J’aime
bien votre forme d’objectivité dans un paradoxe qui s’avère apparemment insoluble,
l’amour comme antidote d’une finance gargantuesque est une vérité qui me rends
heureux ( je suis Spinoziste )
Chers
amis, intellectualisez la musique est une erreur, analyser la technique en est
une autre…..la musique est une émotion que chacun ressent plus ou moins différemment,
il n’y a pas de code ou de savoir qui régissent cette émotion…personne n’ecoute
mieux que l’autre, c’est une prétention…. Plus l’émotion est forte pour chacun plus
la musique est belle, quel que soit le « medium » qui est en cause…..
Bonne
écoute…et laisser écouter les autres comme ils le veulent..
le Grand Architecte de l’univers et le symbolisme sont les pierres angulaires de toutes les loges maçonniques du monde ( à l’exception du Grand-Orient de France). Sans vouloir diminuer les ardeurs de l’auteur sur son sujet, il existe de milliers textes élaborés au cours des siècles que l’on peut consulter et bien entendu avoir encore beaucoup de choses à dire a partir de cette inépuisable conscience qui nous habite.
Jaime
beaucoup se débat sur la définition de la richesse, car c’est la pierre
angulaire de notre existence matérielle. Son absence nous ouvre la voie vers
des valeurs personnelles authentiques ,son
abondance nous donne accès à l’évolution positive de la société. C’est un paradoxe
, il y a deux vérités, équivalentes, inséparables, comme le pile ou face d’une même
pièce de monnaie. La tragédie de l’argent, c’est ce que nous devons éventuellement
faire pour le gagner, ce que nous devons abandonner, voir ignorer pour l’obtenir.
Rares sont les parcours importants sans fautes. Nous vivons une fuite en avant
mondiale dont l’accélérateur est la richesse. Les disproportions de richesses personnelles
deviennent gigantesques, sans raison d’être ,grotesque au regard d’une famine endémique
pour une large surpopulation que la
terre n’est plus capable d’accueillir. Nous perdons le contrôle, la richesse comme
seule solution, n’a plus de sens. Il nous faut trouver un nouvel équilibre,
libre d’être riche ou de ne pas l’être sans différences sociales, la richesse devrait
être un choix, sous forme d’un jeu basé sur des valeurs à respecter, mais la société
(comme un casino) devrait toujours être la gagnante. Les bons riches ,ça existe
déjà, ce sont souvent des joueurs qui partagent ou donnent leurs biens à la société.
Ne pas oublier d’encadrer les politiciens qui sont tous à la recherche de
richesse et de gloire.