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Commentaire de kesed

sur Lettre à ces soldats qui vont partir au Proche-Orient (et à nous qui restons là)


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kesed 22 juillet 2006 17:03

Demat dit,

Petit cours de théologie Musulmane à l’attention des pauvres naïfs Européens...

L’islam, religion tolérante par nature ?

NIGERIA AFFAIRE MISS MONDE La journaliste menacée d’une fatwa de mort Après Salman Rushdie condamné à mort par l’ayatollah Khomeiny pour avoir écrit « Les Versets sataniques » et Taslima Nasreen menacée de la même peine pour avoir dénoncé les violences contre les hindous au Bangladesh. c’est au tour de la journaliste nigériane Isioma Daniel de voir sa vie compromise par une fatwa décrétée à son encontre. Les dirigeants du Zamfara, l’un des États composant le Nigeria. ont appelé les musulmans à la tuer parce qu’elle avait écrit un article jugé blasphématoire à propos de l’élection de Miss monde. Pour rappel, notre consœur avait suggéré que le prophète Mahomet aurait pu choisir pour épouse l’une des reines de beauté participant à la compétition. Son texte avait provoqué de violentes émeutes. Pour Tukur Umar Dangaladima. le commissaire chargé de l’Information au Zamfara, Isioma Daniel pourrait toutefois échapper à la mort, du moins si elle n’est pas musulmane. Elle devrait alors se convertir à l’Islam. Par contre si elle l’est déjà, son sort est définitivement scellé. Elle devra mourir pour avoir insulter le prophète. Dans ces conditions, la journaliste a préféré l’exil. De son côté. le gouvernement fédéral du Nigeria a rejeté comme nulle et non avenue cette fatwa. Au nom de l’État de droit, le ministre de l’Information a promis qu’elle ne serait pas appliquée.

C’est sous prétexte de « blasphème » que plus de 200 personnes ont trouvé la mort lors des incidents qui se sont déroulés dans le cadre de l’élection de « Miss Monde 2002 » au Nigeria. Une fois encore, les musulmans ont montré à quel point ils méprisaient les opinions qui ne concordaient pas avec les leurs mais aussi, et surtout, la vie humaine. Car, en écrivant que Mahomet aurait pu choisir pour femme l’une des candidates au titre de « miss », la journaliste Isioma Daniel n’avait fait que s’inspirer de ce que fut la vie du prétendu prophète.

Une fois encore, les musulmans se sont posés en « victimes » plutôt que d’admettre la vérité et de la regarder en face. L’article incriminé ne fut qu’une excuse pour fomenter des troubles et assassiner les malheureux qui avaient le tort de ne pas être musulmans.

Le comble, c’est que les faits se sont produits dans un pays qui fut islamisé par la force et ce, par les tortionnaires arabes qui firent, pendant plusieurs centaines d’années, les malheurs de plusieurs millions d’Africains de race noire en les razziant pour les vendre comme esclaves et ce, bien avant que les européens ne s’y mettent à leur tour aux XVIIe et XVIIIe siècles. Remarquons d’ailleurs que si ce sont les occidentaux qui ont mis fin à l’esclavage, les musulmans pour leur part n’ont jamais encore officiellement ni dénoncé l’esclavage ni n’ont jamais demandé pardon aux descendants des millions d’esclaves dont ils furent directement responsables. Les musulmans ne peuvent en fait rien faire en ce sens puisque le coran, parole de Dieu selon l’islam, est truffé de recommendations et de préceptes liés aux esclaves. Il y a d’ailleurs quelque chose d’indécent dans le comportement d’un homme de race noire qui se soumet à l’islam (74), la religion des marchands d’esclaves qui, de l’Egypte et du Maghreb, organisèrent le plus honteux de tous les commerces. Le summum de l’indécence et de l’inconséquence fut atteint chez les « black muslims » (75) d’Amérique du Nord puisque les noirs américains - contrairement aux noirs africains - ne furent pas contraints à s’abaisser d’une telle manière. Ils le firent volontairement et, fort heureusement pour eux, le ridicule ne tue pas. Il n’empêche que le mouvement des Blacks Muslims - très médiatisé aux USA et dans le monde du fait de l’adhésion d’une poignée de personnalités du sport et du show-business - favorisa le prosélytisme musulman et la diffusion des thèses islamiques radicales.

L’intolérance des musulmans devient chaque jour de plus en plus évidente. Forts de l’impunité dont ils jouissent et des appuis dont ils disposent (ceux des pays du « bloc arabo-musulman »), ils se permettent de fomenter des troubles pour des prétextes futiles et de lancer des « fatwa de mort » pour un oui ou pour un non.

Vimal Patak, un Hindou bastonné à mort par des Mollah dans une mosquée au Bengladesh. Son crime ? Avoir été le premier non-musulman a tomber sous la main des mollah quand ils en cherchaient un après la prière du vendredi.

Cela est aussi vrai sur internet, où ils trouvent parfaitement naturel d’insulter et de menacer avec la plus parfaite arrogance, tout en se présentant comme des victimes.

Source : http://forum.stcom.net/viewtopic.php?t=371

De même, ils n’hésitent pas à lancer ouvertement des appels au jihad contre les sites qui ne font pas l’apologie de l’islam (dont le présent site) en incitant au « hacking », c’est à dire au piratage et au sabotage informatique. C’est bien entendu totalement illégal mais la tolérance Occidentale qu’il est obligatoire de manifester envers la « modération » islamique fait que, à l’image de Mahomet leur « beau modèle », ils réussissent effectivement parfois dans la plus parfaite impunité une crapuleuse « razzia » informatique avec la « bénédiction d’Allah » et, surtout, la complicité active de certains fournisseurs d’accès totalement inconscients.

Source : http://oumma.com/forum/showthread.php?t=113220

Source : archive http://oumma.com/forum/showthread.php?t=119887

Source : archive http://groups.msn.com/Miseengardecontretouteslessectes/liendesitesectaire.m snw

Dans le cas des incidents graves qui ont fait 215 morts et plus de mille blessés (selon la Croix-Rouge) dans la ville nigériane de Kaduna, il conviendrait de se saisir des dirigeants du Zamfara et de les traduire devant un tribunal international sous l’inculpation d’incitation à la haine et d’appel au meurtre. Il conviendrait, par ailleurs, de mettre un terme aux aides qui sont accordées à des pays incapables d’imposer le respect des droits les plus élémentaires de l’homme, de la femme et des enfants et de juger ceux, parmi leurs dirigeants politiques et religieux, qui se rendent coupables d’actes criminels.

La première page du bel (et courageux) article d’Eric Conan (L’Express - n°2671 - 12 septembre 2002). On y voit un jeune agitateur brandissant le coran devant un policier (britannique). A noter la mention qui figure sur cette page : « Non, le monde musulman n’est pas victime de l’Occident, mais de son propre archaïsme et de l’incurie de ses dirigeants. Non, les musulmans de France ne doivent pas « adapter » la laïcité mais s’y plier... » !

Le comble, c’est que les prétendus « musulmans d’Europe » se sont mis à adopter, chez nous, des attitudes qui les enverraient directement en prison dans les pays régis par la loi coranique ! C’est notamment le cas dans les écoles publiques (voire privées) où ils se montrent agressifs vis-à-vis du personnel enseignant et n’hésitent plus à contester les programmes ou les modes de notation des travaux scolaires. Dans une « école » coranique, ces mêmes individus n’oseraient même pas relever la tête. A la moindre incartade, ils recevraient des coups de bâton !

On relève, par ailleurs, que de très nombreux musulmans commettent, chez nous, des délits et des crimes qui seraient punis avec une extrême sévérité dans les régions du monde où la charia tient lieu de justice. Rappelons qu’un simple vol - délit considéré comme « mineur » dans les pays occidentaux - pourra être puni par l’amputation d’une main (les deux en cas de récidive) dans un pays tel que l’Arabie saoudite. Ne devrait-on pas, dès lors, appliquer la charia à tous ceux qui, en Europe occidentale, revendiquent haut et fort leur appartenance à l’islam tout en prônant le rejet et la non-observance des lois édictées par des « mécréants » ? Ce ne serait que justice (76) même si cela contreviendrait à notre « sens des valeurs » et à notre principe d’« égalité devant la loi ».

(cliquer dans la carte pour l’agrandir)

Ci-dessus, l’Asie à la mort de Gengis Khan (1227) et en 1939. On voit comment l’empire arabo-musulman a « rétréci au lavage » au fil des siècles. L’Arabie saoudite - qui n’est guère habitable que dans ses régions côtières - représente à peine le tiers de ce qu’était l’Arabie au début du XIIIe siècle. Elle a perdu ses possessions d’Afrique du Nord (hors cartes) et toutes ses conquêtes du nord et du nord-est. En Arabie même, on a vu se constituer toute une série d’états indépendants dans le sud et le sud-est de la péninsule (Yémen et émirats).

Les Arabes ont cependant toujours rêvé de reconquérir leurs anciennes possessions et même de repartir à la conquête de nouveaux territoires par islam interposé comme il se doit. L’Europe est même devenue leur objectif prioritaire car la démocratie y est faible et le nombre des immigrants musulmans très élevé. Grâce à l’appui financier (direct ou indirect) des « rois du pétrole », les islamistes ont mis en place une politique fondée sur la corruption.

Les textes reproduits sur cette pages et sur les pages précédentes sont extraits d’un encart accompagnant l’article de « L’Express ».

On constate que, de plus en plus fréquemment, de « jeunes cons » (il faut bien les appeler par leurs noms), sans culture, ni éducation, se permettent de critiquer les programmes scolaires, de perturber les cours et d’insulter les membres du corps enseignant.

On comprend que les enseignants aient peur de ces petits voyous islamisés qui jouent aux caïds dans les écoles, d’autant que les instances de tutelle, bien loin de faire leur travail, prêchent la « modération » et refusent de prendre les sanctions qui s’imposent.

Déjà dans les années 80, une enseignante belge s’était plainte du fait que, dans sa classe qui servait pour des cours du soir d’enseignement coranique, elle retrouvait le portrait d’Attaturk en lieu et place de celui du roi des Belges. Il y avait déjà là une volonté évidente de provocation de la part des jeunes musulmans qui fréquentaient ce local public. Mais aucune mesure n’avait été prise par les autorités commu-nales à l’encontre des fauteurs de troubles.

Ce laxisme est caractéristique de la pleutrerie des démocraties européenne, ce dont profitent les agitateurs islamistes. Si rien n’est fait pour corriger rapidement le tir, il faut s’attendre à voir les mouvements de droite et d’extrême droite tirer profit de cette situation très grave. L’éviction de Lionel Jospin par Jean-Marie Le Pen au deuxième tour de l’élection présidentielle Française le 21 avril 2002 est un signe clair (sauf apparemment pour les socialistes !).

Il convient notamment que les élèves qui perturbent l’enseigne-ment de cette manière soient écartés des établissements et placés, jusqu’à leur majorité légale, dans des « maisons de correction » comme il en existait encore dans les années 50-60.

Mais que faut-il penser de cet établissement des Hauts-de-Seine qui engage des surveillants d’origine maghrébine et leur permet de se comporter en agitateurs dans l’établissement ? L’un de ces deux individus ira même jusqu’à arborer une « tenue islamique » pour mieux jouer au « caïd » et au « redresseur de torts » à la manière musulmane. On croit rêver ! Et pourtant cet exemple n’est pas unique !

Qu’attend-t-on pour sanctionner tous les « ben-Laden-en-herbe » qui osent s’attaquer ouvertement - et avec de plus en plus de morgue - aux lois et aux règles de vie des pays où ils sont venu quémander un travail ou un asile ? Faudra-t-il des émeutes ou des combats de rues pour que les autorités politiques et administratives daignent enfin prendre leurs responsabilités ? Faudra-t-il que les citoyens européens, excédés, se constituent, eux aussi, en milices répressives et punitives ?

Attention, nous sommes près, très près, du précipice !

Kenavo ar wezh all


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