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mfrance

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  • mfrance 12 mars 2008 12:21

    Je ne vous insulte pas Monsieur " MESCALINA" fait en de même !

    Vous n’avez pas bien lu mon article, Monsieur.

    J’essaie simplement d’expliquer  : Quand on laisse champs libre à l’opposition, quand on organise si mal une campagne électorale et quand on se rapproche de Bompard....( et qu’en plus on ne l’ assume pas !)

    On serre sur un plateau un 3ème mandat.

    Une bonne partie de la population est aujourd’hui et encore pour 6 ans de plus, bien malheureuse Monsieur. 

    Le cas Orange est beaucoup plus complexe que vous ne pouvez l’imaginer.

     

     



  • mfrance 12 mars 2008 12:09

    Concernant l’urne perdue dans la nuit de dimanche à lundi :

    Quelqu’un aurait-il plus d’info ?

    Ils y a des infos qui passent quasi inaperçues ....

     



  • mfrance 12 mars 2008 11:58

    L’article qui suit mon commentaire( voir en bas), peut répondre à certaines de nos questions et surtout expliquer pourquoi Bompard n’est pas inquiété à Orange par l’UMP !

    En 2007 Le maire d’Orange a tenté officieusement de se rapprocher de Sarkozy, qui l’aurait repoussé ...officiellement bien sur !

    Résultat la liste UMP d’Orange à eu 3 candidats en quelques mois ( Mariani trop occupé à se rapprocher des cieux, Agostini trop passionné par le massage, d’ailleurs ça l’a perdu.

    Au final ils nous ont présenté un type bien, Vielfaure, mais propulsé au dernier moment et surtout inconnu des Orangeois. P’tit village !

    La victoire de Bompard lui a été servie sur un plateau par Sarko !

     
     
    PARIS, 13 sept 2007 (AFP) - Leurs piètres résultats à la présidentielle (2,23%) et aux législatives (1,2%) digérés, les villiéristes du Mouvement pour la France se fixent désormais comme objectif de renforcer leur ancrage local grâce à un accord avec l’UMP pour les prochaines municipales et les cantonales.
    Les cadres du mouvement se réunissent samedi et dimanche à Lyon pour "donner un visage définitif" à la stratégie du parti pour les mois à venir, selon le jeune secrétaire général, Guillaume Peltier.
    Loin du discours "antisystème" tenté par Philippe de Villiers au début de sa campagne présidentielle pour séduire l’électorat FN, le MPF se présente aujourd’hui comme un parti à la droite de l’UMP, indépendant de celui-ci mais le cas échéant partenaire.
    "Nous sommes la droite décomplexée qui ne cède pas", explique M. Peltier, qui veut pour le MPF une posture semblable à celle des Verts à gauche : nettement démarqué du parti majoritaire sur certains thèmes nationaux, mais allié avec lui sur le plan local.
    Participer à une liste UMP aux municipales n’oblige en rien les membres du MPF à renier leur rejet de la construction européenne, fait-il ainsi valoir. En revanche, ils peuvent très bien collaborer avec le parti de Nicolas Sarkozy pour une baisse de la fiscalité, des mesures en faveur de la petite enfance ou en matière de sécurité.
    Guillaume Peltier et le député européen Patrick Louis ont donc une série de rendez-vous avec le secrétaire national aux élections de l’UMP, Alain Marleix, avec en ligne de mire un triplement du nombre d’élus locaux MPF, "de 150 aujourd’hui à 500 demain".
    "L’idée générale, c’est qu’il y ait des alliances dès le premier tour, avec un certain nombre de candidats MPF sur les listes" menées par l’UMP, ce qui n’empêcherait pas des listes autonomes du MPF dans certaines villes, explique M. Peltier.
    Ainsi à Orange et Bollène (Vaucluse), où l’ex-FN devenu MPF Jacques Bompard et son épouse Marie-Claude devraient mener des listes, à Saint-Claude (Jura) où le maire sortant, le MPF Jean-Louis Millet, se représente, ou encore à Mamers (Sarthe) où la présidente du MPF de la Sarthe, Cécile Bayle de Jessé, pourrait mener une liste.
    Le réancrage assumé dans le camp de la droite rassure tous ceux qui au MPF s’inquiétaient du manque de clarté de Philippe de Villiers sur ce thème pendant sa campagne présidentielle, comme ses barons vendéens.
    Au soir du premier tour, Philippe de Villiers, crédité de 2,23%, avait refusé de se positionner par rapport à M. Sarkozy, avant d’appeler à voter pour le candidat UMP trois jours plus tard.
    Pour les législatives, le MPF s’était déjà inscrit dans la "majorité de droite", voire carrément dans la "majorité présidentielle" en Vendée, le fief de M. de Villiers.
    "Je me sens beaucoup mieux et on est nombreux dans ce cas", a déclaré à l’AFP un des cadres du parti, soulignant qu’une bonne partie des militants de sa région viennent de la droite classique.
    Les cadres venus de l’extrême droite ne sont pas forcément choqués par cette évolution, comme l’explique Damien Bariller, qui fut le bras droit de Bruno Mégret avant de rejoindre le MPF au printemps 2006.
    "A partir du moment où on ne sert pas de supplétif ou de faire-valoir, je n’y vois pas d’inconvénient", a-t-il indiqué à l’AFP, en rappelant que la vie municipale était "une façon pour le MPF de se frotter au concret".
    lby/so/def
     

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