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Commentaire de Jean

sur Peur et lâchetés françaises 1939


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Jean (---.---.183.12) 27 juillet 2006 15:49

Je ne suis pas allé bien loin avant de deviner l’orientation de l’article à moins que ce ne soit la méconnaissance du sujet.

Je connais pas trop mal le sujet pour l’étudier, non pas dans des livres, mais dans les archives qui, depuis un décret de 2002 , sont maintenant accessibles.

Je me suis arrête à cette phrase :
« arrêtée par la police française comme apatride en juillet 1942 et livrée au camp d’Auschwitz où elle meurt un mois plus tard. »

1°) « arrêtée par la police française » : La police n’arrêtait pas sans ordre. Or qui avait donné l’ordre ? Mystère.

2°)« livrée au camp d’Auschwitz » . La Police française n’a jamais livré à un camps étranger. Elle emmenait les gens sur Drancy ou Royalieu et là, c’était les dirigeants , c’est à dire l’occupant, qui prenaient les décisions.

La tournure, le choix des mots de ces 2 phrases, signent la qualité de votre article.

Combien aimerais-je voir le comportement des redresseurs de tords sous les conditions d’une occupation comme celle de 1942 !

Jean


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