014 17:48

    Cette allégation concernant les frontières circule sur le net mais il ne faut pas s’y fier.
    Si le fait juridique au niveau ONU était avéré alors la Russie aurait pu depuis longtemps agir pour mettre l’Ukraine en échec.
    Faites une recherche sur internet (il faut comprendre au moins l’anglais et si on veut lire l’article à l’origine de la « rumeur » il faut comprendre le russe) et vous pourrez vérifier qu’il faut se méfier de cette histoire de frontières pas reconnues par les pays voisins de l’Ukraine.
    En substance on retient que puisque les tracés des frontières sont reconnus dans les faits (la Russie et l’Ukraine et les autres pays limitrophes ont depuis de nombreuses années installé des postes-frontières) alors ces frontières ont une existence juridique.



  • Martin sur AgoraVox Martin sur AgoraVox 21 août 2014 14:36

    La manipulation de l’opinion publique est une technique très au point.

    Concernant le sujet de cet article, en l’élargissant un peu, il est pertinent de se demander qui manipule l’opinion occidentale et dans quel but. Le stéréotype de cette manipulation est : « Putin est un dictateur, en Russie c’est l’oppression, les pays occidentaux, conduits par l’Amérique d’Obama, sont l’exemple à suivre de la démocratie … etc. ».

    Alors comment fonctionne cette manipulation, cet endoctrinement des occidentaux, qui manipule et qui est manipulé ?

    « Même si certains obéissent probablement à un agenda caché ou que d’autres n’osent pas se démarquer, il est stupéfiant de voir que des journalistes ou des politiciens a priori intelligents, équilibrés, cultivés et sincères s’enferment dans une grille de lecture unique ! Et de là, on peut difficilement blâmer la vaste majorité de la population de se retrouver avec les mêmes œillères que les faiseurs d’opinion. »

    Je suggère de lire la suite dans l’article « L’opinion publique est dominée par un égrégore ».

    Ça nous fait réfléchir … mais ça devrait surtout nous amener à trouver un moyen de changer cet état des choses…

    Car nous ne voulons certainement pas être conduits là où ILS veulent nous conduire.



  • Martin sur AgoraVox Martin sur AgoraVox 19 août 2014 12:26

    « LE REFUS DE L’AMALGAME : L’ISLAMISME N’EST PAS L’ISLAM » : c’est faux, l’islam c’est la violence.

    Ce qui amène à prendre position contre l’islam, ce ne sont pas le préjugés, ni les névroses, ni la paranoïa ; ce qui amène à prendre position contre l’islam ce sont les faits, les bases sur lesquels repose l’islam.

    Affirmer que l’islam est une religion comme une autre : ça c’est un préjugé.

    Non, nous ne pouvons pas accepter de regarder l’islam en France comme une religion comme une autre. Car l’islam n’est pas une religion comme une autre.

    Contrairement à l’idée que l’on cherche à répandre en France, notamment à travers les programmes de l’enseignement public obligatoire, il faut retenir que toutes les religions ne se valent pas.

    L’islam est un danger pour les Européens : l’islam attaque les fondements de la société européenne, la progression de l’islam détruit les valeurs européennes.

    La propagation de l’islam en Europe est une agression contre l’identité européenne.

    L’identité des Européens est bâtie sur des fondations qui contiennent un grand nombre d’éléments d’origine chrétienne : par exemple la société européenne applique les principes moraux issus de l’enseignement chrétien. Ainsi la laïcité a été inventée par les Européens en appliquant le principe chrétien de tolérance.

    Une précision sur la tolérance : être tolérant cela ne signifie pas qu’on doit accepter de subir passivement l’intolérance des autres. La tolérance qu’ont adoptée les Européens, qui sont globalement d’ascendance culturelle chrétienne, ne doit pas leur interdire de s’opposer à l’expansionnisme agressif des musulmans. La tolérance s’arrête là où commence l’agression. L’islamisation de l’Europe, facilitée par les cercles politiques au pouvoir, qui sont les collaborateurs de l’islamisation, cette islamisation qui se répand contre la volonté de la majorité des Européens, est une agression et lorsqu’on est agressé on a le droit de s’opposer à l’agression par tous les moyens qui s’avèrent nécessaires.

    Le recentrage des Européens sur les valeurs chrétiennes apparaît nécessaire et urgent à cause de la progression très rapide de l’islam en Europe. C’est là, à propos de l’acceptation ou du refus de l’islamisation, qu’est mise en avant la question de la tolérance. Il y a sur cet aspect de la tolérance et de l’intolérance une grande différence entre l’islam et la chrétienté.

    Éloignons nous un instant des textes qui définissent les deux religions et intéressons nous aux messages qu’ont laissé Jésus et Mahomet par l’exemple-même de leur vie.

    Intéressons nous donc aux faits de leur vies.

    Jésus n’a jamais appelé à propager par la force la religion chrétienne. Alors que Mahomet a appelé à l’intolérance : il a personnellement propagé l’islam par la guerre, par la violence. L’enseignement de Mahomet, l’exemple qu’il a donné, contient une dose certaine d’incitations à la haine.

    Certains rétorqueront que la chrétienté a aussi été souvent imposée par la violence. À cela il faut répondre que ceux qui ont utilisé la violence pour propager la chrétienté sont seuls responsables de leurs actions : ils n’ont pas agi en accord avec les enseignements de Jésus, le prophète chrétien. Par contre ceux qui cherchent à imposer l’islam par la violence sont en accord avec la doctrine qu’enseignait Mahomet et même avec les actions guerrières, avec la violence, avec le vol que pratiquait personnellement, le sabre à la main, Mahomet, le prophète de l’islam.

    Concernant la tolérance de certaines religions et l’intolérance d’autres religions observons aussi que Mahomet, le prophète de l’islam, a défini clairement les règles de l’islam comme devant être les règles politiques – les lois – de la société dans laquelle vivent les musulmans. Alors que Jésus a clairement séparé le domaine politique – « Donnez à César ce qui est à César … » – du domaine religieux.
     
    Insistons encore sur le fait suivant : contrairement à l’idée que l’on cherche à répandre en France, notamment à travers les programmes de l’enseignement public obligatoire, il faut retenir que toutes les religions ne se valent pas. Les origines culturelles des Européens actuels sont chrétiennes et retenons que la chrétienté a façonné l’identité des Européens.

    L’islamisation de l’Europe est une agression contre l’identité des Européens indigènes.

    Comment se propage et s’impose l’islam :
    là où il n’y a pas de résistance, comme en Europe car les gouvernants y interdisent toute forme de résistance, on constate que les coutumes musulmanes, les règles communautaires et la charia s’installent progressivement grâce à l’attitude naïvement trop tolérante des populations indigènes,
    là où islam rencontre de la résistance, par l’extermination de ceux qui n’adhèrent pas :
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  • Martin sur AgoraVox Martin sur AgoraVox 11 août 2014 17:33

    Comment se propage et s’impose l’islam :
    là où il n’y a pas de résistance, comme en Europe car les gouvernants y interdisent toute forme de résistance, on constate que les coutumes musulmanes, les règles communatutaires et la charia s’installent progressivement grâce à l’attitude globalement tolérante des populations indigènes,
    là où islam rencontre de la résistance, par l’extermination de ceux qui n’adhèrent pas :
    voir la vidéo



  • Martin sur AgoraVox Martin sur AgoraVox 31 janvier 2014 23:01

    D’après les règlements actuels de l’Union européenne, l’une des conditions d’accessions à l’Union européenne, est que l’État candidat soit un État européen. La définition de ce que signifie « européen » n’est pas donnée dans les textes et il n’est pas clair si cela se réfère à la géographie ou à d’autres aspects. Les formulations ambiguës permettant des interprétations diverses sont fréquentes dans les textes législatifs : les imprécisions est voulues afin que l’application des textes puisse être modulée selon les forces socio-politiquent qui prévalent à un moment donné, en somme selon les lobbies qui influencent les cercles du pouvoir au mépris de la démocratie et de l’impartialité des lois.

    Ceci-dit « un État européen », en dehors du sens géographie pourrait aussi être entendu dans le sens historique, culturel, racial. Ces critères non-géographiques pourraient donner alors aux dirigeants de l’UE la justification à l’adhésion du Chypre.

    La France, la Grande Bretagne, l’Espagne et la Hollande ont une part de leur territoire sur d’autres continents. La France est-elle pour autant un État américain ou asiatique ? La condition qui décide si un État est un État européen, serait donc que la capitale et la majorité de la population au moment de l’adhésion, soient sur le continent européen.

    On pourrait imaginer qu’un État européen vende une part de son territoire européen à un État non européen. Des transactions de ce genre ont déjà eu lieu (exemple d’un gros territoire : Alaska - racheté à la Russie par les États-Unis d’Amérique en 1867), donc ce n’est pas une hypothèse utopique. Avec ce bout de territoire en Europe l’État non européen pourrait-il prétendre qu’il est devenu européen ? Non, donc il ne suffit pas qu’un bout de territoire soit sur le continent européen pour être géographiquement un État européen : il faut que la capitale ainsi que la grande majorité de la population soient sur le continent européen.

    La Fédération de Russie, dont la capitale ainsi que la grande majorité de la population sont sur le continent européen, est donc selon ces critères un État européen et pourrait donc rejoindre l’UE.

    Par contre on pourrait aisément argumenter que la Turquie, selon les critères « capitale, majeure part de la population », n’est pas un État européen.

    Mais comme nous l’avons vu avec le cas du Chypre les critères politico-démographico-géographiques ne sont pas les seuls qui jusqu’à présent ont été retenus. L’exception est le cas du Chypre où ce sont les critères raciaux et culturels qui ont manifestement fourni la définition de ce qu’est «  un État européen ».

    Alors qui et selon quels critères décide à quels pays on peut lancer les invitation et quelles demandes d’adhésion on peut envisager ou accepter ? Une chose est sure : ces décisions ne sont pas prises selon les règles démocratiques de conformité avec la volonté de la majorité des citoyens qui désirent s’exprimer sur la décision. Dans l’Union européenne la volonté de la majorité des citoyens n’est pas respectée sur de nombreux points.

    Alors comment, dans quelle direction devrait s’élargir l’Union européenne ?

    Pendant des siècles et des millénaires, les populations sur le continent européen se sont mélangées de manière permanente. C’était un mélange isolé à l’intérieur d’une branche particulière de l’humanité qui s’est développée sur une aire géographique qui, en passant au nord de la mer Caspienne, réunit le continent européen à la Sibérie et à l’orient russe jusqu’à Vladivostok. Au fil des millénaires une identité est ainsi apparue, associée à une identité culturelle, puis religieuse. Cette aire géographique, de Lisbonne en passant au nord de la mer Noire et de la mer Caspienne jusqu’à Vladivostok, devrait correspondre à la zone limite maximale pour l’expansion potentielle de l’Union européenne.

    Progressivement, lorsque les conditions d’harmonisation juridique et économique seront réunies, l’Ukraine, la Russie et les autres pays de l’est européen pourraient recevoir l’invitation à rejoindre l’Union européenne.

    Mais non, ceux qui ont le pouvoir ont décidé que c’est vers le sud que doit s’élargir l’Union européenne, vers l’islam et vers les Turcs. Les représentants des gouvernements des 27 États membres de l’Union européenne ont décidé, le 28 mars 2007, la poursuite des pourparlers avec la Turquie, en choisissant de continuer le processus de passage en revue des 35 chapitres de mise en conformité qui conditionnent l’adhésion.

    Ce genre de décision doit être pris à l’unanimité des États membres. Il y a actuellement 28 États membres. Donc chacun des 28 gouvernements devrait d’abord être certain de représenter la volonté majoritaire de ses citoyens avant d’inviter la Turquie à rejoindre l’UE.

    Concernant l’adhésion de la Turquie la majorité des citoyens européens est contre mais les politiques et en général les cercles au pouvoir (médias, milieux d’affaires...) ont décidé qu’il faut passer outre, qu’il faut ignorer la volonté de la majorité des citoyens européens et donc ont décidé d’appeler la Turquie à entrer dans l’UE.

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