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Commentaire de Henri Masson

sur 1887-2007 : Une histoire très belle


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Henri Masson 10 août 2007 07:02

Il est évident, funram, que la motivation pour l’espéranto joue un rôle considérable comme pour toute(s) autre(s) langue(s) ou sujet(s), matière(s), activité(s), etc.. Pour moi elle est venue après avoir pris connaissance de ses possibilités (qui se sont accrues par la suite) et être passé à la pratique.

Il est évident que, au départ, l’anglais a au moins un atout que l’espéranto n’a pas : tout le monde croit qu’il est non seulement utile, nécessaire, indispensable, qu’il n’est point de salut sans lui, etc. Tout le monde sait qu’il existe alors que le pourcentage de personnes qui ont connaissance de l’existence de l’espéranto est peu élevé, même dans les milieux intellectuels. Ce n’est motivant d’apprendre une langue que lorsque l’on sait qu’elle peut être utile, qu’elle peut apporter bien des satisfactions, que ce n’est pas un simple passe-temps, qu’elle a un usage professionnel répandu (ce qui, il faut le reconnaître, est encore un handicap pour l’espéranto, mais ce n’est pas une situation définitive). J’ai vu pas mal de cas de personnes qui ne s’y sont mises qu’à la retraite et qui ont toutes regretté de ne pas avoir pu l’apprendre dès l’école. Le professeur Molimard, déjà mentionné, est l’un de ces cas. Raison de plus pour l’apprendre très jeune.


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