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Vincent Verschoore

Vincent Verschoore

Blogueur intéressé par (presque) tout mais expert en rien. Cursus technique et commercial. Photographe. Sujets de prédilection : les économies locales, la physique et la cosmologie, le désenfumage politique et médiatique, l'éducation non formelle. 

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  • Premier article le 24/10/2008
  • Modérateur depuis le 29/09/2010
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Derniers commentaires



  • Vincent Verschoore Vincent Verschoore 13 mai 2011 10:28

    Avec plaisir !



  • Vincent Verschoore Vincent Verschoore 12 mai 2011 15:32

    le terme « irrationnel » est à comprendre dans le sens d’un choix que l’on fait à notre propre détriment, ou qui est objectivement erroné. Par exemple un smicard qui vote pour un programme de baisse d’impôt qui ne le concerne pas mais en se disant que si les riches deviennent encore plus riches il pourra mieux gagner sa vie. C’est un argument raisonné qui mène à un choix irrationnel car la causalité supposée n’a jamais été démontrée.



  • Vincent Verschoore Vincent Verschoore 12 mai 2011 14:31

    J’assistai mardi soir à une conférence sur « le rêve européen » et posait la question du risque du « carcan de l’euro » provoquant des grandes tensions du fait de l’impossibilité d’ajuster sa monnaie avec sa réalité économique. Cette question est institutionnellement irrecevable : l’euro n’y est pour rien, le problème vient du laxisme (ou dans le cas de la Grèce, de la fraude) des autorités nationales qui ne respectent pas les critères de convergence (ou ne les respectent plus une fois entrés dans l’euro). Dans la logique euro, le fait de se conformer aux critères de convergence devait garantir la convergence économique et donc ne pas provoquer les tensions que l’on vit actuellement. 

    Comme quoi il est toujours dangereux de mettre la charrue avant les boeufs.


  • Vincent Verschoore Vincent Verschoore 12 mai 2011 14:17

    L’avancée liberticide et « sécuritaire » est le deuxième volet de la reprise en main du monde par les « classes de loisir » (voir Thoristen Veblen) sur les classes industrieuses, après quelques décennies d’émancipation de ces dernières (les 30 glorieuses). Le premier volet fut l’accaparation du pouvoir monétaire et financier qui a permit à cette classe d’acheter la représentation politique, qui aujourd’hui lui renvoie l’ascenseur en limitant au maximum toute possibilité aux peuples de se soustraire à son joug. 



  • Vincent Verschoore Vincent Verschoore 12 mai 2011 14:05

    Contrepoint fort intéressant et argumenté :), merci Tristan.


    Dans sa thèse, Hugo Mercier parle de l’effet de bonus de groupe et dit :
    « Ce terme décrit les cas dans lesquels la 
    performance des groupes est supérieure à celle de leurs meilleurs membres (Blinder 
    & Morgan, 2000 ; Laughlin et al., 2002 ; Laughlin et al., 2006 ; Laughlin et al., 2003 ; 
    Lombardelli, Proudman, & Talbot, 2005 ; Michaelsen, Watson, & Black, 1989 ; 
    Sniezek & Henry, 1989 ; Stasson et al., 1991 ; Tindale & Sheffey, 2002). Un tel 
    phénomène a également été observé chez les enfants, chez qui il est nommé le « deux 
    erreurs font une bonne réponse » (‘two wrongs make a right’) (Glachan & Light, 
    1982 ; B. B. Schwarz, Neuman, & Biezuner, 2000). »

    Il reconnait également que la psychologie évolutive est souvent considérée comme non scientifique, et avance des arguments pour combattre cette idée, notamment le fait qu’elle pose des hypothèses qui sont ensuite testées sur des comportements réels. C’est un débat d’expert qui me dépasse, d’autant qu’en matière de psychologie je ne suis pas convaincu que la méthode scientifique soit nécessairement pertinente.

    Vous soulevez entre autre la question de l’ordre d’apparition de la collaboration et du raisonnement avec une analyse opposée à cette présentée dans l’article. La collaboration serait selon vous un produit de la capacité à raisonner, mais alors d’ou vient le raisonnement ? Il serait inné ? Mon point de vue est plus proche de celui de Sperber et Mercier, cad que la collaboration est fille de la nécessité avant d’être le fruit du choix raisonné. La collaboration existe dans le règne animal - et même végétal - sans pour autant que l’on puisse y associer un raisonnement. L’homme primitif seul était un homme mort (sauf Rahan, d’accord) et le fait de vivre en clan et de collaborer était la seule issue. 

    Je ne sus pas sur de comprendre la différence entre la notion d’évolution darwiniste du cerveau et la notion de qualité innée. Innée à partir de quand ? Si cette capacité est apparue un jour, en quoi est-ce différent d’une évolution darwiniste - vu que cette capacité est bénéfique ? Si cette capacité a toujours existé, elle devait exister chez le premier animal doté d’un cerveau voici qques 500 millions d’années, ce qui me semble quand même assez tracto-capillé.
     


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