télé ton destin

Article brillant (j’en ai mal aux yeux),
sans demi-mesure contre la dénonciation des travers de nos élites.

Quelle plume, quel talent, il n’y a qu’à voir le nombre record de commentaires (+ de 650) dans le précédent billet de l’auteur, pour prendre toute la mesure de sa fine perception des choses et son sens aigu du journalisme citoyen.

Je n’ai qu’un mot, bravo, car face à l’attitude honteuse de certains intervenants, l’auteur :

« N’écoutant que son courage, qui ne lui disait rien, il se garda bien d’intervenir. »
Jules Renard

Wesson,

je vous décerne le prix du commentaire le plus pertinent de ce bidonnage.
C’est à croire que vous parlez de ces 5 pages (peut-être 6) de contributions,
sous cet article fait divers qui se transforme en marketing journalistique.

Près de 70 votes (57% contre) à cet instant.
+ de 530 commentaires répartis entre environ 50 intervenants.
Les plus présents sont ceux accusés de faire partie de la fameuse meute,
ou d’autres soi-disant « trolls », alors qu’à lire les avis, on est bien loin de tout trollage ou autres cris de loups, mais au coeur d’un véritable débat d’idées...

Tenez, regardez l’auteur, fatizo, 5 commentaires, tout simplement,
dans l’ordre et juste le début, ça donne ça :

14 septembre 11:14 : « Oui Jelena... »
14 septembre 11:20 : « @Colre. Je partage totalement votre analyse... »
14 septembre 11:33 : « @Julien 20. Je partage votre avis... »
14 septembre 12:09 : « D’accord avec vous... »
14 septembre 21:07 : « C’est malheureusement vrai Wesson... »

Alors oui, c’est malheureusement vrai Wesson, pour le dire autrement, la popularité de cette page est bidonnée, l’auteur n’a qu’un avis, le remerciement de ceux qui pensent comme lui, les autres l’auteur les évite, mais comme dirait COLRE :

15 septembre 16:03 :

« Salut fatizo : quelle audience !  Vous avez tapé dans le mille de l’angoisse du moment. »

Et là, fatizo jubile, jugule, bourgeonne : fatizo number one of the number of commentaries.
Et si l’auteur pense que je suis déjà apparu sur ce fil, comment je ris, comme ça .

532...

Bonsoir Fatizo,

la part du doute, ouais, très importante la part du doute,
c’est pourquoi dès que nous nous fumes rencontré, j’ai lu vos écrits,
à ce jour, la quasi totalité et le sujet n’est pas à mettre en doute.
Vos idées sont louables, vous aimez le cinéma, l’art, montrez vos valeurs
et vos rancoeurs, rien à redire là-dessus et du coup, rien à dire tout court.

Si j’étais ce que vous appelez un ’troll", j’aurais trollé depuis bien longtemps vos récentes pages j’imagine, ainsi que mon double présumé l’aurait fait, et si vous étiez un mauvais bougre vous auriez employé le mot ’troll« au moins une fois dans cet article, mais voilà, ni de  »troll« , ni de »vilain bougre", juste des gens qui ont le temps de perdre le leur, pendant que tout un monde s’est arrêté, là, bien au centre de votre billet, enfouit en deux mots : « Populations hostiles », un problème d’entente : « Guerre inutile et guère utile ».

Chacun son style pour le dire, elle a simplement dit : « Faut pas y aller en Syrie ».
L’histoire est vraie, surtout la sienne. 1976 vous disais-je, pour manipuler le cortège.
Mon récit se devrait d’être amputé de votre nom et des nos querelles, d’autant que la suite fut encore plus drolatique, mais ce sera un café où l’on pourrait se croiser,
et en toute courtoisie donc, merci pour cet article, j’applaudis.

Vous ne me trouverez jamais à venir « troller » sur vos fils, tantôt un p’tit mot,
parfois de l’humour (important l’humour), pas de méchanceté, peu rancunier,
alors pas de mauvais mots, rien de rabaissant, ’tension au langage,
le monde a besoin de partage, de paix et d’humour.

Bonne soirée.

P.S : Le ressenti, l’esprit, les mots, sont bien plus justes que les sondages et les opinions.

C’est aussi l’anniversaire de la grande dispute (restons polis),
de la division, de l’ouverture des yeux et des esprits, le vomi de l’écran.

Ce jour là, conflit familial avec le grand-père,« les arabes » qu’il disait...
« Al-Qaeda qu’ils ont dit à la télé » qu’il répétait...

J’ai eu beau lui dire que la barbe n’était pas en cause,
puisque de son temps les barbus étaient des héros,
j’ai eu beau lui dire que la télé avait déjà bien changé
depuis son temps, et puis la céhiha tout ça tout ça,
et puis lassé il m’a dit « Tais-toi, c’est un attentat ! ».

« A l’impudeur » ais-je répondu, lui il a bu, à la santé des menteurs.
Peu de temps après, l’est mort le grand-père, cancer du foie qu’ils disaient à l’hosto, « Santé aux voyeurs » lançais-je avec un verre d’eau (je le comprends le grand-père, lui ne pouvait pas comprendre, puis c’était pas le mauvais bougre le grand-père, juste un gars d’son temps quoi, et quoi qu’il en soit, beaucoup je lui dois...).

"Ce mécanisme innovant, à base de langage codé permettant le transfert de paroles et d’images interactives, dans une nouvelle forme de réalité virtuelle, est une révolution réelle dont on a pas encore mesuré l’impact.« 

Marrante votre phrase, valable pour l’internet, valable pour le 11/9.

Croire à la V.O. quand on a les sous-titres sur le web, c’est impossible, mais quand on plus on sait à qui profite le crime (et ce depuis bien avant le 11/9), c’est immoral...

Etrange que personne n’ai posté d’article sur ce sujet ? Vous vouliez dire qu’aucun article sur le sujet n’avait atteint le quota de votes nécessaires en modération, ou que personne n’avait trouvé l’inspiration pour traiter ce sujet au plus juste ?

En tout cas merci à vous, permettez-moi cependant de corriger la fin :

 »Ceci est un simple hommage à ces centaines de milliers de victimes, hommes, femmes et enfants innocent(e)s, qu’ils soient new-yorkai(e)s, afghan(e)s, irakien(ne)s, syrien(ne)s, koweïtien(ne)s, africain(e)s, japonais, coréen(ne)s, ...,humains, atomisés un jour sans fin par la pure folie de quelques hommes, simplement pour quelques choses de bien simple à expliquer en quelques mots : Argent, Pouvoir, Domination."

Cordialement.

P. S : Joyeux anniversaire à tous ceux qui sont nés un onze septembre et qui n’y sont pour rien, et une pensée spéciale pour le peuple de Syrie. Nous ne rêverons jamais assez...