bien, certes, réformer les villes, les plans d’urbanisme, l’éducation qu’on y trouve etc... mais d’où viennet les gens qui viennent dans votre ville, dans les autres, attirés par un espoir de monde meilleur, comme ils le seront plus tard par une ville européenne ? vavant d’être dans une ville africaine, beaucoup viennent des fins fonds de ce continent, de village, ou l’on ne trouve rien, aucun confort, aucun soin... Fixr ces gens dans leur habitat traditionnel, leur village, dévellopé ces villages est certainement beaucoup plus facile dans lec ourt terme que de faire une politique d’urbanisme et d’éducation que nous n’arrivons pas à faire chez « nous » correctement.. Gérer une ville c’est tout un programme. Vous parlez démographie, oui certainement, mais vosu savez sans doute que les comportements urbains dans ce domaine ne sont pas les mêmes que ceux ruraux. Par manque d’espace, de ressource, par des moyens educatifs et de suivis médicaux un peu plus opérationnels, il y a déjà moins d’enfants que dans les villages, ou il faut des bras pour travailler le lopin de terre, pour aller chercher de l’eau, pour faire le messager avec l’extérieur. Simplifier un peu cette vie rurale, y apporter communication et éducation informative électronique, un brin de confort, pour fixer et faire connaitre à dans ces régions perdues des moyens de subvenir par elle même, pour finalement fixer la population et réduire la démographie. Démographie contrariée dans de nombreux pays par la maladie, le SIDA notamment, qui limite l’espérance de vie dans certains coin à à peine 40 ans... Comment en vouloir à ces gens (vous ne leur voulez pas ..) d’essayer de vivre un peu plus ? aux parents de voir leurs enfants rester à leur côté dans l’espace rural qui comme chez nous perd sa population au profit des centres urbains qui ne résolvent rien, et qui ne sont qu’une étape vers un paradis européen imaginaire. L’humanitaire, tant celui de l’urgence que de la gestion quotidienne, a acquis quoiqu’il en soit une expérience au fil des ans. C’est une« science » jeune que de s’occuper des gens suivant leur préoccupation en pensant à leur avenir plutot que de voir le court terme ou le profit. Donc maintenant, on sait comment a peu près dévelloppé un village, le faire vivre dans une autarcie moderne. Mais les lumières de la ville brilleront toujours au loin, et les bruits de bottes résonneront toujours. Pour la première, cela passe par une éducation sur place, montrer que la ville africaine, tout comme la ville européenne n’est pas l’eldorado envisagé. Pour les bottes, une partie du problème provient des vendeurs de canons, et de l’autres une faiblesse de nos pays qui n’arrivent ni à faire passer le message que nos armées modernes ne sont plus là pour réduire les foules à l’esclavage, ni à s’imposer davant des guerriers en chameau, face à nos armadas tout impresionnant qu’il soit.
Faire vivre un village, fixer les populations, inverser l’exode rural, c’est apporter dans ces régions l"nergie suffisante, que les centrales à grande échelle ne peuvent apporter, pour cause de densité trop faible. Les moyens de production doivent et ne peuvent être que locaux. C’est la voie immediate qui est à prendre plutot que d’imaginer de grands plans urabains impossibles ou de réformer des systèmes d’éducation de l’extérieur, dont on sait la sensibilité compréhensible des populations à recevoir de l’extérieur ce qu’ils doivent savoir. (cela est aussi valable pour le rural, mais cela passe mieux par l’apport immédiat d’un nouveau petit confort de vie, alors que la visiblité de quelques politique dans les centres urbains est beaucoup moins visibles à court terme et donc nettement plus faillible.) ....