Olivier

« fin de l’abondance », mais le rôle de Macron ne devrait-il pas être justement de nous éviter cette situation ?

Le fait est qu’il fait exactement le contraire, par sa gestion inepte de l’énergie nucléaire (fermeture d’Astrid et de Fessenheim, absence d’investissements, etc.) et en se lançant dans une politique de sanctions envers le Russie dont le seul effet sera d’obliger l’Europe à acheter du gaz américain beaucoup plus cher.

Le plus extravagant est qu’il y a du gaz de Schiste en abondance en France même qu’on se refuse à exploiter pour des raisons soi-disant écologiques. Tout cela pour ne pas faire de la concurrence au gaz de schiste américain !

On voit que le petit Macron n’a rien à refuser à ses maîtres de Washington.

Et il a en plus le culot de nous faire la leçon et de prendre des accents Churchilliens ! Mais vu la stupidité et la veulerie du français moyen à qui ont fera toujours tout gober, il aurait tort de se gêner...

« l’être humain n’est pas un projet, mais une réalité naturelle avec ses caractéristiques propres. Plutôt que de construire un projet de société idéale auquel l’être humain doit s’adapter, la sagesse nous propose de nous approcher d’un optimum naturel. »

Oui c’est un bon résumé de l’approche conservatrice : l’acceptation fondamentale du réel tel qu’il est. Cela n’empêche pas d’améliorer ce qui peut l’être, mais cette amélioration est un parachèvement, si l’on peut dire, et non une transformation.

C’est à rebours du progressisme qui ne cesse jamais de produire des utopies et des élucubrations que l’on veut imposer au réel. 

L’échec constant de ces tentatives ne gène nullement l’utopiste, car derrière des soi-disant bonnes intentions se cache en fait une volonté morbide de destruction et de refus du réel, auquel on veut faire violence.

Cela nous donne par exemple les révolutionnaires de 1789, qui guillotinaient au nom de la fraternité et mettaient en prison au nom de la liberté, ou les Bolcheviks qui prétendaient faire le bonheur du peuple et n’ont pondu que des goulags.

Ce répugnant personnage dépasse les bornes du culot !

Il nous annonce sans gêne que les français vont être de plus en plus pauvres sans qu’apparemment il n’ait la moindre intention de faire quelque chose contre, bien au contraire. 

Il s’est ainsi engagé dans la voie de sanctions contre la Russie sans aucun effet autre que celui de déclencher une grave crise économique. C’était sans doute, il est vrai, l’objectif poursuivi. Les élucubrations démentes du « grand reset » sont à l’oeuvre, par le biais de ce laquais du mondialisme qu’est Macron.

Mais les premiers coupables sont les français eux-mêmes, qui par lâcheté et stupidité se sont empressés de le réélire.

Alors qu’ils ne viennent pleurnicher maintenant.

« Pour les yeux modernes, Barry Lyndon est tellement beau que cela en devient douloureux ».

Oui, le contraste entre par exemple l’architecture du XVIIIème siècle et celle du monde moderne donne le vertige. Beauté et harmonie d’un côté, laideur confinant au monstrueux de l’autre. Il suffit de parcourir certaines banlieues de la région parisienne pour avoir une idée claire du problème. Le monde moderne a fait le choix délibéré de l’anti-esthétique, en accord avec ses choix métaphysiques de rupture avec l’ordre ancien. Le résultat est sous nos yeux.

Je pense aussi que le cinéma français actuel serait totalement incapable de faire un fil pareil. On n’a que des oeuvres de propagande politiquement correcte subventionnées par l’état. Il est vrai que personne ne les regarde...

@Pascal
Belle culture. Les influences judéo-chrétiennes sur le Coran sont connues de longue date. Une bonne partie du Coran semble venir, d’après le chercheur C. Luxenberg (The Syro-Aramaic reading of the Koran), d’un « lectionnaire » (ou recueil de prières) utilisé par les Ebionites, c’est-à-dire une secte judéo-chrétienne vivant non pas en Arabie mais en Syrie. Ce lectionnaire était écrit en Araméen, et bon nombre d’anomalies du texte du Coran viennent, d’après lui, d’une traduction fautive de l’araméen en arabe.