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Commentaire de Paul Villach

sur Il y a des gifles qui se perdent : le professeur et le droit de correction


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Paul Villach Paul Villach 1er février 2008 13:10

Ne mélangeons pas les problèmes. J’ai choisi de traiter le cadre juridique de cette affaire en précisant les droits du professeur poursuivi qui sont occultés par tout le monde ! C’est un comble !

La question qui se pose présentement, n’est pas de savoir si oui ou non les châtiments corporels sont acceptables, mais, puisque l’affaire est devant la justice, de savoir comment elle a déjà traité la question par le passé, ce qui s’appelle une jurisprudence.

Pourquoi ni les syndicats, ni l’administration avec ses services contentieux n’intervienent pas dans les médias pour informer de l’état de cette jurisprudence ?

Quant aux choix personnels, on est tous d’accord pour rejeter la violence dans l’éducation. Seulement, il existe des situations où une gifle peut partir. Qui peut soutenir que ça ne lui arrivera pas ? Mais ce n’est pas anodin, ce peut être grave. C’est pourquoi le problème a été traité en justice à la suite de plaintes depuis quasiment le début de l’École laïque, gratuite et obligatoire. Et un droit de correction mesuré a été reconnu au professeur. Pourquoi administration et syndicats ne le disent-ils pas ? Paul Villach


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