Face à ces propos débridés que je n’ai même pas le temps de lire j’attends avec impatience l’article d’AGORA VOX climateGate(3).
Tous ses articles contribuent à polluer AGORA VOX et à réduire son intérêt : ce qui est bien dommage.
N’en déplaise aux négationnistes (ceux qui nient l’évidence) lorsque j’ouvre ma fenêtre tous les matins je m’aperçois que le réchauffement climatique devient de plus en plus palpable.
Il y a réellement un problème de réchauffement et ce n’est hélas pas le seul :
- Réduction de la couche d’ozone (toujours pas maîtrisée)
- Crise financière
- Alimentation industrielle qui représente une menace sanitaire sans précédent.
- ...
Ma sympathie n’ira certainement pas aux négationnistes qui nous disent que ces problèmes n’existent pas car ils ne veulent pas que l’on puisse penser qu’ils existent.
Elle n’ira pas non plus au complexe industrialo-financièro-politique qui n’y voient qu’une exploitation pour en tirer plus de profits, plus de pouvoirs.
La solution ne passera que par notre prise en compte au niveau individuel :
- Arrêtons de sous traiter nos idées, nos réflexions, notre alimentation, l’air que l’on respire...et AGISSONS.
Le monde ne peut s’améliorer que par nos actions individuelles mises bout à bout. Le résultat serait surement plus probant que tous ces discours pleins de bon sens mais vides d’effets concrets.
« La richesse nous tue, mais n’est ce pas ce à quoi malheureusement nous aspirons ? »
Oui. On peut toujours mettre n’importe quelle étiquette sur tout ce que l’on veut hormis qu’Il y a quand même un petite règlementation pour pouvoir apposer la petite étiquette verte et que les retraits d’agréments ne sont pas du domaine de l’abstraction. Les contrôles sont stricts et j’en parle par expérience. Dire que les labels bio sont indépendants de toute règlementation venant d’une vraie autorité est un raccourci bien sommaire.
Il faudrait effectivement un vraie autorité qui protège le consommateur et qui interdise entre autre l’importation des annanas du Costa Rica bourrés de Fipronil (un des pesticides les plus dangereux au monde). Et les exemples de ce type sont légion.
Si je consomme bio c’est parce que j’y crois. Je m’informe en permanence. La qualité des aliments ingérés devrait être la première des préoccupations (sanitaires) de chacun d’entre nous. De toute façon si je prends un produit sans petite étiquette verte là au moins je suis sur de consommer du n’importe quoi.
Et puis je consomme local au maximum, mon plaisir est de visiter les sites de production. Je vais vers la bio et je n’attends pas que la bio vienne à moi. Etre bio demande un minimum d’efforts.