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Nicolas

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Sur un bateau, prof d’espéranto, cuistot un peu marteau, Nico.

Tableau de bord

  • Premier article le 14/06/2008
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Derniers commentaires



  • Nicolas Nicolas 14 juin 2008 21:45

    Bonsoir,

    une raison commune : l’espéranto a été créé pour satisfaire aux exigences d’une communication internationale, ce qui n’est ni le cas du latin ni le cas de l’anglais, il convient de prendre les outils qui sont "étudiés pour" comme dirait un comique...

    Comment traduire "télécharger des fichiers depuis la toile" en latin ? Sans compter toutes ces irrégularités...

    L’anglais aussi compte ses difficultés, c’est la langue d’une nation, sa nature n’est pas d’être internationale. Et penser qu’une langue peut être à la fois nationale et internationale, c’est à mon avis faire une confusion et ne pas respecter les échelles culturelles. Je fais partie d’une région, un village, c’est le niveau local, auquel peut correspondre une langue, comme peut correspondre une langue pour le niveau national. Et pour le niveau international, il faut trouver quelque chose qui vienne en regard, sans faire de mélange ou de glissement. Ces niveaux sont complémentaires et non pas ennemis.

    L’espéranto est neutre, international, c’est une langue complémentaire, auxiliaire, qui fonctionne comme tel.

    Un site qui pourra vous apporter des informations complémentaires mais il y en a d’autres... http://www.freinet.org/espericem/pourquoi.htm

     



  • Nicolas Nicolas 3 juin 2008 00:10

    Bonsoir,

    Au départ, c’est un article sur la Chine et l’espéranto... Comme nous en sommes loin...

    S’acharner contre l’espéranto -avec les objections d’une personne normalement constituée : qu’est qu’une personne normalement constituée ? un ignorant qui alors pose des question en regard de sa méconnaissance ?- je peux comprendre... d’accord.

    Mais en faire un conflit d’intérêt et de personne à ce point, ce n’est pas l’endroit et si l’espéranto n’est qu’un prétexte -j’en doute fort-, que sont les espérantistes ? Que représentent-ils ? Cette focalisation obsessionnelle, est bien causée par ce que vous attribuez à Henri Masson pour ce qu’il incarne à vos yeux, vous le nommez "Gourou Riton", il est un prétexte.

    C’est intéressant les inverses... les 2 pôles inverses d’une pile s’alimentent, se justifient, s’identifient...

    Contre la bêtise d’un individu, on ne peut rien, ridiculiser des gens, c’est jouissif ?

    En fait, il faudrait limiter le nombre de messages sur un forum et le nombre d’interventions par personne... un débat cadré est sûrement un débat qui prend sens... 

    C’est peut être dans le cas où nous serions tous ici espérantistes que nous serions peut-êtrede véritables ennemis.

    Au revoir les Don Quichotte, tournez moulins à vent, vive la tolérance.

     



  • Nicolas Nicolas 1er juin 2008 18:34

    Cher Henri Masson,

    Je me disais que le problème n’était pas vous, au départ. Je me disais que vos "adversaires" déplaçaient le problème, ils se fixaient sur vous, alors que vous êtes mon gourou préféré depuis des années. Je me disais qu’ils en voulaient à l’espéranto, mais qu’incapables d’établir une démarche intellectuelle intéressante de contre-argumentation, ils s’acharnaient contre vous, l’un de ses représentants actifs sur agoravox et grand Maître du mouvement que nous idolâtrons, pêtris dans notre obscurantisme.

    Mais voilà, M. Masson, je me suis rendu compte, et vous demande publiquement, de me laisser libre désormais... je ne veux plus déifier Zamenhof... je voudrai appartenir et de me dévouer corps et âme à la cause d’aspexlorer. Devenir Aspique. Oui, ça ça me plaît. Comprenez moi, espérantiste, ça sonne pas bien, mais aspic ça sonne "serpent vénimeux", ça sonne "Homme ou femme tenant des propos médisants, calomniateurs" (source : CNRTL) et puis en tant que cuisinier, j’avoue que ça résonne (si j’adopte leur cause, je ne peux décemment plus écrire raisonne) car l’aspic, c’est cette entrée froide, moulée, en gelée, comme le cerveau que j’aurai bientôt, car ils sauront bien mieux me déformer que vous.

    Comment ai-je vu la lumière ? tout simplement, les derniers écrits ont une allure apocalyptique, et l’apocalypse n’est pas une catastrophe mais littéralement une révélation : "Écrit du judaïsme ou du christianisme ancien, et contenant, généralement sous forme de visions, des révélations notamment sur la fin des temps." source : CNRTL. Voilà ces gens m’ont révélé... Ils m’ont révélé que ne pouvoir ignorer l’espéranto (pourquoi ne pas être capable de dire avec un sourire en coin "tiens encore un article des espérantistes" et tourner la page, comme si de rien n’était) et se sentir obligé de rétorquer désormais bibliquement signifiait que l’affaire était très grave, donc il faut du monde. J’espère ne plus me tromper de côté.

     



  • Nicolas Nicolas 30 mai 2008 14:55

    Bonjour,

    500 commentaires, ce n’est pas rien, cet article fait couler de l’encre, ou plutôt agite les claviers. Mais les esprits aussi... enfin, chez certains, ça doit sonner creux... Benjamin Constant à dit que les gens de conviction sont plus silencieux que les gens de circonstances.

    D’un côté, les défenseurs de l’espéranto, qui avec conviction défendent leur cause, leur langue... Peut être feraient-ils parfois mieux de diriger leurs arguments, leurs temps et leur capacité rédactionnelle vers le tout public, vers les gens curieux, ouverts, vers des lecteurs, des intéressés, des intéressants... Certains font les deux, merci à eux, je ne veux pas donner de leçon, mais ce que j’ai lu me pose question...

    Parce qu’en face, c’est une autre sacrée équipe... en face il y a du répondant, pas vraiment de réponses, mais ça fuse... Pour déclencher tant de haine, de colère, il faut vraiment que l’espéranto leur ai fait quelque chose... Quoi ? je l’ignore, ça leur appartient... Ils sont dans la réaction, quand nous nous devons d’être dans l’action.

    Quand je vois ce flot de grossièretés, je me dis qu’il faudrait parvenir à élever le débat, ce qui doit être possible, même avec des gens mal élevés... sur un blog -d’une haute bassesse- il nous ai même offert de lire des menaces "sinon je débarque à Moutiers" Ne devrait-on pas signaler certains abus ? il faut savoir faire intervenir des grandes personnes (quand les espaces de débat tourne à la cour de récréation), lorsque les esprits s’échauffent. 

    Vous, détracteurs de l’espéranto, qu’est que ça peut vous faire, puisque vous prétendez que nous sommes déjà mort, sans avenir et que notre cause est perdue d’avance ? laissez nous nous écraser, vous pourrez jouir de notre défaite... il n’est pas nécessaire de vous exciter à ce point ; c’est sot de votre part, car contre-productif pour vous, puisque si Henri Masson et d’autres se taisent, jamais on ne saura à qui l’avenir donnera raison, car c’est lui qui tranchera...

    Bâtisseurs, qui défendez l’espéranto, quel est l’enjeu pour vous ? Quand la force du mépris viendra-t-elle ? il est des murs qu’il vaut mieux contourner, car en fait, ils ne jugulent en rien notre avancée... sauf si on leur consacre trop de temps. Contre l’ignorance, nous pouvons agir, pas contre la bêtise, qui risque plutôt de nous "négativer".

    Allez, quelques vers de Kipling :

    "Si tu sais méditer, observer et connaître
    Sans jamais devenir sceptique ou destructeur ;
    Rêver, mais sans laisser ton rêve être ton maître,
    Penser sans n’être qu’un penseur ;

    Si tu peux être dur sans jamais être en rage,
    Si tu peux être brave et jamais imprudent,
    Si tu sais être bon, si tu sais être sage
    Sans être moral ni pédant ;"

    Pour parler des langues, il faut être un minimum clair avec soi-même, car parler des langues, c’est parler de ses mots (maux ?) de sa pensée, de soi, un peu, dont il faut prendre soin, beaucoup.

    Nikolao

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