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Michel CARRIERE

Michel CARRIERE

Citoyen du Monde, Partisan de la construction d’une Europe Unie, Humaniste, Utopiste, Socialiste et Répubicain, dans la filiation de Proudhon, Jaures, Blum ; "l’âme toute rongée par de fichues idées" ; au delà de tout conformisme de pensée, de clan ou d’appartenance, pour une humanité meilleure et plus éclairée, dans la dignité de ses vertus.
Biographie
Né en 1951 à Meknès au Maroc j’ai passé les 11 premières années de ma vie dans ce pays.
J’y ai acquis une culture multiple, Française, Orientale et Maghrébine, j’y ai approché et gouté la culture du Livre et les cultures plus anciennes qui relient l’Humain et l’Univers.
Rapatrié en France en 1962, j’ai rencontré et l’ostracisme (voir le “racisme”) de mes compatriotes (tant de la part de mes camarades de 6ème que de celle de certains professeurs) et la vraie camaraderie, la vraie fraternité.
Cela m’a permis d’être vacciné, à tout jamais contre le racisme et la xénophobie : ne fais pas autrui ce que tu ne voudrais pas que l’on te fasse !
Dyslexique et dysorthographique, avec une forte dose dose de méthode globale, j’ai appris que le temps était un ami fidèle, le seul qui pouvait m’aider à atteindre ce qui ne dépendait que de moi , dans la réalisation des mes espérances, tout au long de ma vie.
Après une maitrise en droit public, des cours aux conservatoire d’art dramatique de Marseille, un master en PNL, diverses expériences et divers itinéraires tant spirituels que politiques, motivés, pour la plupart par un”certain manque de maturité” et un “goût prononcé de la contradiction : Pour tout ce qui est contre et contre tout ce qui pour” et une “autoanalyse” pour laquelle je remercie Sigmund Freud, Karen Horney et Jacques Lacan, j’ai, plutôt tardivement, trouvé un équilibre, qui me permet de concilier ma passion de la “Chose Publique”, notre bien commun, et la nécessaire harmonisation entre les opinions différentes, selon la maxime de Lacordaire, “Plutôt que de convaincre d’erreur mon interlocuteur, je veux, avec lui, m’élever vers une vérité plus haute”.
J’exerce la profession de consultant interne en gestion des ressources humaines
Centres d’intérêt
Psychanalyse, Sciences Humaines : Philosophie, Antrophologie, Sociologie, Religions, “Traditions et Cultures”, Esthetique, Lecture, Musique etc
Politique, goût de la “Chose Publique”.
Aiki-Do, Tai-Chi, Navigation, Marche, Equitation etc
Des phrases qui m’accompagnent :
1°) “La liberté n’est possible que dans un pays où le droit l’emporte sur les passions”
2°) “Tout ce qui s’est fait de grand dans le monde, s’est fait au cri du devoir ; tout ce qui s’y est fait de misérable s’est fait au nom de l’intérêt”
3°) Tace et Sile.
4°) Per ardua ad astra, Fortitudo.
5°) Humani nihil a me alienum.
6°) La puissance des tyrans n’est due qu’à la lacheté des peuples.
7°) Unité et indivisibilité de la République, Liberté, Egalité, Fraternité ou la Mort
8°) Je ne partage pas votre avis, mais je je me battrai jusqu’au bout pour que vous puissiez l’exprimez
9°) A cette heure, la difficulté n’est pas de faire son devoir, mais de savoir où il est !

Tableau de bord

  • Premier article le 17/01/2007
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Derniers commentaires



  • Michel CARRIERE Michel CARRIERE 27 janvier 2007 03:19

    Merci pour la citation de Pierre DAC, elle est à méditer et mettre en pratique. Elle rejoint d’ailleurs celle-ci, du même auteur, « parler pour ne rien dire et ne rien dire pour parler, telle est la devise de tous ceux qui feraient mieux de la fermer avant de l’ouvrir »  smiley



  • Michel CARRIERE michel_carriere 22 janvier 2007 23:36

    Monsieur BILGER,

    Merci pour votre article. La question n’est pas d’ailleurs tant celle de « à qui appartient Jean JURES » que celle de « qui peut se réclamer de la pensée et des idéaux de Jean JAURES ».

    Et, comme vous, je dirais « Toutes celles, tous ceux qui en ont le désir ».

    Voter « à doite » ou « à gauche » cela ne disqualifie ni ne qualifie personne, c’est un choix, économique, politique qui ne dit rien de la valeur humaine de la personne qui le fait, ni de celle de ses idéaux.

    Bien sûr, l’histoire de ces derniers siècles a permis de constater que les grands idéaux étaient souvent portés par celles et ceux qui se reclamaient de la gauche, sans pour autant disqualifier celles et ceux qui se réclamaient de la droite et qui aspiraient , eux aussi, à l’équité , selon des formes parfois paternalistes, peut-être, mais non dépourvues, pour autant, de générosité.

    Chacun, avec son modèle, aspirait à une société plus juste, qui « récompensait la vertus et bannissait les vices » et donnait à chacune et chacun « sa juste place » (toute la question étant d’ailleurs de savoir qu’elle était cette juste place).

    Je suis, quant à moi, persuadé que celles et ceux qui prennent comme référence la pensée de Jean Jaures aspirent à un monde meilleur, et se réclament du meilleur de ce que, selon moi, peut créer la communauté des Humains, malgré son aspect utopique.

    Quand Nicolas SARKOZY fait référence de Jean JAURES, je me dis,« tiens, voilà un point qui nous est commun, une valeur que nous partageons ».

    Car je préfère les femmes et les hommes qui jettent des ponts sur les abîmes que celles et ceux qui construisent des fossés pour séparer Etres Humains que nous sommes.

    Je crois que l’expression de la Pensée doit être libre, respectée, entendue et débattue, à défaut de sombrer dans la pensée unique, voire la dictature !

    c’est la raison pour laquelle, je vous remercie d’avoir proposer une vision prenant en compte la complexité des engagements qui sont les nôtres.

    Michel Carrière



  • Michel CARRIERE Michel CARRIERE 18 janvier 2007 01:36

    Je remercie l’ensemble des lecteurs qui ont pris le temps de partager leur point de vue.

    Peut-être peut-on y voir un exemple de ce que peut être la coopération.

    Je rajouterai quelques commentaires :

     smiley utopiste, anachiste, avec ou sans majuscule sont des termes que j’accepte volontier, même si je me situe plus dans la tradition des socialistes utopistes et certainement dans ce que l’on peut appeler la sociale démocratie (dans son sens le plus noble).

    En effet, « je rêve toujours à des lendemains qui chantent et je reste persuadé que l’on ne les construit pas avec des aujourd’hui qui pleurent » !

    J’ai eu l’occasion de travailler dans des postes très peu qualifiés, et aussi de faire de l’encadrement de « premier niveau ». Je m’inscris en faux quand je lis qu’il n’est pas possible, dans ce cas de figure, d’établir de relation de coopération, car il faut un responsable, un chef, qui organise, commande et dirige. J’ai eu, au début de ma vie professionnelle, l’occasion de travailler avec ce que l’on qualifie de « managers démocratiques » (et aussi, pour être honnête, charismatiques) qui savaient mobiliser leur équipes sans jamais faire jouer la relation d’autorité, et qui savaient aussi valoriser chacun des membres de l’équipe qu’il manageait.

    L’économie de la compétence, la société du savoir, qui sera celle de demain, peut permettre à chacun d’exceller dans ses propres domaines de compétences sans entrer dans des luttes de pouvoirs ou des « compétitions d’Ego ». Quand, dans un groupe, qu’il soit de travail, de reflexion etc chacun se sent reconnu à sa juste valeur, et voit son activité valorisée, les compétitions d’Ego, qui souvent ne sont que l’expression d’une simple volonté d’exister, cessent de se manifester.

    La référence à l’Ego, bien sûr, existe et existera ! A une nuance prêt, cependant ! C’est que, dans une société et une économie de la connaissance, l’affirmation de l’Ego passera par la capacité à partager, recvoir et trransmetre. Partager, cela veut dire donner et recevoir, chacun étant potentiellement, alternativement ou non, dans les deux rôles. Cela construit les liens d’interdépendance, qui permettent de créer une relation égalitaire.

    Cette société de la connaissance est le contraire d’un jeu à somme nulle où il doit y avoir un perdant et un gagnant. Ce serait plutôt une société de profit mutuel dans laquelle ce que gagne l’un, non seulement ne dépossède pas l’autre, mais encore l’enrichit.

    Je lis les objections concernant la construction du droit du travail et des acquis sociaux. Elles doivent être prises en compte et il n’est pas question de faire table rase de siècles de relations de travail. Pourtant, aujourd’hui il est nécessaire, en tenant compte de cette histoire, de repenser autrement les rapports humains, dans dans la société et dans l’entreprise.

    En revanche, je persiste sur le caractère profondément inégalitaire du contrat de travail tel qu’il existe aujord’hui, malgrè les protections, les aménagements apportées au cours de l’histoire, et particuliérement de celle des deux derniers siècles. Il ne peut pas y avoir d’égalité entre celui qui embauche et licencie et celui qui est embauchable ou licenciable. Il n’y a pas d’égalité entre deux personnes si l’une detient un pouvoir hiérarchique sur l’autre ! Il peut y en avoir si l’une et l’autre coopère et reconnaissent mutuellement leurs compétences pour atteindre un but commun. Dès lors, peut se construire un nouveau contrat, un nouveau rapport de droit.

    Enfin s’il est vrai que « l’état de nature » fait que parmi les glands tombant d’un chêne certains donneront des arbres puissants, d’autres des arbres faibles et que d’autres enfin seront dévorés par les oiseaux, les sanglier ou les cochons « l’état de droit » est là pour corriger cette inégalité. Lacordaire disait « entre le riche et le pauvre c’est la loi qui protège et le libeté qui opprime ».

    La suppression du salariat, la construction d’une « société d’égaux » (l’égalité n’exclut pas la différence de compétences, de qualités, de talents, elle permet simplement à chacun de les exprimer) ne pourra provenir que d’une volonté de changement profond et d’affirmation du respect de chacun d’entre nous !



  • Michel CARRIERE Michel CARRIERE 13 janvier 2007 15:11

    Chacun est libre de s’exprimer, c’est une liberté fondamentale, tout comme est fondamentale la liberté de chacun de juger et peser ce qu’il pense d’un texte proposé à sa lecture ! Avoir une information sur la vision globale, les réaction globale, une vision « macrocospique » me paraît des plus interessant

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