Une autre solution pour DSK aurait consisté à être plus discret en matière de "love affairs" et surtout à éviter de mélanger travail et bagatelle...
Quant à Stéphane Guillon et Didier Porte, qu’importe s’ils exagèrent le trait parfois, c’est pour mieux nous faire rire ! Et ma foi, qui peut s’en plaindre ?
Bravo ! Vous ne doutez donc jamais ? Il me semble pourtant que tout choix comporte un risque, ne serait-ce que celui de se tromper... Or, "l’erreur est humaine", dit-on, ni féminine, ni masculine...
Cela étant et pour revenir au sujet évoqué, je suis surprise que l’"héritage" ne soit guère considéré ou compris que sous l’angle économique, à savoir la dette que nous laisserons aux générations futures. Or nous disposons tous, individuellement et collectivement, d’un patrimoine immatériel que les prochaines générations décideront de conserver, de développer, de modifier ou non... ce que nous ignorerons toujours.
Il faudrait peut-être se poser la question autrement et envisager ce que nous-mêmes sommes prêts à sacrifier aujourd’hui de notre confort (même s’il est relatif et surtout très mal réparti) pour que notre planète Terre soit, dans 20 ans, 50 ans, 100 ans..., vivable (selon nos critères d’aujourd’hui) pour les 8 à 10 milliards d’êtres humains qui la peupleront ?
Le titre de l’article est provocateur à dessein. Si j’ai bien lu son auteur (qui se présente comme "un citoyen du monde impliqué"), je comprends plutôt que, quelles que soient nos actions et/ou décisions, bonnes ou mauvaises (selon nos critères d’aujourd’hui), leurs conséquences seront pour certaines positives, pour d’autres négatives (selon des critères de demain ou d’après-demain qui seront vraisemblablement différents des nôtres).
Ainsi, une décision que nous prendrions aujourd’hui, en ayant imaginé les conséquences et effets possibles de celle-ci et même après avoir tiré les leçons d’une expérience antérieure, ne produira pas forcément le résultat souhaité.
Cela pour autant ne doit pas nous empêcher d’avancer. Pourvu, comme le conclut l’auteur de cet article, que ce soit dans "la responsabilité et le respect des autres, deux des principales valeurs que nous devons appliquer quotidiennement".