La chine moderne est neuve, elle date de la révolution de 1911, elle a encore beaucoup à vivre et à expérimenter.
L’europe y pourrait apporter beaucoup (comme je le développe dans mon article), de même que l’Europe aurait aussi à y apprendre.
J’appuie aussi vos propos sur les futurs évolutions politiques de la Chine qui évolueront nécessairement, la libéralisation économique amène la libéralisation tout ourt (politique, individuel, presse, ect).
De fait, la Chine est loin d’être en situation stable et durable, des grosses mutations sont à venir.
La règle du consensus a tout de même se avantages indéniable, le remettre en cause est toucher à un des principe fondamental de l’Europe. A creuser donc.
Quand à la France, elle signera un traité, que ce soit un mini traité (sarko) ou un traité plus social (ségo ). Pas (ou très peu) de doute la dessus.
Des erzats de l’idéologie nazie et fascite existe encore. On l’entend et on le lit partout.
Ces idéologies ne naissent pas ex nihilo, elles sont le fruit d’une pouriture progressive des mentalités.
c’est un processus lent (donc souvent indetectable) qui ne se reconnait pas car manquant de recul (les allemands sous le régime nazis ne mesuraient pas l’ampleur du désastre).