TORVALD : Il a semblé nécessaire de décrire le contexte dans lequel adviennent ces
ATTAques (sorry pas pu m’empêcher). Ajouté à l’absurdité d’un auto
attentat, voir d’autre commentaires, il devrait raisonnablement éviter de
s’embarquer dans des thèses contraires au déroulement habituel de
l’histoire.
Ce journaliste anglais * (a-t-il lu Toynbee ?) semble relever d’un
syndrome qui combinerait le pétage de plomb dû à la shizo - trop longue
fréquentation d’une culture différente de celle d’origine - et le principe
de Peter amélioré.
Tiens, vous voilà psy maintenant ? L’argument psychiatrique, systématiquement utilisé à
l’encontre des gens qui remettent en cause le conte pour enfant que constitue la version officielle des attaques du 11 septembre, est bien entendu totalement irrecevable.
TORVALD : Le principe de Peter c’est atteindre naturellement son niveau
d’incompétence. Le même amélioré c’est un cumul d’informations trop
pointues impossibles à gérer. De plus comme tout spécialiste des sciences
humaines, après avoir couvert tant de situations conflictuelles diverses et
variées dues à l’homme, il en arrive inévitablement à l’objectivité
scientifique et technique. La balle magique de l’attentat contre J.F.K. en
est un merveilleux exemple.
Joli charabia, joli mélange des gens, encore une fois technique de désinformation basique et classique constituant -pour faire court- à noyer le poisson.
TORVALD : Pour avoir longtemps travaillé sur cette affaire et s’être bien colleté
avec la zetetique, on sait qu’on dérive très vite jusqu’à se perdre dans
les questions techniques, d’où mon préambule sur le contexte politique.
Alors maintenant il faut réviser les lois de base de la physique, elles vont très vite vous ramener à des choses très simples à comprendre, notamment qu’un immeuble de 400 mètres ne peut s’effondrer sur lui-même en 10 secondes sans, au choix :
- y être aidé par des explosifs
- entrer dans la quatrième dimension et se soustraire aux lois de Newton
TORVALD : Dans le cas du WTC on va rediscutailler à l’infini des structures, des
températures, de la cynétique. Ben non les querelles d’experts techniques
ça n’a jamais débouché sur rien. 50% disent blanc 50% disent noir, c’est
ainsi. La justice reste une discipline fondamentalement inexacte.
Rien de plus facile à démontrer scientifiquement qu’une démolition contrôlée, encore faut-il avoir accès aux pièces, ce sera j’espère un jour un jeu d’enfant pour une véritable commission d’enquête composée de scientifiques disposant de tous les éléments retenus aujourd’hui par les autorités en place.
TORVALD : Pour ce qui est du Pentagone, le bâtiment est protégé en permanence par
cinq batteries anti-missiles sophistiquées, réglées pour riposter
automatiquement. Aucun appareil ne peut s’en approcher sans émettre un code
de reconnaissance ami, ce qui est impossible pour un appareil civil. Le vol
93 aurait dû être abattu bien avant l’impact.
Ca c’est la version officielle. Ces gens ont eu 40 ans pour mettre au
point des systèmes de défense autrement sophistiqués, le Pentagone étant
une cible naturelle depuis les I.C.B.M. L’avion a pu être suivi.
Une fois l’alerte donnée, il s’est écoulé une demi-heure après le seconde
explosion du WTC. Le problème était qu’il transportait des citoyens
américains. Le type qui a appuyé sur le bouton a dû le faire à l’ultime
seconde, à vue selon l’endroit où il se trouvait.
Encore une fois pour le pentagone je m’en tiens au faits : défection des systèmes de défenses, absence de débris d’avion. Vous avancez une théorie qui n’est pas plus vérifiable que celles de ceux que vous appelez les « conspirationnistes », ça vous regarde.
TORVALD : TORVALD : Mais de grâce arrêtons le délire
oui nous ne savons pas tout mais ne partons pas de but en blanc sur une
aberration du type attentat fabriqué contre son propre pays.
Relisez vous aussi encore une fois l’article de Fisk, il n’avance aucune théorie de ce genre justement.
TORVALD : * C’était aussi le cas d’Oriana Fallaci, qui en même temps critiquait
Kissinger et se déchaînait contre l’islam en général.
C’est bien.