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savouret

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  • Premier article le 07/07/2009
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Derniers commentaires



  • savouret 27 juin 2009 22:44

    une petite précision, sans vouloir etre désobligeant l’ économie droit ne figure pas au programme de la série es, mais il s’agit plutot d ’une discipline au programme de la série stg.



  • savouret 26 juin 2009 11:35

    désole pour les quelques fautes de frappe commises à la fin du texte



  • savouret 26 juin 2009 11:31

    article interessant .

    il est évident que nous vivons dans un monde imprégné d ’égoisme, ou la compétition entre les individus est de plus en plus exacerbée. l ’egoisme est inhérent à la nature humaine et je ne pense pas qu’il n ’y ait qu’une minorité de gens égoistes contrairement à ce qu’ont écrit certains locuteurs.je dirai qu’il est plus pertinent de considérer que l’egoisme est pathologique ou compulsif chez une minorité d ’individus qui sont hermétiques a l’altruisme.

    en revanche chez le commun des mortels l ’égoisme quotidien manifesté n ’est pas incompatible avec le désir d’altruisme .ceci dit cet altruisme ne reste bien souvent qu’un voeu pieux pour une majorité de personnes , dans la mesure ou la vie en sociéte est avant tout fondée sur la compétition , a fortiori dans un systéme capitaliste fonctionnant selon l’idéologie néolibérale.ainsi, les dispositions à la générosité, à la bienveillance qui se manifestent chez l’individu sont contrecarrées par la « réalité » du monde qui semble délégitimer ces vertus en les faisant apparaitre comme des faiblesses rédhibitoires.
    ainsi, une personne réellement altruiste, ou du moins nettement plus généreuse que la moyenne pourra facilement etre percue par ses congénères comme une personne faible,utopiste, inadaptée aux réalités de la vie quotidienne.

    certes, des hommes ou femmes incarnant l’altruisme sont plébiscités par l’opinion et sucitent l’admiration, toutefois cette reconaissance n ’implique nullement le désir de leur ressembler tant leur parcours semble atypique et synonyme de sacrifices aux yeux de la masse.

    dans nos sociétes contemporaines, il semble en effet de plus en plus inconcevable de consacrer une partie de sa vie au bonheur d ’autrui a fortiori si celui ci ne fait pas partie de notre entourage proche.certes,le bénévolat dans des associations caritatives est en plein essor, mais bien souvent celui ci ne signifie pas un réel engagement, un authetique don de soi, dans la mesure ou il est restreint à une heure ou d eux par semaine.de plus, la majorité des personnes intérogées vous repondront lorsque vous les interrogerez sur les déterminants de leur action, qu’elles sont principalement dans une quete d ’épanouissement , d ’enrichissement personnel,qu’elles veulent se sentir utiles.en définitive, les motivations exposées traduisent plus un désir d ’accomplissement personnel que l ’aspiration à rendre autrui heureux.

    je peux paraitre désanchanté sur la nature humaine, mais rassurez vous ce n ’est pas le cas.j’expose seulement mon point de vue sur la complexitéde la nature humaine, sur une tendance naturelle à l’égoisme que je réprouve mais que je dois accepter,sur l’amplification considérable de cette tendance qu’engendre le systémé économique et social dans lequel nous évoluons.cependant, je continue de croire au perfectionnement de l’etre humain, en sa capacité à s ’éléver et à se départir d ’une certaine fome de médiocrité quotidienne .bien que je puisse comprendre la dramatisation de la crise écnomique et sociale actuelle, je ne peux m’empecher de l’ appréhender comme une source de bienfaits potenitiels.en effet, elle souligne la faillite d ’un systéme exalatant la profit , l’nteret individuel et delegitimant toute générosité désinteresséee.elle met en exergue la folie d ’une idéologie souhaitant étendre à toutes les sphéres de l ’activité humaines les lois du marché et de la concurrence.

    alors oui je l’affirme, je crois que cette crise peut etre une chance pour repenser en profondeur notre mode de vie, notre conception des rapports humains, et elle peut donc réhabiliter l ’altruisme.



  • savouret 26 juin 2009 10:49

    il est indéniable que ce gouvernement est prisonnier d ’une logique idéologique dans son rapport à la fiscalité.malheureusement, je pense que la décision de ne pas augmenter les impots est plutot bien percue par la majorité de nos concitoyens, car il existe une « crise » de la solidarité nationale qui délégitime l’ idée de redistribution vers les couches populaires ou défavorisées.celle ci, résulte de nombreux facteurs et la politique menée par sarkozy ne peut que la renforcer.bien sur, il réhabilite dans son discours le modéle social francais, mais sa politique intérieure demeure en grande partie régie par les dogmes du néolibéralisme.malehureusement, sans que l’on en ait totalement conscience, la révolution « conservatrice » de la fin des années 70 a profondément penétré les mentalités individuelles et collectives et delégitimé l ’idéede solidarité nationale.



  • savouret 26 juin 2009 10:40

    article interessant.je vais poser une autre question ?vous semble t il réaliste de poser ce type de sujet a des lycéens de 17 18 ans qui n ’ont jamais été initiés à une véritable réflexion sur l’histoire et ses enjeux, sachant que ceci implique de poursuivre des études supérieures d ’histoire ?comment un lycéen de 18 ans pourrait il avoir une pensée personelle sur ce sujet, alors que celui ci serait déja problématque a traiter pour un certain nombre d ’étudiants en licence ou master d ’histoire ?


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