• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

T.B.

T.B.

Cet auteur n'a pas encore renseigné sa description

Tableau de bord

Rédaction Depuis Articles publiés Commentaires postés Commentaires reçus
L'inscription 0 757 0
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0

Derniers commentaires



  • T.B. T.B. 4 février 2007 11:05

    Pierrot, effectivement je n’ai pas confiance dans les rapports du GIEC d’abord parce qu’ils ne font qu’enfoncer une porte ouverte depuis .... 1970 !!! Et que leurs conclusions ne s’attaquent nullement aux lobbies nucléaires, gaziers et pétroliers ... parce qu’il s’agit de l’ONU.

    (Redirigé depuis GIEC) : « Le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) est un groupe d’experts, chaque membre étant accrédité par son propre gouvernement, qui a pour mandat « d’expertiser l’information scientifique, technique et socio-économique qui concerne le risque de changement climatique provoqué par l’homme ». Il a été établi en 1988 par deux organismes de l’ONU : l’Organisation météorologique mondiale (OMM) et le Programme des Nations unies pour l’environnement (PNUE). Le GIEC est ouvert à tous les membres de ces deux organismes et compte des centaines d’experts du monde entier, issus des universités, des centres de recherche, des entreprises, des associations de défense de l’environnement ou d’autres organismes. Depuis sa création, le GIEC a produit une série de rapports qui sont devenus des ouvrages de référence largement utilisés par les décideurs, les scientifiques, les étudiants et d’autres spécialistes. Ces rapports ont eu une grande influence dans les politiques environnementales de nombreux gouvernements. »

    « Halte à la croissance ? », sous-titré « Rapports sur les limites de la croissance », est un rapport demandé à une équipe du Massachusetts Institute of Technology par le Club de Rome en 1970. (c’est-à-dire juste avant les 2 chocs pétroliers que le MIT ne pouvait prévoir ou en tous cas pas de manière formelle ... ) C’est la première étude importante soulignant les dangers écologiques de la croissance économique et démographique que connaît alors le monde. Par sa principale proposition, la croissance zéro, il a suscité de nombreuses controverses (qui ne sont plus remises en cause, à moins de verser dans l’hypercritique propre au négationnistes, aujourd’hui). Ce rapport est aussi connu comme « Rapport Meadows » en référence à deux de ses auteurs : Donnela et Dennis Meadows, Jorgens Randers et William Behrens. Il a été publié en 1972 sous le titre Limits to Growth (pour l’édition française Halte à la croissance ? Rapports sur les limites de la croissance ed. Fayard, 1972). Pour de nombreux observateurs ce rapport a semblé exagéré comme le soulignait son titre provocateur.

    Ici je tiens à saluer Jancovici (eh oui !) quand il écrit : « Mais surtout, il y a une chose qui m’a frappée lorsque j’ai lu ce document (du Club de Rome de 1970) : la similarité entre l’évolution décrite par le rapport Meadows et le dossier du changement climatique. l’édition française a probablement desservi de manière significative la portée du rapport Meadows chez les francophones. (Voir également la traduction surprenante de « sustainable development » en « développement durable » !!!) »

    http://www.manicore.com/documentation/club_rome.html

    En clair, le Club de Rome avait tiré la sonnette d’alarme bien avant les rapports du GIEC, 18 ans plus tôt ... !!!! Et c’est à cette période que la France a lamentablement abandonné les premières recherches et grands projets en énergies renouvelables (solaires notamment) au profit de celles du nucléaire, une fois de plus.

    Je reproche simplement, mais c’est très important, à Jancovici de minimiser systématiquement dans ses conférences la portée des énergie renouvelables et le monstrueux retard de la France dans ces domaines alors qu’elle pourrait être leader européen dans ces mêmes domaines. Au contraire, elle est en queue de peloton et cette carence s’explique par le fait que la politique française est avant-tout nucléaire. Je rappelle à ce propos que vous vous trompez sur le statut d’AREVA. Ce qui ne vous empêche pas de récolter des +1 et moi des -1 !!! Ce sont les mystères d’Agora Vox ...

    Vous sous-estimez amplement l’incident de la Suède. Vous me taxez d’incohérence, de contradiction et d’idéologie (laquelle ?!) ... !!! J’apporte pourtant des éléments de réponses parfaitement étayés. J’inversé Suède et Finlande sur la localisation géographique de la centrale nucléaire de Forsmark (ce qui ne remet nullement en cause le fond du problème ) et ai commis une faute de frappe en indiquant 700 000 millions alors que je voulais écrire 700 millions (sinon j’aurais écrit 700 milliards). Je n’ai pas écrit un article mais fait un commentaire très rapide ne m’aidant que de ma seule mémoire et d‘éléments connus parfaitement objectifs et correctement sourcés ensuite.

    Je vous trouve donc particulièrement gonflé. Au lieu d’admettre vos erreurs vous me taxez d’irrationnalité. ... !!! C’est vous qui déraisonnez ! ... Je vous conseille de me relire et d’aller regarder les photos du lien de mon 3ème commentaire en partant du haut. Photos d’une réalité que les rapports de l’ONU ainsi que ceux de Jancovici ne montrent jamais au public. De vous renseigner également sur le coeur qui n’a pas atteint la nappe. Annoncer et publier officiellement 59 morts c’est se foutre de la gueule du monde. Cela s’appelle de la désinformation et, vu le sujet traité, à ce niveau là le mensonge est un crime. Il faut appeller un chat un chat.



  • T.B. T.B. 3 février 2007 02:17

    Qui parle de catastrophisme ?

    « Avec l’Allemagne, le Danemark et la Finlande, l’Espagne fait partie du groupe des quatre Etats-membres susceptibles d’atteindre les objectifs fixés par l’UE sur l’électricité verte, à savoir 21 % de la consommation électrique communautaire issue des énergies renouvelables à l’horizon 2010.

    Fin 2005, notre voisin allemand, qui n’est pourtant pas réputé pour son climat très ensoleillé, comptait sur ses toits une surface installée de capteurs solaires thermiques de quelque 6,7 millions de m² ( soit 6,7 km2 ) représentant une puissance thermique de 4 700 mégawatts. 4 % de l’ensemble des foyers allemands font d’ores et déjà appel au solaire en tant que source de chaleur durable et écologique. Pas moins de 270 millions de litres de fioul sont ainsi économisés chaque année. En outre, l’Allemagne produit plus de 1000 MW d’électricité photovoltaïque en 2006, soit les 3/4 de l’électricité solaire européenne. L’Allemagne dispose à présent d’un savoir-faire technologique et industriel qui en fait, comme c’est déjà le cas pour l’éolien le leader européen en matière d’énergie solaire, avec toutes les retombées très positives que cela entraîne en terme de création d’emplois qualifiés.

    Pendant ce temps, en France, la production solaire, qu’elle soit photovoltaïque ou thermique, reste marginale et insignifiante (moins de 0,5 % de la production totale d’énergie). Pourtant notre pays, contrairement à certaines idées reçues, dispose d’un excellent potentiel solaire. Plus de 20 départements du Sud de la France bénéficient de plus de 2 000 heures d’ensoleillement par an et même en Ile-de-France, le rayonnement solaire moyen annuel est de 1 150 kWh/ m2, soit seulement 20 % de moins que dans le sud de la France. Il est tout de même regrettable, et pour tout dire incompréhensible, que la France, qui a la chance de disposer d’un excellent gisement solaire, ne parvienne pas à utiliser cette énergie gratuite et non polluante avec le même niveau d’efficacité que l’Espagne ou l’Allemagne.

    Alors que le dernier rapport du Fonds mondial pour la nature (WWF) montre, qu’au rythme actuel, l’humanité consommera en 2050 l’équivalent des ressources annuelles de deux planètes comme la terre, il est grand temps que notre pays se réveille et se donne les moyens d’exploiter pleinement cette énergie solaire qui est appelée, aux côtés de la biomasse, du vent et de l’énergie des mers, à jouer un rôle majeur dans la civilisation de l’après-pétrole que nous devons bâtir d’ici le milieu de ce siècle. »

    Auteur : René TREGOUET dont le site web, très riche, est ci-dessous :

    http://www.notre-planete.info/actualites/actu_1050_energie_solaire_France_retard.php

    la France doit et peut combler son retard, voire faire mieux que les autres pays. J’avertis simplement que c’est EDF à travers l’ADEME et l’un de ses représentants Jean Marc Jancovici qui désinforme la population, à travers ses conférences, lorsque celui-ci martèle que nucléaire, gaz et pétrole sont incontournables et que les énergies renouvelables comme le solaire ou l’éolien ne sont , ce sont ses propres termes, que « des queues de cerises » sans avenir qu’il faut vite oublier ... C’est tout simplement de la désinformation.

    Propager et marteler de tels mensonges est un crime, car les cellules photovoltaïques ou les petites et grandes éoliennes ne sont pas responsables et ne seront jamais responsables du réchauffement par l’homme de la planète, des marées noires, des dégazages sauvages, du coût faramineux et stockages quasi-impossibles des déchets hautement radioactifs sans compter les « tensions internationales » (euphémisme) engendrées par la géopolitique de ces mêmes énergies fossiles imposées par les lobbies, sans concertation citoyenne.



  • T.B. T.B. 2 février 2007 18:50

    Je sais mon texte est long mais très instructif ... On est pas là pour faire de belles phrases mais pour nous auto-informer en dehors des médias habituels.

    Erreurs qui n’enlèvent rien au fond de mon commentaire. Areva est bel et bien une SA mais voir dans quelles condition (ensuite c‘était 700 millions et non 700 000 m pour la Finlande et ce n‘était pas la Finlande pour juillet 2006 mais la Suède) :

    Tout le texte suivant est tiré de pages sur Wikipédia qu’il vous suffit de vérifier !!!!

    Areva a été créé le 3 septembre 2001, par la fusion de CEA Industrie, Framatome et Cogema. Sa raison sociale est S.A. Société des Participations du Commissariat à l’Énergie Atomique. Ce nom est en fait le nom d’origine de CEA Industrie [3]. Le nom Areva n’est pas un sigle, il a été inspiré par l’abbaye d’Arevalo, en Espagne[4]. La branche transmission et distribution (Areva T&D) a été achetée à Alstom le 9 janvier 2004. La privatisation d’Areva a été annoncée par le gouvernement français depuis 2003, mais a été reportée plusieurs fois, notamment au profit des privatisations de GDF et d’EDF. Fin octobre 2005, le premier ministre Dominique de Villepin a annoncé qu’il suspendait le processus.

    Actionnaires principaux d’AREVA :
    - Commissariat à l’Énergie Atomique 79%
    - État français 5,2%
    - Caisse des dépôts et consignations 3,6%
    - ERAP 3,2%
    - EDF 2,4%

    AREVA dépend donc bel et bien des contribuables français.

    Anne Lauvergeon, Présidente du directoire. Secteurs d’activité : fourniture d’énergie et de réacteurs nucléaires, recyclage de déchets radioactifs. Principaux produits : EPR

    En 2002, A Lauvergeon fait l’objet d’une controverse : en septembre, le quotidien économique Les Échos dévoile un rapport de la cour des comptes, critiquant sa rémunération (305 000 euros de salaire fixe et 122 000 euros de part variable), jugée bien supérieure à celle des dirigeants d’autres entreprises publiques, ainsi que son golden parachute (indemnité pour rupture anticipée de contrat) de deux ans de salaire. Malgré les rumeurs de démission, Anne Lauvergeon a conservé son poste.

    Fin 2006, AREVA, rencontre des difficultés avec le réacteur EPR : AREVA doit faire face à un retard important de 18 mois à 3 ans selon le quotidien La Tribune [1] pour la livraison de la tête de série en Finlande. Ce retard aurait déjà coûté 700 millions d’euros [2]. Le 16 décembre 2006, la Chine annonce par ailleurs qu’elle a commandé 4 réacteurs nucléaires EPR à la compagnie concurrente d’Areva, l’américain Westinghouse.

    Jean-Marc Jancovici est un ingénieur français, expert climatique et consultant auprès de divers organismes publics ou privés. Il est connu pour son travail de vulgarisation et de sensibilisation sur le changement climatique, l’effet de serre, et la crise énergétique. Après des études à l’École polytechnique, il devient consultant et collabore depuis 2001 avec l’ADEME pour la mise au point du Bilan Carbone. Il a également une activité de conférencier et publie des articles ou ouvrages. Il est invité régulièrement à la radio ou à la télévision pour parler des questions environnementales. Jean-Marc Jancovici a introduit la notion d’« équivalent esclave ». Jancovici a ouvert le site web Manicore[1], qui vulgarise certaines questions énergétiques, et défend les opinions de son auteur sur la politique énergétique. Jancovici considère que l’énergie nucléaire fait partie des solutions éligibles pour se passer d’énergies fossiles, ce qui lui vaut évidemment les critiques des antinucléaires[2]. Ses conclusions sur la contribution modérée que les énergies renouvelables peuvent apporter à bref délai à l’approvisionnement énergétique font aussi naître des controverses.

    L’agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (ADEME) est un établissement public à caractère industriel et commercial placé sous la tutelle des ministres chargés de la recherche, de l’écologie et de l’énergie.

    L’Organisation des Nations unies (ONU ou encore Nations unies, UN en anglais) est une organisation internationale fondée en 1945 pour résoudre les problèmes internationaux. Elle succède à la Société des Nations (SdN). Elle ne dispose pas de force militaire mais elle peut demander aux États-membres de fournir des contingents pour mettre sur pied des forces d’interposition (les Casques bleus).

    De nombreuses agences importantes des Nations unies (OMS, OMM, OMPI, OIT, UIT, HCR, HCDH) ont leur siège à Genève (Suisse), siège européen de l’ONU et ancien siège de la SdN, où se déroulent toujours deux tiers des activités du système des Nations Unies, ou encore à Vienne comme l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA).

    UNESCO : L’Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture est une agence spécialisée de l’Organisation des Nations unies qui a été créé le 16 novembre 1945.

    En 1981, de retour en France, Yann Arthus-Bertrand publie le livre de photos Lions en 1983 et devient journaliste, reporter, photographe international spécialisé dans les grands reportages d’aventure, de sport, de nature, d’animaux et dans la photographie aérienne pour National Geographic, Paris-Match et Géo. Il couvre dix rallyes Paris-Dakar, réalise chaque année le livre du tournoi de Roland-Garros et photographie le salon de l’agriculture annuel de Paris ou des amoureux de la nature comme Diane Fossey et ses gorille des montagnes au Rwanda. En 1991, il crée l’agence Altitude, première agence et banque de photographie aérienne dans le monde (300 000 vues issues de plus d’une centaine de pays survolés en plus de 3 000 heures de vol en 2006). En 1994, avec le parrainage de l’Unesco, il commence un inventaire des plus beaux paysages du monde vus du ciel : La Terre vue du ciel avec le credo : « Témoigner de la beauté du monde et tenter de protéger la Terre. » Son livre du même nom est vendu à plus de 3 millions d’exemplaires en 24 langues.

    25 juillet 2006, Suède, incident classé de niveau 2 sur l’échelle INES : défaillance d’un système de secours de la tranche 1 de la centrale de Forsmark ; par précaution, deux réacteurs de la centrale d’Oskarshamn sont fermés[3]. C’est le hasard qui a évité qu’une fusion du cœur ne se produise affirme, dans le quotidien allemand TAZ du 3 août, Lars-Olov Höglund, qui a dirigé la construction de la centrale. « C’est l’évènement le plus dangereux depuis Three Mile Island et Tchernobyl » déclare-t-il le 2 août au quotidien suédois Svenska Dagbladet. Ole Reistad, directeur de l’institut norvégien de protection contre les rayonnements ionisants, déclare au TAZ que l’on est « passé près de la catastrophe » et près de la défaillance de la dernière barrière de sécurité ; « une telle chose n’aurait jamais dû se produire ».

    Catastrophe de Tchernobyl : Dans les mois qui ont suivi, plusieurs centaines de milliers d’ouvriers (600 000 environ), les « liquidateurs » sont venus d’Ukraine, de Biélorussie, de Lettonie et de Russie pour procéder à des nettoyages du terrain environnant. Leur protection individuelle contre les rayonnements était très faible, voire nulle. La décontamination était illusoire dans la mesure où personne ne savait où transférer le terrain contaminé. Selon Viatcheslav Grichine de l’Union Tchernobyl, principale organisation des liquidateurs, sur 600 000 liquidateurs, « 25 000 sont morts et 70 000 restés handicapés en Russie, en Ukraine les chiffres sont proches et en Biélorussie 10 000 sont morts et 25 000 handicapés. »[7

    Selon un rapport indépendant, les chiffres de l’ONU sur les victimes de Tchernobyl ont été sous-estimés Article publié le 07 Avril 2006 Source : LE MONDE.FR Avec AFP. Extrait : L’organisation internationale « Médecins pour la prévention de la guerre nucléaire » (IPPNW) a estimé jeudi 6 avril que le bilan et les prévisions de l’ONU sur la catastrophe nucléaire de Tchernobyl étaient « sous-estimés » et a appelé à plus de transparence sur le sujet.

    http://www.dissident-media.org/infonucleaire/special_tcherno.html

    Le Congo est un pays du tiers-monde agricole. L’économie congolaise repose principalement sur une agriculture de subsistance et l’artisanat, ainsi que sur un secteur industriel s’appuyant largement sur les hydrocarbures. La majorité de la population vit de l’agriculture vivrière. Cependant, l’économie du pays dépend aussi de l’exportation du : Pétrole, Bois, Potasse, Zinc, Uranium, Copper, Phosphate, Gaz naturel... Les deux piliers de l’exportation sont le bois et le pétrole tout deux exploités par des compagnies françaises qui versent en contre partie des devises à l’État. Cependant les revenus des exportations sont mal exploités. La monnaie le franc cfa (Coopération Financière en Afrique Centrale) géré par la France est faible(1euro=650Franc). Le bois représente une part importante des exportations du Congo : l’Acajou, l’Okoumé, le Limba, etc. L’activité industrielle repose sur la production de biens de consommation : le tabac, ciment, textile, savon, boisson alcoolisée, chaussures...Plus de 95% du commerce est au mains d’etrangers ou de personne d’origine étrangére.

    Etc .....



  • T.B. T.B. 2 février 2007 17:24

    Je ne parlais pas de l’échelle INES mais d’un niveau 1 en comparaison à un niveau 2 si le coeur avait atteint la nappe.

    Il faut bien me lire. Les 59 morts sont les chiffres donnés par l’ONU qui a tout intérêt à les minimiser comme je l’ai écrit.

    AREVA ne payera pas car déjà grossement endettée et en plus elle a raté le marché chinois. Les 700 millions ce sont les contribuables français qui vont les payer comme pour le Crédit Lyonnais, Executive Life etc ...

    Ce que j’ai écrit est un résumé de la situation réelle. Biélorussie et Ukraine, donc autour de Tchernobyll, ont une population en chute libre ... depuis Tchernobyll. Les ravages ont été également économiques et la population quitte le pays à hauteur de 5 à 10 % par an, bon nombre de malformations à la naissance ont été recensés. Bien sûr, Jancovici ingénieur salarié à l’ADEME (qui ne parle jamais de la gestion des déchets nucléaires) n’en parle pas non plus.

    Toutes ces infos sont étayées, vérifiables et vérifiées. Il ne tient qu’à vous d’aller les chercher sur le net et de reconnaître cette monstrueuse réalité passée sous silence par les médias, HulO’réal et consort. Au fait, un 2ème sarcophage est mis en chantier cette année à Tchernobyll. Le premier n’est pas assez résistant ...



  • T.B. T.B. 2 février 2007 15:00

    Jancovici, Nicolas Hulot, Yann Arthus Bertrand sont des imposteurs. Ils sont tous appuyés et sponsorisés par le lobby nucléaire. D’ailleurs ce sont les seuls à parler « d’écologie » sur les plateaux télés. Vous n’entendrez jamais les arguments d’un anti nucléaire expliquant les intérêts du développement des énergies renouvelables en France alors que pratiquement tous les autres pays européens s’y sont mis. Ils détournent complètement l’information en matière d’écologie.

    Un inventeur sur M6, la semaine dernière, a trouvé un moyen plus économique que le prix du kwatt proposé par EDF avec une éolienne de sa conception, éolienne qui ne couvre même pas 1 m3 de surface et permet d’assurer les besoins énergétique d’un ménage. Vite zappé par le jury qui lui a répondu « beaucoup trop important comme découverte pour vous donner le chèque de 15 000 euros que vous méritez mieux !!!! » et hop au suivant ! En clair, si le gars n’arrive pas à trouver un financement dans un court délai pour commercialiser son invention brevetée par l’ INPI, celui-ci, c’est la loi française qui l’exige, appartiendra à l’Etat. Dans un tiroir bien fermé à clef et on en parle plus. Voilà comment fonctionne, en France, le développement des énergies sans émissions de CO2 ni déchets radioactifs ! Affaire classée, vive le nucléaire juste pour satisfaire les emplois et régimes spéciaux des 300 000 agents EDF de l’hexagone et préserver les intérêts financier d’Anne Lauvergeon, patronne d’AREVA (les EPR) le nucléaire français, la même A. Lauvergeon qui fait partie du Conseil d’Administration du groupe Total.

    Voici le grand argument de Jancovici : on ne peut pas se passer du nucléaire car sinon il faudrait le remplacer par du charbon. Et bien entendu, l’éolien le solaire et autres ENR resteront toujours marginales. Ben voyons ... (Chypre et ses 790 000 habitants a pourtant une surface de solaires thermiques sur les toits des particuliers 1,4 fois supérieure à celle du « parc » français, en clair au prorata 100 fois plus que les français, c’est juste un exemple).

    En plus pas de risque avec le nucléaire. Il oublie juste de dire que 20 après Tchernobyl la population de l’Ukraine connaît une perte démographique la plus forte du monde au même niveau que les pays ravagés par la guerre. On meurt encore des suites de Tchernobyl à 500 km à la ronde. La réalité de ces chiffres donnés pourtant par le très sérieux INED est continuellement détournée par l’ONU qui les minimise, Jancivici en premier. Pourquoi l’ONU ? Tout simplement parce qu’il fait partie intégrante du Conseil de Sécurité des Nations Unies qui détient l’arme atomique depuis 1945. Toutes les jolies photos vues du ciel de Y Arthus Bertrand ont été commandées et financées par l’ONU. Vous pouvez le vérifier sur Wikipédia. Et ce n’est pas fini : à Tchernobyl le pire a été évité. Combien de français le savent ? La fusion du cœur a pu être détournée in-extrémis de la nappe phréatique en dessous du réacteur n°4. Sans quoi imaginez l’effet d’une cocote-minute sous pression mais cette fois-ci à partir d’un réacteur nucléaire. Une partie entière de l’Europe aurait été rayée de la carte. Cette rétention d’information, information pourtant connue des Hulot, Y A Bertrand et Jancovici est un million de fois plus scandaleuse que le nuage radioactif qui s’est arrêté pile poil à la frontière française en 1986.

    Vous me direz oui mais depuis Tchernobyl ils ont pris des mesures ... Faux !!!! En juillet dernier, en 2006, une autre catastrophe à celle équivalente du niveau 1 de celle de Tchernobyl a été évité de justesse en Finlande. Info, bien sûr non relayée ou complètement minimisé par les médias français. Tellement passée sous silence que 99 % des français n’en ont jamais entendu parler. Pourtant l’équivalent du Commissariat Mondial à l’Energie Atomique affirmait que cette centrale nouvellement construite à Formansk était l’une des plus sûre au monde .... Et je vous signale qu’en ce moment les contribuables français payent à hauteur de 700 000 millions d’euros les erreurs d’Anne Lauvergeon en Finlande. La majeure partie des français est sous anesthésie, complètement endormie par le Pacte de Nicolas HulO’réal, pacte qui ne s’attaquera jamais aux lobbies pétroliers, gaziers et nucléaires, lobbies responsables des crimes commis en Tchéchénie, en Irak, au Turkménistan etc au Congo (ou Zaïre riche en uranium et en pétroles détenus par les multinationales) Centre Afrique dont les « rebelles » sont repoussés et liquidés par les troupes onusiennes. Là-bas elles sont super efficaces ...

Voir tous ses commentaires (20 par page)


Publicité


Publicité



Palmarès

Publicité


Agoravox.tv