En lisant le texte de Jerome Bondu, et en particulier, cette phrase : « Si l’Europe n’est pas puissante, alors elle sera impuissante », je me disais :
« Mais comment donc pourrait-on être puissant, quand on est dirigé par des… testicules molles, tolérantes et droit-de-l’hommistes, se gargarisant à l’universalisme, à l’antiracisme et au métissage ? »
Paradoxalement, la pertinence de ma réflexion allait,presque aussitôt, trouver confirmation avec l’intervention de quelqu’un (tzecoatl, 11 h 41) qui n’a pas vraiment les mêmes convictions que moi :
« Que souhaite réellement Védrine ? Que l’Europe s’immisce comme alternative dans la chute de l’empire américain annoncé et la montée chinoise ? Désolé, mais ce rôle incombe à des élites peu scrupuleuses et arrogantes. Et le passé récent peu glorieux de l’ubris européen tue dans l’oeuf tout élan dans ce sens (nazisme, communisme, colonialisme). »
Et voilà pourquoi l’Europe restera impuissante. A tout le moins tant qu’elle ne sera pas dirigée par des leaders qui diront aux Européens qu’ils sont les meilleurs, que leur civilisation est ce que l’espèce humaine a produit de mieux depuis son apparition sur terre, et que cette réalité doit nourrir leur fierté de tous les instants !
Une attitude qui est aux antipodes de l’abjecte repentance que des intellectuels en pleine dérive ont imposé à nos sociétés anesthésiées.
Rassuré tzecoatl ?