Rémy Mahoudeaux

Merci pour cet article, mais j’ai envie de rajouter deux choses :
1) le concile Vatican II réel s’imposera en dépit des fantasmes du virtuel, mais cela prendra du temps.
2) les écrits « au scalpel » de Benoit XVI sont d’une rigueur intellectuelle qui je pense fera date. 

Traiter des députés d’abrutis, est-ce la tâche d’un président de l’assemblée ? Est-ce acceptable ? Je pense que le simple fait de poser la question emporte la réponse. 

Bel article qui rends justice et dépasse les « à peu près » et les « procès d’intention » qui traînent ça et là sur le net. J’ai juste envie d’en rajouter une modeste couche : Benoit XVI écrit remarquablement bien, ses mots sont comme des scalpels de chirurgiens ; Précis et vifs, ils laissent des césures franches et nettes. Merci ! 

tomawak de guerre enterré, calumet de la paix fumé 

Parti pris c’est dans votre commentaire. Je ne sais pas, moi, mais je trouve que cela rime avec préjugé, préconçu, ce genre de chose où les réflexes prennent le pas sur la réflexion. Si vous employez parti pris, c’est que vous supposez que tout n’est pas nécessairement réfléchi dans mon intervention. Malgré que ce soit vexant, vous avez le droit d’avoir cette opinion sur mes opinions, et j’ai le droit de trouver la votre ridicule, inepte et malsaine. Ridicule et inepte parce qu’elle est, à mon avis, fausse. Malsaine parce qu’elle est délibérément polémique (argumentation assaisonnée au poison, c’est de vous). 
Agnosticisme politique : je ne le définirais pas comme vous, mais comme « aucune personne / aucun parti n’a réussi à me convaincre du bien fondé de l’ensemble de ses aspirations, valeurs, programme, action, équipes ». Au contraire de ce que je vous écrivez, je prends des positions (ponctuelles) sans faire d’allégeance ni à des hommes, ni à une organisation, ni à des dogmes. Maintenant je n’ai pas de (c) sur cette définition.
J’ai écrit que j’essayais d’être catholique ... si je vous ai blessé, c’est que je n’ai pas réussi, ce dont je suis désolé.