Je me demandais quand quelqu’un allait enfin parler de ces évènements qui agitent un grand pays voisin, ici on préfère regarder en direct une salle de prétoire New Yorkaise où il ne se passe rien. Merci pour votre article.
Au moins, Serrano, aura servi de révélateur à vos indignations de grenouille de bénitier, qu’il en soit remercié (à défaut de pouvoir le bénir).
Tout est là effectivement, entre ceux qui croient à des résurrections hypothétiques, et ceux qui, connaissant la brièveté de la vie, en célèbrent les splendeurs et la dérangeante matérialité. Finalement, c’est bien, l’art contemporain.