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Commentaire de armand

sur Dangereuse rupture de la politique étrangère française


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armand armand 12 avril 2008 17:29

Cambronne :

Excellente analyse. Je garde à De Gaulle ma reconnaissance pour le 18 juin, pour la constitution, bof... j’avais cru comprendre qu’il avait eu en tête le Comte de Paris dans un premier temps, puis qu’il l’a laché - comme il a laché pratiquement tout le monde qui a cru en lui.

Ceci dit, rappelons quand même que De Gaulle s’est immédiatement rangé du côté des Etats-Unis dans l’affaire des missiles de Cuba au lieu de jouer au non-aligné.

Concernant l’exécution de Laval, le personnage était tellement répugnant que je ne trouve pas le procédé excessif ; En revanche, pour Bastien-Thiry la clémence l’aurait grandi. Mais je crois me souvenir qu’il a refusé car l’attentat avait mis en danger la vie de son épouse.

Napoléon III a été plus grand prince lors de l’attentat d’Orsini - on a dû pratiquement l’obliger à condamner les principaux responsables qui avaient, faut-il le remarquer, non seulement manqué de peu de tuer l’empereur et l’impératrice, mais assassiné des braves passants qui n’y étaient pour rien. Et Napoléon III a obtenu que certaines comndamnations soient commuées en déportation (pour la petite histoire, l’un des conjurés, DeRudio, s’est échappé de Cayenne, a gagné les USA où il est devenu officier de cavalerie et a survécu à la bataille de Little Bighorn...)


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