Aqueue je déspprouvationne depuis la Suisse où je réside provisoirement l’emploi de ma chanson pour dire du mal d’un ami. Aquaue je mets mes avocats sur le coup J.H
PS:pour étre sérieux, je rappelerais tout de méme que le texte de cette belle chanson est de Michel Berger , et non de Johnny.
Je rappellerais aussi qu’elle dit également :
« Comme une étoile qui s’éteint dans la nuit A l’heure où d’autres s’aiment à la folie Sans un éclat de voix et sans un bruit Sans un seul amour, sans un seul ami Ainsi disparut Tennessee ».
Bref, pas trop le cas de qui vous savez, non ? Comme quoi, M’sieur Dugué, les chansons, on peut leur faire dire tout et son contraire, il suffit de choisir la strophe....
Je note avec interét que pour un retraité de la Gendarmerie, un mort et dix blessés chez des enfants innocents, percutés par un gugusse en fourgon de Gendarme qui ne poursuivait pas des braqueurs de banque mais qui rentrait à la caserne, c’est pas grave.. juste regrettable...
La prochaine fois qu’un Gendarme m’arrétera à 160 km/h sur une autoroute déserte et voudra me faire croire que c’est dangereux et criminel, je sais quoi lui répondre. Bof, en dessous d’un mort et 10 blessés, rien n’est grave....c’est un collègue à vous qui l’écrit sur Agoravox.
PS : ce que vous faites semblant de ne pas comprendre, c’est que ce dramatique accident est non seulement injustifiable par une raison impérieuse de service ( urgence), mais que l’auteur appartient à un corps qui met 50% de ses effectifs à traquer les automobilistes et fait des leçons de morale à longueur de journée à la télé. On ne vous supporte plus , point barre.
C’est cela qui est ridicule. Ce clin d’oeil du destin, qui devrait vous inciter à remplir d’autres missions ou du moins à « la mettre en veilleuse »sur la prétendue « sécurité routière ». Pas besoin d’étre sorti de St Cyr pour le comprendre.
Dans votre bilan 2011 de la Gendarmerie, et puisque vous évoquez à juste titre vos morts, il manque ce fourgon de Gendarmerie qui a fauché, en automne dernier, un groupe de jeune dans un rond-point, faisant une dizaine de morts et blessés. Ca manque un peu dans votre bilan, non ? Mais il est vrai que vos collègues sont trop occuppés à nous donner des leçons de sécurité routière cachés dans les bois au bord des routes....
Bon, je vois qu’une simple assertion sur nos « baveux » préférés a provoqué une bonne discussion de sophistes... G. Yang a raison, les procès sont un théêtre, avec ses codes, ses rites et donc ... ses acteurs. Les bons, les moins bons. Rien à voir avec « la vérité » (quelle connerie...), le bien , le mal, le juste et l’injuste. C’est juste une joute, on l’on perd ou gagne (pour le prévenu) mais où l’avocat gagne toujours (son chèque). Si celui de la partie civile fait semblant de d’étre ulcéré par son confrère défendant l’accusé, bien souvent ils se retrouvent ensemble pour déjeuner et se connaissent depuis 20 ans. Entre la poire et le dessert, l’un dit à l’autre « Alors, comment tu m’as trouvé ? ». L’autre répond : « redoutable, enfoiré...Mais j’aurais ma revanche la semaine prochaine avec le procès de la boulangère ». Justiciables, si vous saviez....
« Les sophistes se faisaient payer pour enseigner, leurs disciples trouvaient cela tout à fait naturel et crachaient au bassinet, les autres philosophes regardaient cette approche mercantile comme vénale et indigne. Les sophistes s’en foutaient car ils ne voulaient pas crever de faim ni dormir dans une amphore ; »
Ouais, on a toujours les survivants des sophistes : les avocats. Ils sont payés pour baver, ils défendent un jour l’assassin de la petite vieille, le lendemain le veuf de la dite vieille, avec le même entrain que donne la perpective du chèque. Tout le monde trouve cela normal et s’extasie devant « cette belle profession d’avocat », comme Camus le fait dire à un de ses personnages.
Les profs de philo, c’est pas grave, ils ne font remettre personne en liberté...