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Commentaire de vincent p

sur Il faut développer les recherches en théologie !


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vincent p 27 février 2008 14:18

 

Comme si l’irréligion, l’indifférentisme pouvait continuellement nous préserver du pire, à la mise en place complaisante de systèmes et d’autorités de plus en plus conditionnants à l’égard des hommes...

L’irréligion se doit d’être un système commun reposant toujours sur un bon nombre gens pleins 
de contradictions et de certitudes, si tu es religieux ou trop spirituel tu n’es pas ok à suivre,
comme de la continuelle démystification de Dieu, de la religion, de la théologie, de la philosophie.

Ces mécanismes d’autodéfense automatique contre le tout religieux, tous inutiles et aussi peu productifs à voir paraît-il, ont pour but naturellement de maintenir davantage d’hommes dans la peur du religieux, à se sentir bien et rassuré uniquement en société avec un cadeau plein ou vide le dimanche.

Bien sur il est plus facile de tourner le dos au religieux, à un tableau, à l’histoire d’un Saint, quand apparaît le danger inconnu de devoir subitement remettre en question certaines idées recus par d’autres.

Préférant vivre davantage en société dans la peur ou le rejet du religieux, que dans l’acceptation personnelle de l’autre et cela même si son coté religieux est plus exemplaire ou moins pompeux qu’un autre, dans le luxe ou l’opulence, je dirais même que ça arrange beaucoup l’homme irréligieux de vouloir souvent entretenir ce conflit en lui, comme dans le monde.

On fait aussi croire aux enfants à la place de croire en Dieu, que rien d’autre n’existe en dehors de ne plus croire en rien, sauf bien sur en l’irréligion de l’homme moderne, c’est-à-dire quel piètre exemple à suivre. 

En même temps, on fait croire aux hommes ou chez les nouveaux adeptes de ce matérialisme, selon ses préférences à la carte, libéralisme, socialisme, communisme, capitalisme, qu’il en sera toujours ainsi.

Un peu comme l’image symbolique d’un Dragon qui aurait plusieurs têtes, mais qui à chaque fois que l’une d’elle serait touchée ou décapitée par l’histoire en cours, une autre en rechercherait souvent à en prendre la première place, ce qui vous reconnaîtrez n’est guère mieux à voir à la longue.

Continuel désir de toute puissance de l’homme terreste sur l’homme spirituel, Caïn le forgeron, rgeron, l’irréligieux sur Abel le spirituel, Abel ne me pardonne pas car si je ne tue pas comment pourrais-je alors prétendre plus longtemps à être un meilleur travailleur que toi aux yeux des hommes, je veux rester dans l’histoire.

Il est bien évident que le grand marché commu mis en place par toutes ces idéologies modernes égarent de plus en plus d’hommes à la foi, à la tradition, à la modération, à la sobriété matérielle, quel saccage perpétuel de la nature, mais jusqu’à quand pourront-ils encore vivre comme cela ?

C’est-à-dire, dans la demande et la réclame continuelle de davantage d’argent et de biens terrestres
pour se sentir bien, désolante et continuelle rivalité marchande d’aujourd’hui, à être le plus riche et le plus coté en Bourse, alors bien sur ne parlons surtout pas entre nous de la théologie ou de Dieu.

Selon les besoins continuellement pressants et marchands des autorités mis en place, dans le rapport de force, conflit perpétuel d’intérêts, de vaine préservation, de querelle, et de désarroi entre
les hommes.

Ca égare, ça entretient, ça tourne en rond, et encourage bien évidemment davantage l’orgueil de l’homme libéral devenu radicalement trop puissant, riche, irréligieux ou indifférent à la condition de son prochain.

On se donne même l’apparence d’être plus meilleur qu’autrui car sans doute plus irréligieux ou plus acheteur ou marchand qu’autrui, or dans les faits ce n’est guère plus de liberté mais de dépendance.

On éduque même les enfants à ne vivre que pour le seul assouvissement de ses désirs, l’argent, la seule réussite matérielle, et cela d’ailleurs quel qu’en soit le prix à payer pour l’homme ou pour la nature, désir de tout puissance, comme de tout contrôle envers soi même comme envers autrui, et on fait de l’homme le moyen et la fin de vouloir continuellement désirer cela dans notre histoire.

Et oui l’indifférentisme, l’irreligion et le tout marchand libéral peut aussi nous conduire au pire, mais
Chut il ne faut surtout par le redire aux autres, c’est comment dire pas aussi tangible à voir n’est ce pas ?

 

 


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