Rincevent

@tashrin

Certes, il y a eu prolifération d’agences dans la décennie où les prix montaient (jusqu’en 2007, crise des subprimes). Les nouveaux venus, alléchés par l’argent facilement gagné, ne faisaient que de la vente, ils ne voulaient pas s’embêter avec des location ou de la gestion (ça réclame des compétences). Même une banque « agricole » s’y était mis en rachetant des petits réseaux. La crise a fait pas mal le ménage dans leurs rangs.

Désirant acheter, j’ai fait moi aussi, en 2011, l’expérience de ces « professionnels » et j’ai vite réalisé le problème : l’acheteur a une idée assez précise de ce qu’il veut et l’agent a un stock. Une fois qu’il connait votre enveloppe budgétaire, il va vous proposer tout ce qui rentre dedans, sans vraiment écouter votre demande. D’où déception, perte de temps, agacement.

Si on ajoute à ça les vendeurs qui se croient encore avant la crise, réclamant des prix irréels pour des biens pas terribles, le chemin est long pour arriver au but… Avec le seul agent qui m’a vraiment écouté, l’affaire a été pliée en quinze jours ! (le bien était en vente depuis quatorze mois)

@pierreget

Ce ne serait pas la première fois qu’on prêterait à un client, c’est une façon de subventionner nos emplois sans encourir les foudres du Marché (concurrence non faussée, etc), mais maintenant nos caisses sont vides. Les japonais ne sont pas en bonne santé financière non plus, mais, eux, ils ont encore le contrôle de leur monnaie et font donc fonctionner la planche à billets (jusqu’à quand, c’est une autre question…).

Onfray décide de ne pas sortir son livre en France, bon. Mais, s’il sort en Belgique ou en Suisse ? Un petit coup de A…zon et on l’aura, non ?

Les chemins de fer indiens, c’est un énorme machin : 64 000 km de voies, 1,4 million d’employés, 19 millions de passagers par jour. Une particularité intéressante, son budget est indépendant du gouvernement et voté directement devant le Parlement (si on essayait chez nous… ?)

L’état du réseau est très dégradé (j’ai une amie qui en vient, c’était folklo…). Alors, un TGV c’est bien pour la vitrine (et les hommes d’affaires) mais c’est tout le reste qui est à remettre à niveau, un sacré chantier ! http://www.tresor.economie.gouv.fr/4422_le-secteur-ferroviaire-en-inde

La fabrication d’une génération de psychopathes au petit pied demande du temps. Ça commence tôt, vers les trois ans, quand ils hurlent à la caisse de l’hypermarché, jusqu’à obtenir la friandise placée là par « hasard », les parents voulant avoir « la paix ». Cette démission précoce se reproduira et finira par donner des individus intolérants aux moindres frustrations de la vie quotidienne. C’est bien ce qu’a vu Nabum ce jour-là.