C’était des avions réels qui ont percuté les tours jumelles,
pas des hologrammes comme je le lis ci-dessus, il y a de multiples preuves de cela. Mais il s’agissait probablement
de 767 modifiés, avec des moteurs de 747 plus puissants que ceux du 767. Il est
avéré que le vol 175 (en fait ce n’était pas lui car il a vraisemblablement été
remplacé par un avion modifié) s’est approché de la tour sud à des vitesses
extraordinaires. Voyez cette vidéo pour rappel :
Peut-être que l’avion ultrarapide devait être une précaution
de plus, parmi d’autres, pour rendre inopérante la défense aérienne ou pour
pouvoir mieux expliquer son inefficacité après les « attaques ».
Quoiqu’il en soit le « Murray Street Engine » lié au crash du vol 175
n’est pas un moteur de Boeing 767.
Par exemple tout le monde sait ou devrait savoir que les
tours jumelles ont été officiellement percutées par des Boeing 767. Sans doute beaucoup
moins de gens savent qu’un moteur du Boeing 767 qui a officiellement heurté la
tour sud (le vol 175) a été retrouvé. Vidéo pour rappel :
Le problème est que ce moteur n’est pas un moteur de Boeing
767, mais celui d’un Boeing 747 ! Voir la vidéo ci-dessous du site de l’association
de pilotes US :
Au demeurant selon les « Aircraft Communications
Addressing and Reporting System (ACARS) », le vol 175 était toujours
signalé en altitude 20 minutes après son prétendu crash sur la tour sud !
« Oui à l’alerte éthique, non à l’espionnage économique !
Gilles Lebreton, Député français au Parlement européen
L’espionnage économique est un fléau pour les entreprises françaises et
européennes, notamment pour les PME. Le rapport de la Délégation parlementaire
française au renseignement, en date du 18 décembre 2014, relevait à cet égard
« la permanence d’un espionnage économique agressif », et soulignait
l’urgence d’une protection juridique des secrets d’affaires. A la même époque,
une étude du cabinet juridique Baker et Mac Kenzie constatait que 25% des
entreprises européennes interrogées avaient signalé un vol d’informations
confidentielles en 2013 contre 18% en 2012.
Face à cette réalité, les députés européens du Front National ont pris leurs
responsabilités et décidé de voter pour l’adoption de la directive relative à
la protection des secrets d’affaires. Ils ont ainsi protégé la capacité
d’innovation et les possibilités de développement de nos PME.
Simultanément, ils ont profité de cette directive pour veiller à ce que le
Parlement européen y inscrive des mesures de protection des lanceurs d’alerte.
Avec leur appui, le projet initial de la Commission de Bruxelles a ainsi été
profondément amendé pour reconnaître aux lanceurs d’alerte le droit de
divulguer des secrets d’affaires « pour révéler une faute professionnelle
ou une autre faute ou une activité illégale » dans un but d’intérêt
général.
C’est une garantie nouvelle. Si elle avait été adoptée plus tôt, Antoine
Deltour et Edouard Perrin, actuellement poursuivis au Luxembourg pour avoir
révélé le scandale LuxLeaks, pourraient s’en prévaloir. Cette directive marque
donc un progrès dans la protection des lanceurs d’alerte qu’il est souhaitable
de compléter en droit français, ainsi que le suggère l’étude qui vient d’être
publiée par le Conseil d’Etat le 13 avril.
Le Front National entend ainsi assurer le respect de l’alerte éthique tout
en luttant contre l’espionnage économique. »