Il s’agit bien des lettres I,S,I en tout cas : la graphie du S est identique à celle du S terminal de GERLANNUS sur la première ligne.
En plissant les yeux je me suis essayé d’imaginer que le premier ensemble I,S puisse être un R auquel il manque la barre verticale du haut, mais la graphie du S terminal de la première ligne ne fait, objectivement, aucun doute. Il s’agit bel et bien d’un S, encadré par deux I.
Il est possible qu’il y ait d’autres explications, mais pour l’instant celle-là me semble prédominante, étant donné que c’est, pour le moment, la seule qui rende compte d’une traduction intelligible. Si vous en avez une autre à proposer, il est urgent de la dire !
X . R(ou B) A T E I (S inversé) I O M O
Choisit-on d’y isoler « EIS » (à eux, d’eux), nous aurions RAT - EIS - IOMO - N - ET - EPI
Ce que nous pourrions tenter de traduire par « disciple d’eux », mais il resterait IOMO - N, sur lesquels je sèche. Que proposez-vous ?
Ce sont d’excellentes questions j’en conviens, mais comme vous dites il faut être extrêmement prudent. A combien de Gerland avons-nous affaire ici ? Là, n’étant pas historien, je ne puis que dire que je l’ignore, et m’en remettre à ceux qui en savent plus long que moi.