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Thierry Crouzet

Thierry Crouzet

Ingénieur, éditeur de bonWeb, journaliste et écrivain. Avec Le peuple des connecteurs, j’ai essayé de mesurer les conséquences politiques de la monté en puissance de la pensée réseau. Avec Le cinquième pouvoir, j’ai essayé de montrer comment les citoyens, fédérés grâce aux nouvelles technologies de communication, vont devenir les acteurs majeurs de la vie démocratique.

Tableau de bord

  • Premier article le 02/06/2006
  • Modérateur depuis le 26/06/2006
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Ses articles classés par : ordre chronologique













Derniers commentaires



  • Thierry Crouzet Thierry Crouzet 1er septembre 2006 12:00

    Je m’étais juré de ne plus répondre aux ommentaires que par de nouveaux articles. Mais pour ce commentaire là, j’ai déjà une réponse. Voir mon post sur Churchill.



  • Thierry Crouzet Thierry Crouzet 31 août 2006 11:57

    C’est drôle, hier j’ai publié un petit graphique qui va dans le sens de l’article et qui montre une direction possible pour une troisième voie, que j’appelle maintenant le cinquième pouvoir.



  • Thierry Crouzet Thierry Crouzet 25 août 2006 13:56

    Une idée qui me vient en passant. Pourquoi les auteurs ne seraient-ils pas les modérateurs de leurs articles. Ils choisissent de valider ou non les commentaires. Après tout certains blogs fonctionnent comme ça. Je pense à bigbangblog.com par exemple. Au journaliste d’être de bonne foi, de laisser passer ce qui lui semble faire avancer le débat. Une critique judicieuse est toujours appréciable mais jamais celle qui critique en utilisant de faux arguments ou en répondant à côté.



  • Thierry Crouzet Thierry Crouzet 11 août 2006 14:02

    Cet article est une réponse à un article posté sur Agoravox par Vincent Chapin suite à mon propre article sur le bon sens.

    L’article de Vincent Chapin est juste mais n’a pas beaucoup de rapport avec ce dont j’ai parlé. Je n’ai jamais dit qu’en mettant des éoliennes sur nos toits nous allions couvrir tous nos besoins énergétiques. Même en mettant des éoliennes géantes partout on n’y arriverait d’ailleurs pas. Pour atteindre l’autonomie énergétique, il faudra additionner des dizaines de micro-sources : solaire, géothermique, éolien... et sans doute recourir à de nouvelles technos encore plus que balbutiantes.

    Dans mon article, j’ai juste sous-entendu, et vraiment sous entendu car ce n’était pas mon propos, qu’il y avait deux solutions pour produire de l’énergie éolienne. Soit construire des champs d’éoliennes géantes, approche centralisée qui fait plaisir aux gens comme EDF, soit faire de la micro-production locale, approche qui laisse les consommateurs maîtres d’œuvre.

    Ce que je crois, d’après ce que je lis en ce moment dans la littérature scientifique, c’est que l’approche décentralisée peut produire autant d’énergie que l’approche centralisée, et potentiellement beaucoup plus, car rien n’empêchera par exemple de mettre des micro-turbines dans tous les conduits de cheminée, donc de déployer plus largement ces technologies. Voir cet article notamment.

    Il y a beaucoup de projets et de nouvelles technos de ce type en cours de développement. Et qui contrairement à ce qui s’est dit sur Agoravox ne vont pas défigurer les villes (comme si les pavillons Bouygues et les antennes en tout genre ne les défiguraient pas déjà). Au passage, je fais tout de même remarquer que les éoliennes défigurent un peu les campagnes, je suis assez bien placé pour le dire car il y a un champ d’éoliennes non loin de chez moi.

    C’était une parenthèse. Les approches centralisée et décentralisée ne sont bien sûr pas incompatibles et elles vont se développer de pair. Pour ma part, je préfère la production locale car elle nous laisse acteur, nous pouvons nous y mettre sans attendre que l’État ne fasse le boulot pour nous.

    Et comme c’est mon article sur le bon sens qui a soulevé cette discussion, j’y reviens une fois de plus. Avant de découvrir les travaux de Richard Lindsay sur les éoliennes, j’étais persuadé que les éoliennes étaient parfaites, que le bilan énergétique était génial... Je sais, je suis naïf, mais je crois ne pas être le seul. Les travaux de Lindsay m’ont juste fait prendre garde à ne pas trop m’emballer. Déployer de nouvelles technologies à grande échelle, peu importe lesquelles, peut s’avérer dangereux. Ce qui marche très bien dans le cas d’une éolienne n’est pas du tout extrapolable à des centaines.

    Et le danger ne peut pas être anticipé. Voilà pourquoi l’approche locale, qui est plus progressive, plus contrôlable, vaut la peine d’être privilégiée. Bon, je ne vais pas me lancer à nouveau dans un éloge de l’action locale. J’aurais d’autres occasions.

    Un dernier mot. En fait, j’ai pour l’essentiel rapporté les propos de Lindsay. Mais je ne vois personne qui ne semble revenir à ses papiers. À entendre tout ces experts de l’éolienne, ce que je ne suis absolument pas, j’ai l’impression que Lindsay est un cancre. Je crois que sa réflexion mérite d’être prise en compte.



  • Thierry Crouzet Thierry Crouzet 9 août 2006 11:28

    Avec des idées comme ça on se couche et on attend la fin des temps. Rien ne nous empêche de changer la donne.

    Sur mon blog, Satn, vient de m’indiquer une interface de développement.

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