Et oui droit dans ses bottes , la constitution mais pourquoi diable s’en préoccuper ? taxer les étrangers à coups de prunes, si ils payent cash au forces de répression oui sinon pour les primes automatiques c’est une autre histoire. La meilleure place pour ma voiture c’est dans le garage, pour éviter les rackets de l’état. Pour me balader je sors mon scooter qui plafonne à 90 et ne consomme que 2.5 l au 100. Pour les vacances j’évite mon pays qui est pourtant si beau !!!
Les macrophiles vont obtenir ce qu’ils ont semé une chute de la consommation car on ne peut pas payer les taxes, la csg, les augmentations sur les produits pétroliers, les impôts et en plus le racket routier .
dommage en effet qu’un grand débat sur l’énergie n’est pas lieu car j’entends à longueur de journées des autoproclamés experts débiter une litanie de c....es !! Pas besoin d’être un grand prophète pour dire qu’un jour de février dans les années à venir la France et une bonne partie de l’Europe se trouvera dans le noir. Et oui en février il fait froid, l’ensoleillement est bref et les situations de marais barométrique (pas de vent) sont fréquentes. L’effet de ciseaux est en place grande consommation et pas ou très peu d’électricité verte...
Bof, bof les politiques invoqueront la faute à pas de chance, on connait la chanson et tout ses couplets.
@ Remy Ronald ok pour moi, le débat est toujours nécessaire pour faire jaillir la lumière Pour ce qui est du Thorium, à part les chercheurs de feu le CENG actuellement redevenu CEA Grenoble, anciennement centre d’études nucléaires de Grenoble (CENG) jusqu’en 1995, peu de chercheurs sur les filières alternatives aux réacteurs PWR ou à eau pressurisée en français.L’histoire « industrielle » du nucléaire en France débute avec Brennilis centrale à eau lourde, puis passe à UNGG ( Uranium Naturel Graphite Gaz) Chinon EL 1, 2 et 3 , St Laurent A et B puis Bugey1. Cette filière choisie par MON Général présentait le gros avantage de produire du plutonium pour la bombinette à charlot ( comme la nommait le canard). Le choc pétrolier de 1973 fait choisir à Pompidou presque mourant le nucléaire ( plan Messmer 13 réacteurs PWR).
Mais EDF s’intéresse aussi à une autre filière que la graphite-gaz (dont le CEA détient tous les brevets) : la filière dite « américaine », développée par Westinghouse, fonctionnant à l’uranium enrichi, le caloporteur étant de l’eau sous pression (Pressured Water Reactor, PWR ou REP en français). Avec un consortium électrique belge, EDF met en service une centrale de ce type dans les Ardennes, à Chooz, en 1967.
Mais un autre acteur est concerné par la promotion de cette filière : Framatome. Cette filiale de Schneider et du groupe belge Empain a été créée en 1958 pour développer le brevet Westinghouse qu’elle a acquis. Spécialiste des réacteurs et de leurs cuves, Framatome est désormais le partenaire privé privilégié de l’entreprise publique EDF. Les années 1966-69 sont celles de la « guerre des filières » qui tourne autour d’arguments techniques, économiques (le coût du KWh produit), mais surtout politico-économiques : l’indépendance nationale, la capacité exportatrice de l’industrie électronucléaire française dans un monde où la technologie PWR est très largement majoritaire. C’est sans doute ce dernier argument qui convainc le nouveau président de la République, Georges Pompidou, d’opter pour la filière américaine : les nouveaux réacteurs du Bugey et ceux de la nouvelle centrale prévue à Fessenheim seront PWR.
Il faut ajouter que le surgénérateur Superphénix était la clef de voute de la logique économico-industrielle des centrales PWR. Deux postulats ont mené les autorités françaises à la construction de Superphénix : l’anticipation d’une croissance soutenue des besoins énergétiques et les limites de l’extraction de l’uranium. Dans un tel scénario, seuls les réacteurs surgénérateurs (dont la filière à neutrons rapides) apparaissent durables. tout cela s’est effondré avec le deal PS/verts du 19/06/1997.
Mais alors où en est-on du Thorium ? Ici un article qui fait le point
@ REMY Ronald merci d’expliciter votre remarque « ...dans le panneau de la propagande éculée dont vous semblez être encore victime. »
Vous semblez induire à mon sujet une quelconque sympathie pour les ayatollah détenteurs de la vraie vérité écologique. Je vous rassure, il n’en n« est rien ! Nul besoin d’être estampillé »vert« pour constater les dégâts provoqués par l’insatiable besoin de richesses de l’oligarchie. Nul besoin d’être végan pour condamner l’élevage intensif.Lorsque je vois l’orgie de couleuvres que dévore avidement ( le soit disant) ministre Nicolas le bulot, je me réjouis de ne jamais avoir fait partie de cette secte.
Quand vous me dites »nous les anciens..." sur le ton de l’ancien combattant s’adressant à la bleusaille, vous me faites sourire. J’ai commencé mon activité professionnelle dans le nucléaire à la fin des années 60 et j’ai connu les premières manifs écolos des années 70 .... C’est vous dire si le cirque médiatique je le connais depuis longtemps.
Alors faire de la politique autrement, je serais preneur si l’action des politiques était indépendante des lobbys. VOTRE méprisant Macron EST la marionnette des lobbys et cela transpirait BIEN AVANT sa mise sur orbite par les Attali, Jouillet et leurs sponsors. Le changement ne peut provenir que par une modification profonde, réfléchie et voulue de notre consommation. L’acte de consommer doit encourager les bonnes pratiques et sanctionner les mauvaises car c’est le seul bulletin de vote que comprennent ceux qui ne s’intéressent qu’à l’argent. Ne comptez pas sur le dégagisme, le successeur de l’actuel méprisant de la ripoublique est déjà dans la short liste d’ Attali,Jouillet et leurs sponsors.
Désolé mais pas d’accord avec vous les yachts ne sont que
des vitrines d’exposition des insolentes richesses accumulées par les oligarques
de nos sociétés mondialisées. Même sileurs consommations annuelles ne sont que peu représentatives, elles
sont le symptôme du luxe inutile.
D’où proviennent ces insolentes richesses ? De la mondialisation des échanges internationaux
dont la plus grande partie se déroule sur les océans. Savez-vous que La marine
marchande et les navires circulant sur les mers et océans du globe émettent
l’équivalent de 35 500 kilos de CO2 par seconde. L’OMI (Organisation
maritime internationale) estime que les émissions de CO2 du transport maritime
international ont atteint 1120 millions de tonnes de CO2 en 2007. L’ensemble du commerce maritime a doublé entre 1985
et 2007 et devrait au moins tripler d’ici à 2020, ayant d’importantes
répercussions sur les émissions de CO2.
Sur la même période, le trafic de porte-conteneurs devrait être multiplié par six alors que ce type de
navires présente des puissances parmi les plus élevées et donc des niveaux
d’émission en conséquence.
Les bateaux rejettent aussi 20 000 tonnes d’eau de ballast
par an dans les mers, déversant ainsi des quantités d’organismes étrangers aux
océans.
La
majeure partie de la pollution des navires s’explique par la teneur en soufre
de leurs carburants, jusqu’à 3 500 fois plus élevée que le diesel des voitures.
Une fois brûlé, ce carburant rejette du dioxyde de soufre, un polluant néfaste
pour l’environnement et la santé. Les experts estiment ainsi qu’un
gros porte-conteneurs génère autant de
pollution aux particules ultrafines qu’un million de voitures. Dans
une étude publiée en 2015, les chercheurs de l’université allemande de Rostock
estiment que la moitié de la pollution de l’air liée aux particules dans les
zones côtières et portuaires provient des émissions des navires. Au total, les
émissions du transport maritime causent 60 000 morts par an en Europe et
coûtent 58 milliards d’euros chaque année. Et qui paye cet incroyable
tribut ? Je vous laisse deviner.
Alors
que représente l’industrie de la plaisance de luxe face à la perte d’emplois permanente
de nos industries ? La mondialisation forcée qui concentre la production
dans les ateliers du monde engendre une aberration économique à courte vue.
Pour la planète un gaspillage des ressources et une pollution monstrueuse que l’on
ne veut pas voir !!! Et ici du
chômage, de la précarité, de la pollution, des coûts astronomiques pour l’économie
et la santé.
Et
au bénéfice de qui ?
J’ai
bien peur que la propagande libérale vous obscurcisse définitivement la vue.