Commentaire de zalka sur Du douteux « Président » de Lionel Delplanque au bouleversant « Indigènes » de Rachid Bouchareb : de la démagogie à la sincérité

Commentaire de zalka

sur Du douteux « Président » de Lionel Delplanque au bouleversant « Indigènes » de Rachid Bouchareb : de la démagogie à la sincérité

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zalka (---.---.119.109) 27 septembre 2006 11:53

« Ceux qui les ont accompagné » comme vous dites, en bon produit de leur époque, avaient un avis préconçu sur les gens qu’ils accompagnaient, celui de la grande époque du colonialisme triomphant, du dénis des cultures soumises, une opinion qui à travers nos valeurs contemporaines s’assimile à du racisme pur et simple.

Sans nier l’intérêt de ces témoignages, il convient de les prendre avec des pincettes. Malheureusement, vous basez vos jugements uniquement là dessus.

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