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Thierry SALADIN

Thierry SALADIN

Médecin généraliste, depuis peu retraité. Je m'intéresse entre autres à l'Histoire, l'Astronomie, la Paléontologie, la Politique, la Défense de la langue française et la Communication internationale, donc à l'espéranto que j'ai appris et que j'enseigne. Je suis enseignant diplômé pour cette langue.
Comme Jean Dutourd, de l'Académie française, je pense que "la langue française n'est pas malade, elle est en guerre. Elle est victime d'une agression. Elle est envahie par les armées du sabir qui la ravagent comme les armées anglaises ravageaient la France pendant la guerre de Cent Ans."
Cette conviction m'a conduit à m'intéresser à l'espéranto qui, en cette époque de mondialisation, m'apparaît comme étant la seule solution raisonnable pour protéger notre langue maternelle et, de manière générale, toutes les langues. La construction européenne, qui est un formidable piège, posé entre autres à notre pays, aurait pu être l'occasion de montrer au monde la voie à suivre : adopter une langue neutre, équitable : l'espéranto. Et ce afin de faciliter la communication et un débat démocratique. Mais voilà, non seulement les esprits — ceux du peuple — sont actuellement "bloqués" contre cette langue pour des raisons touchant à l'ignorance et à l'irrationnel, mais les promoteurs de cette fichue Union Européenne, eux, ont une idée derrière la tête : imposer l'anglais. À petit feu, c'est-à-dire imposer de façon subreptice l'objectif d'une langue unique (comprendre l'anglais), et ce sans débat, jusqu'au moment où l'adoption de cette langue deviendra virtuellement inévitable.
Mais pour contrer de tels projets, autrement dit expliquer cet état de fait, même aux partisans du Frexit, et notamment que l'anglais imposé fait bel et bien partie d'un plan destiné à asservir les peuples, il y a du pain sur la planche ! Ainsi sont les hommes...

Tableau de bord

  • Premier article le 26/01/2012
  • Modérateur depuis le 02/09/2013
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Ses articles classés par : ordre chronologique













Derniers commentaires



  • Thierry SALADIN Thierry SALADIN 24 août 2013 11:28

    @ Jean-Louis Charpal, 

    Tout ce que vous venez d’écrire est exact. Exact, mais politiquement incorrect. 
    Les faits, rien que les faits.
    Ce pays, qui n’a que 237 ans, s’est constitué et s’est agrandi constamment depuis. Soit par l’argent, soit par des entreprises discrètes, c’est-à-dire par calcul (pour dire les choses gentiment)
    Il n’empêche qu’il y a de très nombreux États-Uniens qui ont honte de la politique de leur pays, et qui, comme vous dites, n’ont droit qu’à parler. Et encore, à la maison, mais pas sur les ondes.

    Ce sentiment qu’ont leurs dirigeants, que la voix de l’Amérique serait la voix de Dieu...

    Enfin, un jour, tout ça évoluera, car tout empire a une fin. L’Histoire l’a prouvé.

    Cordialement.



  • Thierry SALADIN Thierry SALADIN 23 août 2013 12:31

    @ schweizer.ch

    Vous dites :
    « C’est Madeleine Albright. Qui a piégé le raïs en lui laissant entendre que les Etats-Unis considéraient la question koweitienne comme un problème intérieur irakien. »

    C’est intéressant votre réponse. Avez-vous des sources à nous proposer ?

    Merci et bien cordialement.


  • Thierry SALADIN Thierry SALADIN 23 août 2013 12:24

    @ l’auteur,

    Excellente analyse, merci.
    Vous dites :
    « C’est étrange mais j’ai comme le sentiment que la guerre ne s’est pas achevée en 1945 et que les vainqueurs l’ont continuée de manière fragmentaire et subtile jusqu’à notre époque. Je pense surtout aux Etats-Unis. Les braises de la domination, la puissance, la défense d’intérêts nationaux, la destruction physique des pays considérés comme ennemis ou obstacles, ne se sont jamais éteintes aux Etats-Unis. Et c’est un pays inquiétant qui se dessine actuellement avec une image inédite, celle d’un pays autoritaire qui n’a plus rien de démocratique. Un pays qui progressivement a basculé dans un autre régime. Cela a pris plus de trente ans et nous n’avons rien vu venir. Ou nous n’avons pas voulu ouvrir les yeux. »

    Comme je suis d’accord avec vous. 
    Combien de temps faudra-t-il encore attendre pour que nous nous rendions compte qu’il existe maintenant un problème sur la Terre, ce sont les États-Unis d’Amérique. Je n’insiste pas sur ce point, car je ne ferais que répéter en moins bien ce que vous avez exposé.

    Abordez cette question ? Comme ça, au hasard avec des amis ? Neuf fois sur dix, au mieux personne ne dit rien, et la dixième fois vous êtes taxé d’anti-américanisme primaire. Comme si il existait un anti-américanisme secondaire, tertiaire... !!?

    On dit que l’amour rend aveugle. C’est vrai, que nous l’avons aimée, l’Amérique. 
    Tellement aimée, que Sardou avec ses « Ricains » était comme beaucoup d’autres de ma génération : incapable de faire la part des choses entre le sacrifice des G.I.’s sur les plages de Normandie et la politique des États-Unis, qui sont venus nous délivrer du nazisme, certes, mais tard. Très tard.
    Rappelons donc, puisque c’est nécessaire, que Roosevelt répond négativement aux appels de Paul Raynaud (en juin 1940). 
    Précisons aussi qu’il ne fait que répondre à la déclaration de guerre (bien imprudente) de l’oncle Adolf, et tout ça, c’est après Pearl Harbor (7 décembre 1941).
    De juin 1940 à décembre 1941, que faisait-elle l’Amérique pour nous les Européens ?
    Elle se retranchait derrière son isolationisme qui avait débuté avec le refus du Congrès de ratifier en 1919 le Traité de Versailles et la participation des États-Unis à la SDN (un des quatorze points voulus par Wilson).
    La France perdait ainsi une des clauses du Traité de Versailles, et négociée âprement par Clemenceau en échange de l’abandon de la rive gauche du Rhin
    Précisons aussi que Roosevelt a persisté à jouer la carte de Vichy contre celle de De Gaulle. Et je ne parle pas de l’AMGOT qui consistait entre autres choses à détacher une grande partie du Nord et de l’Est de la France pour constituer un nouvel État. 
    Tout cela, il ne faut jamais l’oublier.
    Donc les États-Unis sont nos amis, certes, mais des amis un peu spéciaux.

    Cordialement.


  • Thierry SALADIN Thierry SALADIN 22 août 2013 11:40

    @ l’auteur,

    J’ai lu votre article avec attention, mais comme vous le dites vous-même : il s’agit d’un rêve.
    Je pense comme vous (et comme beaucoup de Français) qu’il n’ y a plus rien à attendre de l’UMPS, mais rien non plus du FN, qui, j’ose l’espérer, n’est qu’un exutoire pour de nombreux électeurs. Mais au fond, je n’en suis pas si sûr que ça.
    La conscience politique de beaucoup trop d’électeurs se limite à ce qui a été dit à la Grand-messe du 20H00. Hélas.
    Il me semble qu’un début de solution pourrait venir d’un changement radical du mode de l’élection présidentielle. 
    Voilà mon rêve : que tout Français ayant envie de faire quelque chose pour son pays puisse avoir la possibilité de s’exprimer et de bénéficier d’une écoute garantie par la loi sur les ondes radio-télévisuelles.
    Or, ce n’est pas possible pour l’instant. Tout est verrouillé. Et le CSA est aux ordres. 
    Qu’un type comme François Asselineau n’ait pas eu la moindre minute de plateau télé en 2012 est un scandale. Mais il y en a d’autres qui, comme lui, avaient sans doute des choses à dire.
    Ils nous sont inconnus.
    En ce qui me concerne, j’ai découvert François Asselineau en avril dernier lorsque l’UPR qu’il préside a lancé une pétition contre la loi Fioraso.
    L’UPR mérite d’être connue. Elle a un programme original qu’il est intéressant de faire connaître. Attention, je ne fais pas ici de la pub, mais de l’information. 
    Pourquoi ? 
    Parce que je m’intéresse à la politique depuis longtemps, que je vais notamment sur Internet chercher l’info (AgoraVox, Riposte laïque, Boulevard Voltaire, etc.) et qu’il m’aura fallu attendre avril 2013 pour connaître l’UPR (et son programme) fondée en 2007. Tout ça parce que je m’intéresse à la langue française et que l’UPR a lancé une pétition en ce sens cette année.
    Est-ce normal, que six ans aient été nécessaires pour que cette information arrive jusqu’à moi ? Combien de Français sont dans mon cas, en ce qui concerne Asselineau, mais aussi pour bien d’autres ?
    La question, c’est comment faire pour parvenir à avoir ce changement qui serait radical dans la campagne présidentielle ?
    Il n’y a rien à attendre des partis en place, évidemment.
    Une révolution ? Peut-être. En tout cas, il faudra bien en finir avec ceux qui se disent « serviteurs de l’Etat » et qui sont au service de l’oligarchie financière et d’eux-mêmes.

    Cordialement.


  • Thierry SALADIN Thierry SALADIN 21 août 2013 23:10

    @ Pingouin094,

    J’ai pris la peine d’aller voir votre blog, que j’ai lu complètement. Et même deux fois. 

    Dès les premières lignes, j’ai reconnu la thèse soutenue par Mélenchon, thèse à laquelle j’ai cru, moi aussi (j’ai même voté pour lui en 2012), et qui ne m’apparait plus aussi évidente que cela, désormais.

    Discuter ferme avec l’Allemagne, d’accord. Mais les autres pays compteront aussi. Et nous sommes dix-sept dans la zone euro ! 

    De plus, l’hypothèse Généreux-Mélenchon, c’est que l’Allemagne aurait trop à perdre d’une implosion de l’euro. Je l’admets avec vous.
    Mais, si au contraire elle tient bon, donc si l’Allemagne ne cède pas ? 
    Hypothèse à ne pas écarter aussi vite que cela, parce que l’Allemagne, si elle cède aux pressions françaises, y laissera des plumes. Et sur le plan politique, elle devrait réformer sa constitution. Vous me suivez ?

    Alors, il n’y aurait aucune chance d’avoir une révision des statuts de la BCE, ce qui fiche par terre, de mon point de vue, les visées de la France. Cette dernière n’aurait plus qu’à sortir de l’U.E., éventuellement accompagnée d’autres pays comme l’Espagne ou l’Italie et le Portugal.
    Serait-ce dans ce cas, une implosion de l’euro ? Je n’en suis pas certain, surtout si la France quitte seule l’U.E. en vertu de l’article 50 du TFUE.
    Ni vous ni moi ne connaissons l’avenir, mais je crois que c’est une hypothèse qu’il ne faut pas écarter.
    De toutes les manières, ni l’UMP, ni le PS ne feront cette politique. Et là, nous sommes d’accord. N’est-ce pas ?
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