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Onegus

Onegus

Un homme parmi les Hommes.

Tableau de bord

  • Premier article le 02/08/2007
  • Modérateur depuis le 10/09/2007
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Ses articles classés par : ordre chronologique









Derniers commentaires



  • Onegus onegus 31 août 2007 21:32

    Pour en savoir plus sur les attentats islamiques en France, ainsi que sur l’histoire du terrorisme islamique en général, lire la somme de Nafeez Mosaddeq Ahmed : La Guerre contre la vérité : 11 Septembre, désinformation et anatomie du terrorisme.



  • Onegus onegus 31 août 2007 21:19

    LAMBERT 85 : L’acier n’a pas besoin de fondre, dès qu’il chauffe assez il se déforme. C’est pourquoi on doit l’ignifuger. Mais quand un avion vient exploser dans une structure métallique (pas de béton dans la structure), la protection incendie ne sert plus à rien.

    - La température de fusion de l’acier est de 2 700 °F (1 482 °C), et la température maximum que peut atteindre le carburant de ce type d’avion est de 1 800 °F (982 °C) dans des conditions optimales.
    - L’acier des tours avait été certifié pour supporter 2 000 °F (1 093 °C) durant six heures, les tours ont brulé moins d’une heure.
    - En 1975 la tour nord du WTC a brulé sur 6 étages durant trois heures sans jamais montrer le moindre signe d’effondrement
    - Les avions n’ont pas frappé les tours en plein centre, et n’auraient donc pu atteindre la structure centrale. -Une bonne quantité de carburant a brulé à l’extérieur des tours comme les boules de feu à l’extérieur le prouvent.

    Pour plus de détails, voir les travaux du professeur Steven Jones ou le film 911 mysteries Part 1 : Demolitions

    LAMBERT 85 : Ce journaliste a en tout cas mal cherché, il répète les âneries de ces sites bêtement. On a trouvé des tas de débris du 757 au pentagone.

    Ah Bon ? Les quelques clichés disponibles pris dans les minutes qui ont suivi l’impact n’en montre pas, mais peut-être avez-vous trouvé les images que des dizaines de milliers de personnes cherchent désespérément à travers le monde depuis plusieurs années. Dans ce cas merci de nous les faire partager.

    LAMBERT 85 : Seule une partie de moteur a été retrouvée à 300 mètres de l’impact à Shanksville. Le reste était autour du trou d’impact. Certains avaient calculé cette distance par la route.

    Des débris ont été retrouvés au sud de l’Indian Lake et à New Baltimore, à 3 et 12 km de l’impact, Le moteur en question a été retrouvé à 600 mètres. Un passager a fait part d’une explosion à bord juste avant la disparition de l’appareil. Ce témoignage, qui n’a pas été pris en compte par la Commission Kean, et l’étendue de la zone de dispersion des débris laissent peu de doute quant à l’évidence d’une explosion en vol (niée par la version officielle)

    LAMBERT 85 : Le temps d’effondrement des tours peut se calculer sur certaines videos, il dépasse les 15 secondes. Les débris du haut -tombant eux en chute libre- atteignant le sol avant le reste.

    - Les temps d’effondrement des tours ont été déterminés de façon précise grâce aux enregistrements des séismographes à Columbia Université’s Lamont Doherty Terre Observatoire dans Palisades, N Y., 21 miles au nord du WTC.
    - Les lois de la physique pour l’effondrement d’une tour de 400 mètres selon la théorie de « l’empilement des étages » (pancake theory) officielle ne tient que pour une durée située entre 45 et 90 secondes. En dessous, on entre dans le domaine de la science-fiction. A 10 secondes, la théorie pancake implique un effondrement à une vitesse de 10 étages par seconde, impossible selon les lois de base de la physique concernant la résistance des matériaux. La seule explication rationnelle est celle de la destruction des structures de soutien de chaque étage AVANT qu’il ne soit percuté par l’étage au-dessus, afin de pas opposer de résistance à celui-ci. C’est ce qui explique la vitesse et l’effondrement parfaitement vertical, ça s’appelle de la démolition contrôlée et ça implique l’usage d’explosifs.



  • Onegus onegus 31 août 2007 19:46

    oui, 77, merci... smiley



  • Onegus onegus 31 août 2007 19:37

    MUSCA : quant au batiment qui est a coté, il s’est effondré apres les tours, pourquoi ne pas envisager une sorte de tremblement de terre localisé suite a la chute des tours ?

    Ma foi, ce serait un tremblement de terre très sélectif, vu qu’aucun autre immeuble n’a bougé (et il y en a quelques-un dans le secteur...) smiley



  • Onegus onegus 31 août 2007 19:00

    TORVALD : Salut le gus

    Alors, content d’avoir ouvert la boîte de Pandore, de libérer tous les fantasmes en suspension dans l’air tels des virus malfaisants prêts à bondir sur le brave franchouille. Eh bien bravo c’est réussi.

    Désolé mais je ne comprends où vous voulez en venir et, franchement, ce type de débat annexe ne m’intéresse pas. Rien d’égotique dans ma démarche, la seule et unique satisfaction est que cet d’article écrit par un sommité du journalisme international, publié dans un des plus grands journaux anglais et concernant une question fondamentale de notre histoire contemporaine, puisse avoir une certaine visibilité ici dans une traduction française. Agoravox en publiant ce billet ne fait que faire le travail que n’ont pas fait nos médias et notre presse nationale, ce qui est tout simplement honteux vu l’importance du sujet.

    TORVALD : Et de repartir gaiement dans le raisonnement à l’envers, décidément une marque de fabrique d’avox si ça continue ainsi.

    Il n’est précisément pas question de « raisonnement » dans cet article, mais de « questions », et sa seule marque de fabrique est celle de son auteur, Robert Fisk ; contreinfo, agoravox et les autres sites n’ont fait que relayer l’article ou sa traduction. Vous êtes ici dans une posture psychologique de stigmatisation que les américains appellent « kill the messenger » (tuez le messager)

    TORVALD : Après 35 ans de guerre froide, une cible bien définie, on a 10 ans de flottement du renseignement qui ne sait plus s’il doit défendre les brevets contre la copie chinoise, surveiller Kadafi ou les narcos en Amérique Latine. Une guerre a été faite spécialement pour ça au Panama.

    C’est un débat intéressant mais annexe, je préfère rester dans le sujet de l’article tel que Fisk le circonscrit lui-même : « Je suis de plus en plus troublé par les inconsistances dans la version officielle du 11 septembre. Il ne s’agit pas uniquement des incohérences évidentes »...« Je parle de problèmes scientifiques. »

    TORVALD : Sous-estimation de l’information, non remontée d’icelle aux niveaux compétents, insuffisance de la synthèse, ça ça nous connait bien, nous, champions de l’analyse mais pas plus, bref dans les années 90 il reste des trous béants de sécurité dans l’aviation et ailleurs, par exemple dans les parkings du WTC.

    Idem, c’est un autre débat.

    TORVALD : Il y a là des erreurs monumentales que ce gouvernement essaie maladroitement de nier. De là à en faire le maître d’oeuvre ... !!! Ce serait une très mauvaise version du « Puisque ces évenements nous échappent feignons d’en être les organisateurs » (Cocteau ou Malraux)

    Joli, mais idem encore : on est ici dans la prospective et la théorie.

    TORVALD : « où sont les débris des avions (moteurs, etc.) de l’attaque du Pentagone ? Pourquoi les officiels qui ont été impliqués dans le vol United 93 (qui s’est écrasé en Pennsylvanie) ont été muselés ? Pourquoi les débris du vol 93 se sont dispersés sur des kilomètres alors que l’avion est censé s’être écrasé en entier dans un champ ? »

    Là encore un gros mystère peut en cacher un plus petit. Il n’est pas impossible que l’avion de Pennsylvannie ait été touché par la chasse. C’est une simple hypothèse, les dialogues des téléphones portables indiqueraient que non. Idem pour le Pentagone. Pendant 40 ans, les gens ont eu le temps d’étudier un système de défense de ce bâtiment très spécial. On présume que toutes les possibilités furent envisagées, y compris un dispositif assez puissant pour réduire en miette n’importe quel O.V.N.I. Le problème dans les deux cas est qu’il y avait des passagers américains à bord d’où un épouvantable dilemne au moment des décisions qui peut expliquer les pataquès et l’embarras des explications a posteriori.

    Les éléments matériels documentés et vérifiable à propos du vol 93 sont : très peu de débris au supposé point d’impact + découverte de débris dans un rayon s’étendant sur plusieurs kilomètres autour du supposé point d’impact. Ceci indique de manière claire une explosion en vol du vol 93. Pour ce qui est de savoir ce qui a provoqué cette explosion en vol, missile US Air Force ou bombe à bord de l’appareil : tant que nous n’aurons pas plus d’éléments, toute tentative d’explication reste conjecture, théorie ou hypothèse.

    Pour ce qui est du Pentagone, le bâtiment est protégé en permanence par cinq batteries anti-missiles sophistiquées, réglées pour riposter automatiquement. Aucun appareil ne peut s’en approcher sans émettre un code de reconnaissance ami, ce qui est impossible pour un appareil civil. Le vol 93 aurait dû être abattu bien avant l’impact.

    TORVALD : Mais de grâce arrêtons le délire.

    Il me semble que la question est plutôt de ne pas entrer dedans...

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