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sasapame

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41 ans. 3 enfants. Je refuse désormais toute étiquette, et je récuse quiconque entendrait se planquer derrière la mienne : c'est précisément en en faisant une icône qu'on détruit le message qu'un homme aura souhaiter transmettre - en somme : courage ! Quitte à m'étiquetter : scientifique  ; démocrate radical ; socialiste. A part le boulot qui paie mes factures (ingénieur en mécanique), j'ai travaillé, suivant mes voies et mes rythmes, sur des matières dont le nombre suffirait déjà, je le crains... à effrayer les impatients ! Disons, par ordre à peu près décroissant : Droit constitutionnel et dérivé, critique des institutions nationales actuelles / Critique des institutions européennes et stratégie de sortie de l'Euro / Réforme des institutions nationales / Monnaie / Systèmes spécifiquement impérialistes-totalitaires et moyens d'y faire face / Offensives idéologiques diverses et variées : - Arnaque du "changement climatique" (dossier que je suis le plus assidument depuis 10 ans - travaux scientifiques de fond, avec deux projets de publications ; réflexions politiques) et, plus largement écologisme scientiste contemporain ; - faux "antiracismes" forcenés, féminisme débile et autres conneries du genre, et plus largement toutes menées contre la cellule familliale, nationale et contre l'humanité, sionisme politque et idéologique, etc.) / Psychologie / Musique (composition et surtout arrangements, tous styles - guitare et chant à la marge) / Dessin (depuis toujours mon grand dada, certes toujours plus esseulé... - ici comme sur mon blog, en général les dessins et autres supports visuels sont de ma composition) / Éducation de mes enfants.

Tableau de bord

  • Premier article le 21/06/2012
  • Modérateur depuis le 08/12/2018
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Derniers commentaires



  • sasapame sasapame 11 décembre 2018 00:20

    Un « rappeur », dont j’ignorais le sobriquet et, surtout, le travail, mais dont « mon petit doigt » me dit que la provocation publique dont il s’était récemment vu accusé de s’être rendu coupable tenait plutôt de la sainte colère — d’un rappel à l’ordre consistant, en définitive, à s’en tenir à « appeler un chat un chat », et dont l’auteur se sent le devoir de l’être du simple fait que personne ne le fera à sa place —, aurait eu ces paroles pour « sa défense » : « Je trouve que ce sont des femmes qui méritent beaucoup d’amour et il faut leur en donner, comme Macron fait avec Brigitte ». Cela m’a beaucoup ému.

    Cette pauvre femme — ou, du moins, l’image que les inconscients s’acharnent eux-mêmes à en donner... —, lorsqu’elle soutient le projet indécent d’interdire la fessée en toutes circonstances, ne semble pas saisir cette règle absolument fondamentale ici bas : non seulement l’exception à la règle ne la contredit pas, mais c’est précisément l’exception qui confirme la règle. Pour le dire simplement : c’est justement pour éviter l’escalade de la violence et, dans une vision plus longue encore, cette culture de la violence qui effraie bien légitimement cette dame, qu’un parent a le devoir d’appliquer la correction, à temps et sans faillir lorsque l’enfant lui-même l’appelle (et qu’il a, dans l’intervalle, bien fait savoir qu’il repoussait « la méthode de la carotte », disons les promesses et les bonbons). Ceci pour la simple raison que tout corps vivant pousse naturellement ses limites jusqu’à ce qu’il en trouve une ! Faut-il avoir lu Montesquieu...

    Pour donner une autre illustration de ce fléau-là — dans un langage d’ailleurs opportunément (Mammon m’empale entre deux biffetons) inspiré du curieux concept de « mariage pour tous » —, il s’agit de comprendre que ce qui nous a été vendu comme l’abolition de la peine de mort doit être entendu, en fait, comme l’abolition de la peine de mort pour tous. Là encore, suffisait d’y penser... Y compris, donc, pour les crimes, par construction irréparables, du moins par voie judiciaire, que sont l’inceste, le viol, le meurtre et la haute trahison. Ni vu ni connu. Autrement dit encore, c’est précisément pour que la peine capitale ne menace pas d’en venir, d’une manière ou d’une autre, à être appliquée arbitrairement, et à l’être, dans le même geste, aux fautes les plus réparables, qu’il est essentiel qu’elle soit maintenu pour ces crimes-là — et eux seuls. Ou plutôt, il s’agit de dire que, si on réduit la dureté du châtiment — pourquoi pas ? — il ne s’agit en tous cas pas de détruire dans la foulée la protection conférée par le principe de hiérarchie des peines et, donc des fautes.

    Emmanuel Kant, sauf erreur, s’est appliqué à retrouver et à reposer de manière (trop ?) lumineuse le précepte selon lequel, pour bien agir, avant de soumettre votre projet aux autres, il faut veiller à vous faire d’abord « l’avocat du diable », c.-à.-d. soumettre d’abord, dans votre propre réflexion, ce projet à la contradiction des autres par la pensée. Tout cela est bel et bon... mais nul n’est jamais à l’abri de retomber dans le pêché d’orgueil et, bien pire encore, d’y rester vautré : dans un moment d’égarement ayant manifestement bien trop duré, ce « sage » a lancé à a face du monde le projet totalement fou — son orgueil aurait du lui éclater au visage... — d’établir la paix perpétuelle. Constatez les dégâts.

    Lorsque les choses tendent à s’éclairer pour qui devient de plus en plus à même de laisser parler son cœur et d’écouter celui des autres, il y a encore et toujours la tentation... de croire ; de croire, par exemple, que les dictons, à force de passer devant lui comme des formules magiques, n’ont plus à être réinterrogés ! Surtout les plus anciens, justement. J’ai « coutume » de déplorer, non pas que tant de gens ne lisent pas (à chacun le rôle qu’il s’attribue), non pas que la plupart des autres ne le font qu’en diagonale, voire souvent en ne lisant que les résumé-conclusions, toujours pressés (fainéants, effrayés, de mauvaise foi, tout cela revient au même) qu’ils sont, oubliant d’éplucher les développements (surtout « les longueurs »), oubliant toujours de remettre l’ouvrage sur le métier et, on l’avait compris, attendant toujours des ordres (par construction toujours bâclés, bien sûr, par l’auteur, puisque c’est presque toujours son travail le moins prioritaire que de le faire), mais que, parmi le déjà si faible résidu, il n’y en a encore une très large majorité qui ne saisit pas que le plus important, pour ne pas dire tout ce qui l’est — à part que l’essentiel se lit entre les lignes, mais qu’importe : chaque chose en son temps —, était à chercher dans la méthode ! Quand le sage montre la Lune (l’objet qu’il prend en illustration pour les besoins de son enseignement), l’inconscient regarde... la Lune (prévenu d’avance qu’il ne doit surtout pas regarder le doigt, auquel cas il serait réputé passer pour un con, il s’en fait déjà un principe intangible... et ne considère plus jamais ce doigt qui représentait, ici, bien sûr, la méthode du chercheur) !

    En tout état de cause, quiconque y réfléchit un peu comprendra que l’énoncé en vogue n’est jamais que le produit d’une longue suite plus ou moins accidentelles de traductions. Pour commencer, dans ce cas d’espèce, on devrait tout de même savoir que les langues chinoises écrites ne se basent pas sur un alphabet mais sur ce qui s’apparente, disons, à des hiéroglyphes, à des images visuelles. Ensuite, puisque justement l’on sait que les paroles s’envolent tandis que les écrits restent, non seulement on tend à mépriser ces « traditions orales » auxquelles on est d’autant plus assurés ainsi de ne jamais rien comprendre... mais on en oublie aussi de voir que c’est bien parce que les écrits restent qu’ils peuvent être soumis, avant de vous être présentés, à maintes opérations relevant de la production et de l’usage de faux... tout en permettant à de telles opérations d’être masquées par le fait même de « l’évidence » au sens de celui qui ne croit que ce qu’il voit... C’est balo ! 

    Bien le bonjour.

    ... et Paix sur la Terre aux Hommes de Bonne Volonté.   



  • sasapame sasapame 10 décembre 2018 07:49

    Citoyen P@py, puisque tu as le cœur si pur (le mien le sait, et ça me suffit bien), tu sait déjà que tu ne te laisseras plus jamais gouverner par la peur, que tu n’as plus à avoir peur que de Toi-même. Redevenons les anges gardiens de nos semblables, ce serait bien assez.... Je plusse dans le bus.



  • sasapame sasapame 10 décembre 2018 07:14

    ... et, disais-je, comme dit le dicton qui, pour avoir été recomposé à l’arrache en quelque occasion, n’en appelle pas pour autant un chat un chien :


    Citoyen, si tu veux t’assurer de faire taire un Homme, donne lui du Pouvoir.





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