• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile


Commentaire de barbouse

sur Aldo Naouri, l'incompris...


Voir l'intégralité des commentaires de cet article

barbouse, KECK Mickaël barbouse 20 juin 2008 09:26

bonjour,

il est dommageable que vous ne poussiez pas l’analyse sur le pourquoi l’autorité au sein comme sur les cellules familiales est déliquescente.

juste quelques éléments de réflexions :

si la majorité des pères ne vivaient pas de pret ou de loin sous l’épée de damoclès du divorce et de l’ éloignement de leur enfants dans une société qui les veut coupable et solvable,

éloignement qui implique ne plus pouvoir les protéger, ils ne seraient pas autant tenté par le role de grand copain, par le replis communautaire sous des "vrai valeur", un rejet du systême et de l’autorité juridique, l’envie de fonder une famille a l’étranger ou avec une étrangère, et autre réaction comme l’usage de la violence conjugale pour ne pas etre éloigner de leur gosses.

si sa propre vie n’a guère de sens ne de vision cohérente d’un avenir motivant, avec quoi on justifie l’exercice d’une autorité sur ses enfants alors que soi même on ne la cautionne pas.

Il en va de meme avec le sentiment souvent réaliste que la société est déja familialement cloisonnée, qu’au mieux pour bcp on fera de son enfant un travailleur remplaçable enrichissant une classe dirigeante d’incapable. 

Alors envisageant a quel point l’avenir qu’aura votre enfant est sans lumière, peu enviable, et finalement pénible, combien de parent n’ont tout simplement pas le coeur a en plus en rajouté coté autorité, LA machine de la vie social s’en chargera bien assez pour briser ses rêves d’enfants.

Devenir adulte sera pour lui ( ou elle) le jour où battu(e) et résignée, il (elle) maudira ses fins de mois en acceptant ses heures sup laissant la télévision s’occupée de ses enfants.

la surféminisation de l’éducation nationale engendre aussi une variable affective dans la notation d’un enfant, qui se voyant noté en fonction d’une couleur de peau, d’une situation familiale, de l’appartenance a un quartier, du beau visage de l’un ou du comportement par trop anti féministe de l’autre, notation qui étiquette l’exercice de votre pensée au sein d’une pédagogie, et fini par étiqueté votre vie, fini par le rejet de l’autorité féminine qui nie constamment que vous n’etes pas que d’une couleur de peau, que issue de tel quartier ou zone rurale, que etc....

la lacheté collective engendrant la tolérance jusqu’a l’absurde, toutes les cultures se valent mais toute n’ont pas engendrée internet, la bataille pour déterminer quelle autorité est légitime au dessus des familles, et surtout qu’elles sont celles dont il faut se méfier et s’éloigner, n’est pas inclus dans l’éducation actuelle,

pourtant si je prend 2 enfants d’une même maternité, si l’un est exposée a la cannabis dés sa sortie ( tolérance, c’est culturel) et pas l’autre,

si l’un est familalement persuadée qu’il doit guider sa vie en fonction de la parole de machin, ( tolérance, machin c’est forcément bien), et pas l’autre,

si l’un franchi le cap de la majorité déja en dehors des clous de la loi républicaine, et pas l’autre, étonnement leur vie, même né a potentiel égal, ne sera pas la même, mais toutes les cultures se valent et la tolérance C’est LE truc a apprendre pour se soumettre a n’importe quel autoritée, puisqu’elles se valent toutes.

Et enfin, lorsque l’enfant sait qu’il va passé sa vie a payer les dettes des générations précédentes, qui en ont bien profiter, pour finalement lui laissé la faillite collective d’une société et les emmerdes individuelles, leur autorités, la solidarité transgénérationnelle, et autres conceptes, devient surtout une envie de rejet,

le procés qui par du constat " les générations précédentes dans leur trip jouir de la vie sans entrave, surtout rester jeune et ne pas être parent pour y arriver", ont niquer pour me faire, mais m’ont niquer par l’irresponsabilité infantile de leur vie, ne fait que commencé, et l’autorité des "anciens" ou "anciennes" devient surtout avec quoi ils justifient leurs égoisme et leur besoin qu’on s’occupe encore d’eux. 

et enfin dernier point de réflexion ajoutée, mais au nom de quoi, au masculin, vouloir exercer une autorité que l’on sait a merci de la décision d’autres, et souvent exclue de sa propre exemplarité.

Pourquoi utiliser son affection vers l’exercice d’une autorité saine lorsque le premier couillon qui frappe sa femme en lui faisant peur avec sa bande de copain est plus sur de voir ses enfants tous les jours tout en couchant avec d’autres femmes a l’envie d’un samedi soir, 

que le gentil qui voit précarisé son amour paternelle, mis sous tutelle s’il ne pas cède a tous les caprices de l’autorité féminine.

Pourquoi, lorsque l’ivrogne comme le sobre, l’honnète comme le repris de justice, le travailleur comme le fainéant, le nouveau français comme l’ancien, le croyant comme le conchieur du divin, ne sont pas moins séparée par la loi de leur gosses, sur simple envie de coucher avec quelqu’un d’autre de leur femme. 

Pourquoi vouloir faire perdurée une société qui se moque a ce point de l’amour paternel, le divise en explicant que les uns sont forcément de mauvais mari et père, et que les autres sont forcément des obsédé ou des soumis gamins attardés,

persone n’a envie de voir se fille avec tel ou tel autre homme, de tel autre catégorie social, alors plus on les criminalise, les diabolise, plus ça nous arrange... jusqu’au jour où devant la même loi, la meme sanction s’applique, coupable. C’est bien pour ça que ceux qui sont habituées aux tribunaux dévellopent des méthodes préventive comme brisé le mental des femmes pour que surtout elles ne portent pas plainte, ce qui dans le domaine des viols comme le souligne un autre article, est enfin constaté.

voilà, a qui a envie de lire et de réflechir sur l’absence de concensus sur une autorité saine au sein de la société française non divisiée par ses sous groupes identitaires, bon courage, même le suffrage universelle et la démocratie ne suffisent plus.

amicalement, barbouse.


Voir ce commentaire dans son contexte





Palmarès