Apôtre du dé à 10 faces, grand amateur de bonne chère et de musiques underground, souvent incompris de mes pairs, je cultive le décalage et la geekness comme d’autres leur potager.
Ma brave Dolores vous devez avoir environ 70 ans ou quelque chose d’approchant, vous avez alors du mal à concevoir le monde des djeuns.
Condescendance, mépris, déductions au pifomètre... Tout le style des espérantistes rassemblé en une phrase.
Chère Dolores, ne vous en faites pas, tout le monde n’est pas comme ça céans, et vous repèrerez très vite les comparses de ce sinistre individu..
l’esperanto par son apprentissage plus rapide comme outils de communication.
Est-il illusoire de continuer à espérer une explication rationnelle à cette affirmation péremptoire ?
Sinon pour les mots, l’esperanto fait comme toutes les autres langues, soit par emprunts dans d’autres langues, soit en puisant dans ses propres ressources linguistiques,
Par définition, l’e-o n’a pas de propres ressources linguistiques. Aucun mot n’est purement inventé, dans cette langue.
Sinon merci de vous renseigner plus sur le sujet que vous ne maitrisez malheureusement pas
"Allez, tiens, y avait du rab de mépris, je vous l’ai mis quand même". Cher illettré, dois-je te rappeler que le crédo de Krokolidio est justement d’ouvrir sa gueule en permanence sur des sujets dont il ne comprend rien ? Vous autres parlojistes êtes bien mal placés pour balancer de telles sentences. Allez, au panier.
Comment dire... Je ne sais pas si c’est à cause du mépris que tu m’inspires, mais après la pitoyable blague sur Adam et Eve, j’ai renoncé à attendre de ton article qu’il titille mes zygomatiques.
C’est nul, il n’y a pas d’autre mot. J’ai envie de me pendre...
Ce que j’aime bien avec ces commentaires, c’est qu’ils tentent de discréditer l’anglais avec des parallèles débiles et des sophismes qui, au final, retombent sur des arguments raisonnables en faveur de l’anglais : oui, c’est la langue internationale de fait, parce que c’est la langue commune aux E-U et à l’Inde, deux grosses puissances pour des raisons différentes certes, mais existantes. Et nous n’avons jamais prétendu que l’anglais était aussi inamovible qu’une ventouse sur sa cuvette.