@doctorix, compotiste . « Tout ce que les complotistes ont annoncé s’avère progressivement. » . Toutafé, d’ailleurs vous en êtes la preuve vivante sur agogoravox. Car sans vous, nous ne saurions rien sur : .
@moderatus . On nage en plein confusionnisme car, comme à l’accoutumée, vous mélangez les faits présentés dans mon lien ci-dessus et votre propagande politique habituelle pour l’extrême-droite. . En pleine campagne pour les législatives, le R.Haine tente de rassembler ses troupes circassiennes !
"Les Français aussi émigrent et deviennent des immigrés dans les pays où
ils s’installent. Au 1er janvier 2022, selon les registres des consulats
et ambassades, les Français « expatriés » étaient 1 614 772. Une baisse
de 4,2% par rapport à l’année précédente (1 685 638 inscrits au 1er
janvier 2021) et ce pour la quatrième année consécutive, après plusieurs
années de hausse de 3 à 4 % en moyenne par an.
L’expatrié
français est un homme ou une femme, jeune en général. Selon une étude
TNS-Sofres d’avril 2005 : 33 % des Français travaillant à l’étranger
avaient entre 41 et 59 ans, 24 % entre 25 et 30 ans et 20 % entre 31 et
35 ans. Ainsi 44 % des Français à l’étranger auraient moins de 35 ans (Le Figaro, 24 février 2006).
Ce sont des personnes qualifiées (diplômés de l’enseignement supérieur,
niveau Bac + 2, Bac + 3 ou plus) : cadres commerciaux, administratifs,
financiers, ingénieurs, professionnels de la santé et de l’éducation,
diplômés en informatique et autres chercheurs. En 2019, 58% des Français
établis à l’étranger étaient titulaires d’un diplôme supérieur.
La principale motivation des « expat » reste professionnelle (faire
carrière, nouveaux défis professionnelles, expériences, devenir chefs
d’entreprise…). En 2010, l’enquête annuelle de la Maison des Français de
l’Étranger (MFE) indiquait que ces départs étaient aussi motivés par
les difficultés à obtenir un emploi en France. Les jeunes diplômés
expatriés se déclarant victime d’un manque de « confiance aux juniors » ou de « discriminations »
en raison de leurs origines. Était également dénoncée une dégradation
des relations humaines dans l’entreprise et plus largement dans la
société française."