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velosolex

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alias "bakerstreet" ! .( abandonné car ayant perdu le mot de passe de mon imail qui conditionnait l'accés) Doctorat en échappée belle. Grande pratique de l'art de la fugue pour guidon et selle de vélo, avec cheveux au vent, pour ce qu'il m'en reste. Dieu me garde des crevaisons quand j'ai la tête dans les nuages, et que je monte à l'assaut des belles collines ! 

Tableau de bord

  • Premier article le 03/02/2011
  • Modérateur depuis le 13/02/2013
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Derniers commentaires



  • velosolex velosolex 19 avril 2023 22:37

    @Aita Pea Pea
    Déjà pas mal devancent toute critique, et se plient à terre, en faisant de l’écriture inclusive en veux tu en voilà, pour faire bon genre.
    C’est le cas de le dire. 
    Ca nous donne des textes hachés, rappelant sans cesse aux lecteurs qu’il y a des hommes, et des femmes, merci pour elles, on se demande comment le neutre n’y avait pas pensé.
    Benvenue en enfer, pour les gosses qui ont déjà du mal à maitriser le français. Du boulot pour les orthophonistes...L’édition va y gagner car ces rajoux fastudieux cassant le rythme des phrases va allonger mathématiquement le nombre de pages. La question est, les lecteurs et les lectrices ne risquent il-s, elle-s pas de s’endormir ou de devenir bègue-s ? ;.. ! 



  • velosolex velosolex 19 avril 2023 22:20

    @Réflexions du Miroir
    « Ten little niggers » titre original du livre d’Agatha Cristie, peut difficilement être traduit par « Ils étaient dix.... » Même par le pire traducteur..

    Il est vrai que le titre Français actuel « Ils étaient dix » s’est mis en conformité approximative avec les révisionnistes « and then they were none »
    Mais ce n’est pas tout à fait la même chose que de ne plus être dix, et de ne plus être aucun....
    Le aucun, c’est ce « nègre », que l’on nous demande de ne plus voir.
     Cela révèle bien l’intention, pas l’accident de traduction

    Comme si la disparition du mot qu’on a décrété facheux, pouvait résoudre le problème du racisme supposé que le titre original trimballait.
    La négrétude a pourtant été chanté par Aimé Césaire, qui, lui la revendiquait de façon très forte. 
    Certains en france préfèrent le terme « black » qui serait moins stigmatisant que le mot « noir »....On en est t’on pour s’égarer pareillement ? ;...Préfère t’on la lettre à l’esprit, et pense t’on que cela suffira pour résoudre le problème ?.....
    Comment peut on faire croire aux gens qu’ils auront l’âme plus pure en faisant tabou du mot noir ?...
    Le livre de miss Agatha se rythmait, comme chacun sait sur une chanson infantine un brin cruelle, comme l’étaient toutes les chansonnettes du passé. Pareillement, la comptine de la souris verte qu’on présente à ses messieurs, après l’avoir fait bouillir dans l’huile, est, ou du moins était proposée aux enfants des écoles, sans pour autant qu’ils s’en émeuvent.
    C’est que les enfants sont capables de faire la différence entre le réel et le fantastique d’autant plus qu’il est exagéré, et rendu ainsi innofensif. En jouant avec le mot, on le rend innofensif. On le mettant à l’index, en en faisant un tabou, on réveille au contraire le racisme. C’est la règle de la censure : Elle rend attractif et trouble ce qu’elle veut cacher. 



  • velosolex velosolex 19 avril 2023 21:54

    @damocles
    On parvient à un accord sur le refus de l’aberration la plus folle !
    Ce qui vaut mieux que s’entendre à moitié sur la température de l’eau tiède. 

    « Touche pas à mon bouquin ! » Peut devenir un mot d’ordre. 
    On remarquera que les pires appréhensions qu’on pouvait avoir sur le livre numérique vont revenir d’actualité.
    Si les modifications d’un livre classique sont proclamées, visibles, exigeantes, et couteuses au niveau de l’édition, celles des livres numériques qu’on tente de nous imposer depuis quelques temps, offrent toute lattitude aux « bien pensants », pour faire disparaitre ou modifier tout ce qui les perturbe, en quelques clic de souris.

    En attendant a venue de l’intelligence artificielle, pour lutter définitivement contre la bétise naturelle. 
    Les ressourceries, vont devenir les lieux à fréquenter pour trouver les versions originales, à moindre coût d’ailleurs. Bien plus que les biblothèques municipales, où depuis quelques temps, les ouvrages classiques, ou ceux réputés « démodés », disparaissent à la cave, pour ne pas dire au pilon.
    Il faut faire de la place aux écrivains de cour, pratiquant l’écriture inclusive, et dont les textes lisses se conjuguent avec ce qu’on attend d’eux : Faire du chiffre, et penser creux.



  • velosolex velosolex 19 avril 2023 20:53

    @alinea
    Le terme « idole » chez vous est projectif, qui n’opérez vos choix qu’au niveau de l’émotion, serait elle la plus détestable.
    Groopie des pires crapules. 
    Une vrai fidélité au mal. 

    Je ne vous dirai pas bon vent.
    Car les votres ne vous poussent pas au large, mais rélèvent plutôt de la flatulence, plus en rapport avec le pot de chambre, qu’avec le pot au noir. 



  • velosolex velosolex 19 avril 2023 18:53

    @Mélusine ou la Robe de Saphir.
    je n’ai jamais compris pourquoi sade a été si vanté comme moderne par les intellos de gauche, alors que sa pensée, est à la fois l’apologie de la perversion et la justification de la domination la plus brutale, et la plus torve.
    Un mystère.
    Néanmoins si ces livres sont infects, je me battrai pour que pas un mot ne soit changé. On ne met pas de parfum de rose à la charogne, ni de fond de teint à un vampire !
    Le Dracula de Bram Stoker, par contre, est sublime. Pas le personnage, mais le roman . 

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