Tout à fait d’accord avec Jean KEIM, s’appliquant à la France, le terme de démocratie est totalement inepte, galvaudé !
Il y a 7 ans, sur ce réseau, j’évoquais le terme de dictature douce pour qualifier le régime réelle de la France, vu par une citoyenne, moi en l’occurrence qui ne voyait de démocratie nulle part ! si ce n’est parmi les ploutocrates qui se sont succédés au pouvoir depuis 40 ans.
Depuis, d’autres ont rejoint ce point de vue, surtout depuis la trahison de SARKOZY, en matière de référendum populaire, celui de 2005 qui aurait du soulever une révolte. Il faut croire que le peuple était trop endormi pour se rendre compte de la réalité, ce qui n’est plus le cas depuis l’élection du « têtard à hublot » prétendument socialiste.
Nous n’en pouvons plus de reconduire, depuis des décennies, une caste qui veut garder les commandes de la France par tous les moyens, d’où le retour du traître SARKOZY.
DU DROIT THEORIQUE ET RIEN D’AUTRE EN FRANCE, DANS LE TEXTE DELOI SUIVANT, « la maman et ses trois enfants devraient bénéficier d’un hébergement illimité ».
L’EXTRAIT DU TEXTE :
"Le droit de demeurer dans la structure d’hébergement d’urgence jusqu’à une
orientation
La durée de l’hébergement n’est pas limitée. Il ne peut être mis fin à la prise en charge que si la famille le
souhaite ou si une orientation a été proposée vers une structure d’hébergement stable ou de soins, ou
vers un logement, adaptés à sa situation.
« Toute personne accueillie dans une structure d’hébergement d’urgence doit pouvoir y bénéficier d’un
accompagnement personnalisé et y demeurer, dès lors qu’elle le souhaite, jusqu’à ce qu’une orientation lui
soit proposée. Cette orientation est effectuée vers une structure d’hébergement stable ou de soins, ou vers
un logement, adaptés à sa situation ». (Code de l’Action Sociale et des Familles, article L.345-2-3)
Il est courant que certaines personnes ne bénéficient d’un hébergement que pour quelques nuits. Ces
pratiques sont contraires à la loi et les personnes disposent de recours juridiques afin de faire valoir leur
droit au maintien dans un hébergement d’urgence.
Seule l’orientation vers un hébergement stable ou de soins, ou dans un logement, adaptés à la situation de
la personne, peut justifier la sortie d’un hébergement d’urgence. Ce principe vaut également à la sortie du
« plan hivernal »."
DANS LA PRATIQUE, IL EST PROPOSE UN HEBERGEMENT LIMITE D’UNE A 15 NUITEES. DE PLUS LES PERSONNES SONT REMISES A LA RUE AU PETIT MATIN, CONDAMNES A ERRER JUSQU’AU SOIR.
UN DISPOSITIF QUI SEMBLE PARFAITEMENT CONVENIR AUX TRAVAILLEURS SOCIAUX AU CHAUD ET QUI SE BORNENT A PLEURER AUX COTES DES PERSONNES EN SOUFFRANCE.
QUE RESSENTIRONT PLUS TARD, CES ENFANTS INNOCENTS A L’EGARD DE LA SOCIETE, DES INSTITUTIONS VYCHISTES QUI LES LIVRENT A L’ERRANCE ?
Il y a une dizaine d’année, j’ai croisé un architecte qui avait fait faillite, puis il y a eu divorce d’avec son épouse, il allait de camping en camping avec sa minuscule caravane tractée par un gros 4/4, tout ce qui lui restait. Il avait la rage au ventre et ne parlait que de son procès contre les banquiers !
Je ne sais pas ce qu’il est devenu, je ne l’ai plus jamais revu !
Excellent article quoi qu’en dise certains lecteurs ! Tout cela ne vous rappelle pas les expropriations des petits propriétaires de leurs fermes en l’Amérique, par les banquiers dans le livre de
Johnn STEINBECK dans « les raisons de la colère » ?
Locataires, propriétaires-accédants se retrouvent expropriés de leurs logement sans que cela n’émeuve les pouvoirs publics et encore moins les associations qui préfèrent défendre des causes lointaines et exotiques.