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Sylvain Poirier

Sylvain Poirier

D’abord mathématicien et physicien, je mène plusieurs projets en parallèle en sciences, philo, économie :
  • présentation novatrice de sujets de mathématique et physique de base ; critique de théories pseudo-scientifiques ;
  • réflexion sur le libéralisme et notamment la possibilité de passage à un nouveau libéralisme complet (ordre politique décentralisé) basé sur un nouvel internet.
  • philosophie avec des idées originales suivant une démarche rationnelle, dans une perspective déiste acceptant l’existence de l’au-delà : critique rationnelle du christianisme et d’autres idées "spirituelles", mais aussi d’un certain matérialisme pseudo-sceptique ; grille de lecture technologique et politique du problème des rencontres amoureuses.

Tableau de bord

  • Premier article le 25/08/2006
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Ses articles classés par : ordre chronologique





Derniers commentaires



  • Sylvain Poirier Sylvain Poirier 20 octobre 2006 11:40

    Moi aussi, je me considere vrai libéral, mais avec des développements d’idées originaux pour remplacer l’Etat. Je tente maintenant de créer un nouveau courant politique, un Mouvement vers la Dissolution de l’Etat. En effet, je suis en profond désaccord avec Alternative Liberale a la fois sur certains sujets importants de fond (l’écologie et les institutions) et sur la forme et les méthodes, puisqu’a mon sens la principale méthode de liberalisation ne reposera pas sur des victoires électorales mais des développements de logiciels.



  • Sylvain Poirier Sylvain Poirier 29 août 2006 00:24

    « La fraude est simple, il suffit de laisser au citoyen lambda la joie de vérifier la conformité de son vote, d’une part afin d’entretenir l’illusion, et d’autre part, fournir des résultats d’élections à la sauce voulues par les industriels ou les politiques, la procédure de calcule pouvant à soin, être ROMé selon les directives de la propriété industrielle les plus restrictive. Ainsi un contrôle total devient impossible, sous couvert de sécurité. Et si jamais cette partie ne suffit pas, les industriels peuvent, cabler en hard, lors de la gravure, les micro codes fallacieux. »

    Ceci ne fait que confirmer une fois de plus mon propos, à savoir le fait que vous avez tous résolument décidé de ne pas lire ou de ne pas comprendre mon article.

    J’ai écrit : « Si vous n’êtes pas convaincus, expliquez-moi en détails comment vous voyez un scénario de fraude qui extérieurement apparaîtra conforme à la méthode que j’ai décrite. » Il est clair pour moi que le scénario que vous proposez ne peut en aucun cas apparaître extérieurement conforme à la méthode que j’ai décrite, mais seulement bien sûr extérieurement conforme aux méthodes invérifiables habituelles dont vous raffolez tellement que vous avez résolument décidé de rejeter toute tentative de concevoir la possibilité d’un scénario différent qui soit exempt de ces trous de sécurité.

    Dois-je rappeler que dans mon scénario, la liste des bulletins de vote est intégralement publiée, de sorte que chacun aura loisir de recompter les bulletins par un mini script dans son propre ordinateur.



  • Sylvain Poirier Sylvain Poirier 28 août 2006 12:02

    Je suis déçu de constater que nombre de commentateurs ici n’ont même pas pris la peine de comprendre cet article avant de le commenter. Ils répondent comme s’il s’agissait ici de promouvoir un système de vote invérifiable comme ceux qui sont actuellement répandus, alors que l’objet de l’article était justement de proposer une solution complètement différente de celles dont il est habituellement question, et dans laquelle les risques habituels ne se posent plus. Encore faut-il prendre la peine de comprendre pourquoi.

    Continuer à étaler indéfiniment les témoignages de risques de fraudes des systèmes actuels de votes électroniques est hors sujet. Au contraire le caractère invérifiable des systèmes de vote électronique traditionnels devrait être vu comme une bonne raison d’apprécier cette recherche de méthodes différentes comme celle que je propose, qui résoudrait ces problèmes.

    Pour répondre à la critique « chacun ne peut vérifier que son propre vote ». Je suis parfaitement d’accord que si un système de vote électronique traditionnel, c’est-à-dire sans procéder suivant le scénario que je décris, ne propose à chacun de vérifier que son propre vote, cela ne prouve rien. Mais avec le scénario décrit, la preuve est claire, il suffit de prendre la peine de réfléchir deux minutes pour la comprendre, en se rapportant au scénario précis que j’ai décrit. Aucune fraude n’est possible si ce n’est une fraude sur des votes particuliers, ceux de personnes qui nécessairement détecteront cette fraude sur leur propre vote. Si vous n’êtes pas convaincus, expliquez-moi en détails comment vous voyez un scénario de fraude qui extérieurement apparaîtra conforme à la méthode que j’ai décrite. Alors, dans les détails, il apparaîtra que ces scénarios de fraude ne sont pas possibles.

    Quant à ceux qui voudraient m’obliger par motif d’un prétendu « réalisme » à restreindre toute discussion à celle des systèmes de votes électroniques désespérément frauduleux qui existent actuellement, afin de nous enterrer dedans...



  • Sylvain Poirier Sylvain Poirier 25 août 2006 14:52

    J’ai dit : défaut éventuel. C’est-à-dire pas un défaut certain. En effet j’ai défini les grandes lignes de l’idée, mais non les détails très précis, afin d’ouvrir un débat sur les possibilités de méthodes détaillées et leurs éventuels risques. Par conséquent, avant d’exclure l’ensemble de l’idée, j’invite à discuter de ces détails possibles pour qu’on évalue ensemble la mesure des risques, et pour voir si en fin de compte, en s’y prenant bien, ces risques peuvent se trouver finalement exclus on non. Si donc on arrive finalement à définir un scénario capable d’exclure les risques, il n’y aura plus de risque et l’idée ne pourra plus être exclue.

    (Remarque de forme, ou.. ? : ça n’a pas de sens de demander d’exclure une idée, dans un monde de liberté de pensée et d’expression ; cela aurait seulement un sens de demander d’exclure la mise en oeuvre d’une idée si après examen de l’idée sa mise en oeuvre serait connue pour mauvaise, mais c’est déjà une autre question. Car rien ne doit nous interdire de réfléchir)

    « il reste toujours le grand problème : on ne sait pas ce qui se passe du côté de l’écran du votant : est-il menacé ? est-il acheté pour voter d’une certaine façon ? »

    Je ne vois ici que deux manières suivant lesquelles la part de risque que je reconnais irréductible, de pression explicite par transmission des identifiants, serait plus grave que celui induit par le droit actuel de vote par procuration (qui permet à quelqu’un d’obliger par la menace ou par l’achat quelqu’un d’autre de lui donner procuration, risque contre lequel, à mon humble connaissance, il n’y a guère de protestation) : d’une part, la possibilité de donner procuration officieusement sans déclaration ; d’autre part et consécutivement, la possibilité pour un nombre illimité de personnes, de donner procuration à une même personne. (D’un autre côté, j’y vois une petite possibilité de recours nouveau, où la victime dans la deuxième petite phase du vote, se rendant dans un bureau de vote, pourrait corriger son vote quitte à ensuite se faire taper par son bourreau découvrant le changement après le dépouillement).

    Quant au reste du risque de violation de confidentialité, lié au système et dont je parie qu’en y travaillant bien on pourra assez bien l’exclure, il me semble difficilement utilisable comme moyen pour faire pression : si on ne sait pas qu’il y a violation de confidentialité, on n’est logiquement pas soumis à une pression. Si on est soumis à une pression, si ce n’est de l’Etat, cette pression viendrait de quelque part, ce qui ouvrirait une piste de recherche pour l’enquête sur la violation de confidentialité.

    « Tous ces articles pour nous convaincre que le vote électronique, c’est bien »

    Il ne s’agit pas de vous convaincre qu’une procédure comportant des risques de fraudes c’est bien, mais d’apporter des pistes de recherches de possibles procédures qui pourraient enfin exclure le risque de fraude, étant donné que l’informatisation galopante de la société remettra régulièrement la question sur le tapis ; le risque n’est donc pas de proposer une meilleure méthode, mais de laisser se faire l’informatisation avec de mauvaises méthodes faute d’avoir eu le courage d’en chercher de bonnes.

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