« il y avait un doute qu’en poussant sur le bouton rouge du tableau cela ne s’arrête pas ? »
Prenez du recul, « Ce » risque n’a jamais été aussi réel aujourd’hui, même après l’arrêt sur le bouton rouge.
Les ruines de ces centrales sont elles vraiment sécurisables avant qu’un autre séisme aussi puissant se produise et ne crèe cette fois une fusion à l’air libre des piscines de stockage ?
Si ça se produit demain rien n’aura été arrêté et ce sera bien pire, je n’ai aucun doute à ce sujet.
Vous rendez vous compte que vous nous parlez fric alors qu’on vous parle risque majeur ?
Ca vaut combien en centaine de milliards dans votre esprit un risque majeur, pour qu’on vous amène à réaliser dans votre échelle de valeur ?
Merci pour ce lien vers cet excellent doc qui démontre que bien au delà du soi disant « contrôle » de la situation après cette première catastrophe, ces infrastructures nucléaires détruites et non sécurisables à court terme pour faire face à un séisme aussi puissant et tout autant probable que le précédent, pose magistralement l’enjeu en cours au Japon à présent face aux menaces que représentent aujourd’hui les ruines de cette industrie nucléaire et ce risque sismique majeur sur le quel personne n’a aucun contrôle.
Si j’écris aujourd’hui qu’il y a un risque bien réel (75 % qu’un séisme destructeur se produise sous 4 ans) et que le Japon devienne définitivement inhabitable avant 10 ans, je vais me faire taxer de cinglé... et pourtant, combien on dits dans les 10 dernières années qu’il y avait un risque majeur et n’ont pas été écoutés ?