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velosolex

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alias "bakerstreet" ! .( abandonné car ayant perdu le mot de passe de mon imail qui conditionnait l'accés) Doctorat en échappée belle. Grande pratique de l'art de la fugue pour guidon et selle de vélo, avec cheveux au vent, pour ce qu'il m'en reste. Dieu me garde des crevaisons quand j'ai la tête dans les nuages, et que je monte à l'assaut des belles collines ! 

Tableau de bord

  • Premier article le 03/02/2011
  • Modérateur depuis le 13/02/2013
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Ses articles classés par : ordre chronologique













Derniers commentaires



  • velosolex velosolex 28 janvier 2013 14:18

    Au tour du monde de la connerie, dans cette course au large qui dure et dure et dur.....Quelques bateaux se distinguent.
    Le PRESIDENT barré par DSK était parti très fort ;

    Mais on large des Acores, il s’est effondré, après toutes ses belles promesses non tenues, et ses voiles sont tombées, comme un phallus en panne devant quelques courtisanes.

    Après avoir déçu ses supporters, qui le voyaient déjà barrer la cup America, il s’est retiré de la course, et fait maintenant du lard, on ne sait trop où, dans quelle île déserte pourvu d’un palace, ou d’un novotel.
    Se fera t’il sponsorisé maintenant par une marque de pâté en croûte ?

    Le CYRANO, au long nez et à la belle étrave, était drivé par notre bon Gérard.
    Cintré dans un pull marin, nous montrant sa capacité d’acteur à s’identifier à Kersauson, « La pluie, en Bretagne, ça ne mouille que les cons ! » notre Obélix avait la marche facile, et bonne fortune , en n’ayant juste qu’à balancer sa splendeur nonchalante que d’un coté à l’autre du bateau pour tirer des bords, tant sa masse imposante lui suffisait pour s’éviter bien des efforts.
    Hors, au passage du cap Horn, est-ce à cause d’une rasade de whisky en trop, notre homme s’est pris les pieds dans les cordages, et est tombé à l’eau. Par bonheur, un navire russe brise-glaces l’a secouru. Il les remercie, en apprenant la langue, et en se prenant pour Raspoutine.
    Il fait des ronds maintenant sur la mer de Crimée, ayant perdu boussole, sextant, et bon sens.
    Se fera t’il sponsorisé maintenant par une marque de vodka ?

    Le MAILLOT JAUNE, fier étalon yankee, pourvu de bombardes sur le coté.
    Drivé par Armstrong, Lance de son état.
    Rien à voir avec Louis, ni Neil.
    Lance ne connait rien à la trompette, mais c’est bien lui qui a mis le premier un tel coup de pied au cul du tour de France.
    Ce cow boy a viré avec cinq mille d’avance, mais ses deux moteur hors bords l’ont exclu de la course. En plus il avait des galériens qui pédalaient à fond de cale !
    Se fera t’il sponsorisé par Georges Bush, qui rêve de revenir par le détroit de Behring.


    Enfin, le POT AU NOIR
    Pendant longtemps, ce bateau foireux, sur lequel on n’aurait pas misé deux sous, a fait du sur place, piégé par la mer des sargasses, ou des sarcarmes ?
    Que dire de la belle Florence, la petite fiancée des mers, qui n’y connaissait rien à la navigation, mais qui par contre savait faire de l’œil aux journalistes, derrière les barreaux de son gouvernail ?
    Pendant longtemps, on l’avait pourtant cru de la même bande que barbe noire, ce type qui rançonnait et pendait aux vergues ses pauvres victimes !

    Mais elle nous a juré que non ! Devant les photos compromettantes, la pauvre nous jure n’avoir rien su, et l’avoir confondu avec un Eroll Flynn, ou un missionnaire.

    On l’a croit bien sûr ! N’est elle pas française. Ses mémoires vaudront celles de Tabarly !...Au moins pour la recette

    En tout cas, elle a réussi l’impossible, en faisant dérouler le tapis rouge, et un treuil, pour la remorquer jusqu’aux portes de l’Elysée.

    Elles se fait déjà sponsoriser par le CAPRICE DES DIEUX



  • velosolex velosolex 26 janvier 2013 18:19

    Yohan

    Vos propos sont manipulateurs.
    Vicieuse, salope ?...
    Vous pouvez peut être trouvé un toquet qui a utilisé ses mots, mais ils ne recouvrent pas l’essentiel des critiques : Je trouve que dans l’essentiel, les gens ont une réaction saine.

    C’est vrai, ils font remarquer que cette fille n’est pas une oie blanche, et que ce n’est tout de même pas tout à fait un hasard le choix d’un tel copain.

    On n’a pas envie de l’entendre, ni de la juger non plus. Ce n’est pas notre affaire, et les juridictions en puissance s’en sont trouvés pour le moment bien incapables de le faire !
    Le Mexique est une pétaudière, où les droits sont occultés et sous influence. 

    Les mots sont très importants. Ils nous emmènent parfois à la faveur aiguillages, sur des voies instrumentalisés.

    Haine....On peut haïr quelqu’un qui nous a fait délibérément du mal. Mais en sachant que ce sentiment risque fort de se reporter contre nous, et de nous abimer. Il convient donc de dégrader la haine, en quelque chose de plus positif, qui ira vers la cicatrisation. En tout cas, le mot est bien trop fort dans cette affaire, et elle n’est compréhensible que pour les gens qui ont été lésé par ce gang mafieux : Aussi je comprends la haine de cette mère de famille qui dit haïr Florence Cassez, même si je ne l’approuve pas, naturellement.

    « Elle clame son innocence ! »
    Qu’est ce à dire.
    Suffit il de « clamer son innocence » comme un bel oiseau, pour faire taire les juges, les partis, les citoyens ordinaires ?
    A ce titre, il n’y aurait surement bientôt plus personne dans les prisons, avec tous ces prisonniers clamant leur innocence.

    Je vous fais la grâce de la liste des gens qui ’ont clamé leur innocence" de l’infâme Dutroux, à Louis Georges, pour ne pas ironiser sur ce concept rigolard, et éculé, pourtant sans cesse , il est vrai, cent fois repris dans cette affaire.

    Votre technique tient donc à caricaturer les propos des gens en colère légitime, avant tout contre le battage médiatique, et l’instrumentalisation
    et j’en suis, plus à propos de l’orchestration de cette affaire, que du sort de cette personne assez insignifiante.

    Montez le ton. Parlez de haine, faites dans la surenchère. Il y en aura un surement pour se facher, pour se faire avoir, monter le ton à son tour. Ca y est vous aurez gagné, en lui disant : Mais t’as vu dans quel état tu es.....

    C’est un vieux procédé, qui consiste à taper du poing sur la table, en simulant la colère, pour renverser les cartes, quand le jeu est mal parti.

    La seule solution pour s’en sortir, ce n’est pas la haine, assurément, ni la surenchère, ni même le duel à fleuret moucheté, c’est le rire.

    Car cette affaire est si ridicule, tout comme l’a été l’affaire Depardieu, qu’au delà de l’anecdote, ou peut être à cause d’elle, on a envie de se bidonner, dans cette grande comédie. 

    Tiens, cette semaine, sûr que j’achète le canard enchainé !



  • velosolex velosolex 26 janvier 2013 16:48

    Bravo Frida pour cet article, courageux, et de bonne analyse, qui nous sort des inepties à la petite semaine. Du genre Cassez : Pour ou contre.....

    Ces affaires successivement nous en apprennent beaucoup sur notre société, du moins sur la façon, dont la société du spectacle, des journalistes et des politiques, cherchent à nous formater, et à nous entrainer dans des débats stériles.
     L’affaire Cassez est effectivement irritante, à sa façon de nous instrumentaliser, de nous faire prendre parti pour des peccadilles.

    Ca ne sert à rien de hurler d’indignation sur le sort de cette arriviste, qui n’a pas été copine pour rien avec une petite frappe voulant jouer les gros bras.
    On est prié de s’identifier à cette fille, au cas où l’on serait bouclé dans une prison du bout du monde.
    Raymond Barthes en aurait fait un petit billet acide, digne des mythologies, entre celle qu’il écrivait sur la DS citroen, et une autre sur le tour de france.
    Avec de l’ironie aussi. Seul l’humour parfois, il est vrai, nous permet de survivre.
    Le tour de France, Armstrong, nous avons les Ulysse que nous méritons. En tout cas que l’on nous renvoie, en guise d’identification.

    Car bien sur cette affaire est un marronnier, comme on dit dans la profession. Rien que du gros, mais qui ne demande pas d’effort, et qui remplit les journaux.

    Acoquinez vous avec un mafieux, dans un pays sans loi.
    Avec un joli minois, si l’on veut, quoique, il y a quelque chose qui me gène dans ces traits sans expression....
    Ecrivez un roman, ou on vous l’écrira. Soi disant qu’il existe des lois pour empêcher ce genre de chose, je veux dire profiter d’un crime.
    Mais que dites vous mon bon monsieur.
    Rien n’ a été prouvé. Cette jeune fille est blanche comme neige !

    Ecoutez là, comme un oiseau en cage, « clamer son innocence » !

    On fera même des retouches sur Photoshop, afin de creuser les rides, ou pour les boucher, selon les événements, et les exigences de médias, qui font la pluie et le beau temps.
    Faut-il rajouter quelques barreaux ?
     Rien de plus facile.

    Il ne fait pas bon s’appeler Robert, en ce moment.

    Je ne parle pas de Denis Robert, qui eut le courage de faire son métier de journaliste, dans plusieurs affaires, et en particulier dans la sulfureuse affaire clairstream.

     Sans doute aurait-il du faire des billets en faveur de Cassez ; même s’il y avait gagné moins d’honneur qu’à traité l’affaire des frégates, il en aurait eu que des avantages.
    Mais au moins peut il se regarder dans une glace !



  • velosolex velosolex 25 janvier 2013 19:37

    Merci Marmor pour cet encouragement
     qui me va droit au cœur, ainsi qu’à tous, vous autres.
    Il arrive parfois qu’en deux secondes, un frisson, un petit mot, nous propulse tout à coup au sud, au dela des apparences, et nous fasse unité et pensée commune, au delà des kilomètres et des visages.

    Qu’il est bon de sentir les poignées de main faire fondre la glace
    Quand le givre casse, les fils du télégraphe



  • velosolex velosolex 24 janvier 2013 20:56

    Noodles

    Je vous rejoints dans la nostalgie, qui est toujours intacte. Cette époque finalement était un peu bénie des dieux, et propice aux poètes, à la grandiloquence et à l’engagement. Valeurs qui font maintenant sourire les cyniques, mais qui sont pourtant la marque de la jeunesse.
    Une autre chanson qui m’a beaucoup ému, dans ce même registre, est celle de Charlélie Couture ; LA BALLADE DE L’ETE 75
     y a pas de raison de se refuser ce plaisir, je copie colle le texte.

    On a loué une maison, pas très loin d’Avignon
    à un vieux Polonais qui cherchait une mine d’or,
    il faisait bon dès l’aurore, à regarder le ciel
    dans un fauteuil en toile,
    et les poules imbéciles et le coq d’opéra,
    quand le café était prêt, une fenêtre s’ouvrait,
    et la mère bonne humeur commentait un de ses rêves
    j’ai les pieds gelés mais je me souviens du mois d’août 75


    Tu tissais un gilet comme un stage d’artisan en maillot de bain du soir au matin
    tes frangins faisaient des sprints à vélo sur une route déserte,
    on allait chercher du fromage de chèvre frais, dans la ferme du haut
    sur les chaises du jardin, le père barbu chauve pensait à Picasso,
    la piscine était loin, mais ça faisait du bien
    quand on arrivait, quand on arrivait


    On buvait du pastis comme si c’était de l’eau
    tu voulais que je reste, tu voulais que je t’enlève
    comme un premier amour
    on jouait à la pétanque comme des amateurs,
    mais y’à guère qu’un amateur pour cent mille navigateurs,
    y a un seul conteur pour cent mille baratineur,
    j’ai des crampes dans le coup et les yeux qui me piquent,
    mais je me souviens...


    On écoutait le mistral souffler sur la plaine,
    on faisait l’amour sur le toit en regardant les étoiles
    y avait rien à gagner les journées passaient tout était simple,
    on ne croyait plus en rien, en rien d’autre qu’à l’instant,
    et ça jouait de la musique sur tous les sentiments,
    pas d’intrigues de village, pas d’ambition,
    juste une manière de vivre,
    une manière d’être, je me souviens


    Mais il ne reste jamais rien de ce qui est vécu,
    quelques grains oxydés sur de la paraffine
    et des souvenirs idiots mais qui donnent un peu de lumière
    les jours de pluie.

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