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Commentaire de

sur Fichier des expulsés et de leurs amis


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(---.---.10.2) 22 août 2006 19:51

Par RAF

Toujours dans votre rôle d’avocat du diable. Ce qui gêne dans tout cela est le retour à des pratiques hérétiques dignes de la seule Gestapo. Hérétiques ces pratiques et tout à la fois qui acculent à des réactions hérétiques. C’est qu’on est en train de créer, voire d’aggraver les enclaves.

Personnellement, je vois venir le temps où non seulement l’on fichera réellement et de fait les étrangers en situation d’expulsion (de France), mais qu’on conduira l’étranger à façonner une belle tête de turc aux Français. Je vois venir le jour où on sommera le français (en tout cas particulièrement le français douteux que vous êtes, vous PA) par réaction (légitime !) de ne plus mettre les pieds en dehors du territoire français. Soit, chez les Autres. A moins que vous imaginiez tout permis à un français et pas à un étranger. A moins que bien sûr vous n’ayez pas assez conscience de la colère et du mépris que vous suscitez chez les autres peuples. Vous avez l’air de ne pas prendre au sérieux les revers essuyés du ministre de l’intérieur tant en Afrique qu’en territoire d’outre-mer - et je peux vous assurer que ce n’est là qu’un prélude à un divorce généralisé avec la France et les français. Et je peux vous assurer que cette France aux attitudes indignes et douteuses est déjà dans le collimateur de nombre de pays du quart monde. On n’entretient pas de rapports avec un régime intégriste/fasciste fût-il celui de la France (pays des Lumières, en revanche en passe de s’engouffrer dans le sordide et les ténèbres). L’heure de la décadence française a déjà peut-être sonné. Il semble qu’à la fin de tout âge d’or, on voie toujours s’ériger le faux (comme qui dirait par exemple un faux Français) et l’impur en redresseurs de torts.

Voilà Monsieur PA : je m’étonne que vous vous étonniez que l’on s’étonne. Je m’étonnerais que je puisse pardonner un jour à mon pays de vous souhaiter la bienvenue - tout autant qu’à l’homme pressenti par certains au poste de président des Français.

PS/ Ce que je viens de dire ne sont pas des mots vains : c’est la réalité qui les dicte. Alors, en avant la surenchère...

RAF


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