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Serge-André Guay

Serge-André Guay

Serge-André Guay a travaillé dans le domaine des médias, de l'éducation aux médias, des communications et du marketing pendant plus de 25 ans avant d'investir l'internet à titre d'éditeur en ligne avec la Fondation littéraire Fleur de Lys qu'il lance en Juin 2003. Ancien journaliste et rédacteur en chef, il porte une attention toute spéciale à l'univers des médias.
Président éditeur de la Fondation littéraire Fleur de Lys

Téléphone : (418) 903-5148 (Lévis, Québec, Canada).
Adresse postale : Fondation littéraire Fleur de Lys, 31, rue St-Joseph, Lévis, Québec, Canada. G6V 1A8
Adresse électronique : [email protected]
Site Internet : http://www.manuscritdepot.com
ou http://www.fondationlitterairefleurdelys.org
 
 

Tableau de bord

  • Premier article le 10/02/2006
  • Modérateur depuis le 14/02/2006
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Ses articles classés par : ordre chronologique













Derniers commentaires



  • Serge-André Guay Serge-André Guay 3 mars 2006 19:18

    « Pourquoi aller chercher si loin ? ». Qu’est-ce que cela veut dire ? Qu’AgoraVox n’est pas international ? Si je ne suis pas le bienvenu, il faut me le dire !



  • Serge-André Guay Serge-André Guay 3 mars 2006 19:13

    Les meilleures sources d’informations sont les suivantes :

    Fondation autochtone de guérison

    http://www.ahf.ca/

    Que sont les enfants devenus

    Guérir l’héritage des écoles résidentielles

    http://www.lesenfantsdevenus.ca/fr/home.html

    Il y aussi ce document PDF :

    http://www.ahf.ca/assets/pdf/french/healing&trauma.pdf

    Pensionnats indiens : l’enfance déracinée

    http://archives.cbc.ca/IDD-0-13-711/desastres_tragedies/pensionnats_indiens/



  • Serge-André Guay Serge-André Guay 3 mars 2006 19:03

    Voilà un commentaire méprisant qui mériterait d’être supprimé. Mais laissons-le là en témoignage de la société affairiste dans laquelle nous vivons. Il y aura toujours des gens pour percevoir en tout un gain financier même lorsque les FAITS démontrent le contraire. L’un des amérindiens dans le reportage en question précise qu’il n’attend pas de compensation financière mais des excuses officielles de la part de l’Église catholique. Ce à quoi répond l’évêque de la région, un autre affairiste, qu’il n’en est pas question, visiblement en relation avec les poursuites financières qui pourraient suivre. À l’instar de Scipion, cet évêque voit de l’argent partout. Ce n’est pas le cas de tous, heureusement, y compris des amérindiens, sans doute en raison d’une spiritualité différente.



  • Serge-André Guay Serge-André Guay 28 février 2006 00:50

    Et voilà, vous venez de comprendre. La démarche citoyenne consiste en deux volets chez AgoraVox : celui du rédacteur et celui du lecteur. Il y a donc le journal et, à l’intérieur de dernier, le forum, tous deux citoyens à part entière. Et tous les deux sont filtrés... par les citoyens eux-mêmes et les autorités en place.

    Serge-André Guay



  • Serge-André Guay Serge-André Guay 27 février 2006 19:59

    Merci pour votre commentaire. À mon avis, le vox populi (l’opinion du plus grand nombre, de la masse) n’assure pas une gouvernance politique efficace. D’abord parce que la voix du peuple peut être manipulée. Ensuite parce que toute opinion, soit-elle partagée par le plus grand nombre, demeure un jugement subjectif. C’est d’une information objective, dans le sens scientifique du terme, dont nous avons besoin. Et en place et lieu d’interprétations, nous avons besoin d’un esprit plus scientifique, dans le sens épistémologique du terme, c’est-à-dire plus attaché à la logique de faits qu’à ce qu’il pense. Mais pour satisfaire ces besoins, il faudrait enseigner l’esprit scientifique à tous dès les premières années d’école. Nous pourrions alors espérer un peule capable de distinguer ses opinions des faits.

    Quand j’écris que l’opinion règne en roi et maître de tous les débats, il faut aussi comprendre que tous les débats sont devenus des « débats d’opinions ». Savoir que telle ou telle personne est en accord ou en désaccord avec l’opinion de telle ou telle autre personne ne nous avance pas. À la fin du débat, on se retrouve avec des opinions sur des opinions, rien de plus, si ce n’est une opinion gagnante. Et souvent, cette dernières n’est qu’un compromis des opinions exprimées lorsqu’elle ne doit pas uniquement sa victoire au charisme de son auteur.

    L’essentiel a été délaissé, le sujet, ce sur quoi on s’exprimait : des informations objectives, des vérités de faits. Le but du débat a été détourné. On cherche à imposer son opinion, sa vision, son point de vue, son interprétation ou un compromis. Et on trouve ce que l’on a cherché : une opinion, non pas une solution logique et objective à un problème objectif. On ne trouve pas une solution fondée sur toutes les connaissances acquises par l’Homme sur l’objet débattu mais une simple opinion fondée sur des interprétations subjectives des faits.

    Évidemment, l’objectivité demeurera toujours imparfaite, même en science exacte. En revanche, la science s’est donnée le moyen de contrôler ses biais en acceptant de douter. On a même fait du doute le fondement de la méthode scientifique. Ainsi, en science, tout peut être remis en cause. Il suffit d’en apporter la preuve. Et cette dernière concerne en premier lieu la logique suivie à savoir si elle est objective, scientifique. En science, les opinions, mêmes scientifiques, n’ont pas leur place, ce qui lui permet d’avancer des connaissances objectives.

    Curieusement, dès que l’on sort ces connaissances objectives du monde de la science, par exemple, pour les présenter au peuple ou aux politiciens, les réactions sont toutes subjectives. On se prête à l’interprétation, on se fait une opinion qui devient d’emblée l’enjeu principal. Pour y voir clair, il faudrait mettre au travail des milliers d’épistémologistes afin de relever les erreurs de pensées.

    Il y a une foule de problèmes économiques, sociaux, culturels et autres dont les solutions seraient vite trouvées si l’on réunissait en assemblée des spécialistes de la connaissance en épistémologie et en sémiotique qui pourraient nous indiquer là où nous avons manqué le bateau. Notez que le vrai spécialiste dira : « Mon opinion n’a aucune valeur. Je me trompe trop souvent. Mais mes recherches ne se trompent pas ».

    Serge-André Guay

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