Je ne crois pas en la gratuité. Néanmoins si nous pouvons créer un système participatif parallèle capable de financer des projets à taux zero (sans intérêt, par pure envie ou intérêt en nature) en profitant des allégements d’impots dues aux dons nous pourrions créer un nouveau système qui se nourrirait du capitalisme jusqu’à le phagocyter.
On pourra changer de système si nous en créons un autre qui s’en nourrit...
le perdant doit muter ou disparaître. Une espèce, un organisme qui se mord la queue pour se nourrir est voué à la mort.
Mais dans mes études d’écologie j’ai aussi appris que dans un monde complexe et changeant rien ne valait la dispersion dans des niches inconnus et c’est pour ça que je félicite l’auteur et l’encourage à continuer.
bonne idée, je prends, certes difficile à mettre en place, impossible à l’échelle d’une nation mais cette idée pourrait faire son chemin.
Du coup, comment mettre en norme des mesures « salvatrices » à l’échelle du monde (attention danger je suis bien d’accord !), mais telle est ma question...
Et là je vous rejoins sur votre commentaire, inter-réagissons !