En bon Français ça s’appelle le Président de la République et les députés que les Français se sont choisis dans des conditions fixées par la constitution ....
Quand vous ajoutez « incapable » vous exprimez votre opinion, rien de plus.
La gestion de la crise du Covid c’est comme le Vendée Globe, c’est à l’arrivée qu’on voit quel est celui qui a réussi, pas avant.
Jusqu’à maintenant, à part la stupidité des masques qui ne servent à rien quand on n’en a pas et qui deviennent obligatoires dès qu’on en a, je trouve que notre exécutif ne s’en sort pas si mal que ça comparé aux autres pays d’Europe et d’ailleurs.
@gouzier : « Contre les LBD des fleurs ?... L’auteur nous prend pour des crétins. »
Mais c’est juste une image voyons, à ne pas prendre au sens littéral bien entendu. Exactement comme quand l’auteur nous dit qu’il ne fait pas de politique !
Hi-Hi-Hi dirait ma petite fille Zoé qui te voit la semelle avant que tu ais levé le pied !
Les exemples très argumentés présentés dans le texte plus les relevés de pluviométrie montrent sans aucun doute que des « épisodes Cévenols » avec de très abondantes précipitations il y en a toujours eu dans les zones de nos régions du midi adossées à une montagne.
La nouveauté c’est la rapidité de la montée des eaux, quasiment dans les heures qui suivent les précipitations. Elle a pour cause l’imperméabilisation intempestive de vastes zones anciennement agricoles et désormais urbanisées, qui plus est sur un foncier nouveau composés de toutes petites parcelles de terrain à bâtir.
Là où les terres agricoles, notamment les parcelles labourées, absorbaient une partie des précipitations et retardaient le moment ou saturées elles laisserait s’installer un écoulement gravitaire vers le lit de la rivière se trouvent désormais des toitures par définition imperméables, des terrasses et des voiries privées pour accéder au garage quasiment imperméables sur les parcelles, plus des voiries publiques qui desservent ces nouvelles constructions.
Même si très récemment les règlements sont devenus plus exigeants, en général les réseaux d’évacuation d’eaux pluviales sont sous dimensionnés et de toute façon ils ont leur exutoire final dans le lit de la rivière. C’est désormais en quelques heures au lieu de quelques jours que la rivière gonfle et sort de son lit.
Si l’on ajoute à cela que souvent de nouvelles constructions se trouvent dans des zones que tout le monde savait inondables depuis toujours, on comprend l’ampleur des dégâts et le coût du traitement de ces sinistres qui ont bien peu à voir avec le réchauffement climatique.