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Commentaire de barbouse

sur La philosophie politique : faut-il tout repenser ?


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barbouse, KECK Mickaël barbouse 25 juin 2008 16:10

bonjour,

en général je goute peu au joies des historiens de la pensée qui d’une étiquette, d’un mot fourre tout, d’un nom, raccourcissent l’oeuvre complète d’essai et d’erreur des penseurs passé, tous comme les étapes de l’histoire et de l’évolution de la pensée humaine a des fins utiles pour leur propos.

mais pour ce qui est du sujet que vous proposez, le pouvoir,

j’aimerai y ajouté qu’il est dommageable que vous ne mentionnez pas les étapes de son rejet par la population, moment préalable a chacune de ses mutations.

en y regardant de plus prêt vous constaterez que c’est la nature humaine, en tant qu’espèce, qui génère sa hiérachie en fonction de ses besoins et légitime le pouvoir qu’elle génère sur elle même, pouvoir qu’elle juge constamment sur l’autel de son efficacité et de son utilité véritable ou espèrer.

c’est la pertinence des critères avec lesquelle la population juge le pouvoir qui change, par les essai erreurs consécutive de sa propre histoire, ce qui nourri son seuil d’exigence. la séparation des pouvoirs est un seuil d’éxigence atteind par les peuples qui ne veulent plus s’entretuer.

la manière dont la population a théorisée la transmission du pouvoir a changer aussi par constat d’échec, l’obéissance a une caste héréditaire, c’est aussi finir par obéir a un faible d’esprit mais héritier en titre, attisant les conspiration devant les faillites du pouvoir, et encore du sang versé.

les guerres de religions qui font s’entretuer des villages voisins ont pousser le peuple aà imaginer et valorisé la laicité pour se garantir sa sécurité et son unité, ce n’est pas une idée issue de nul part et qui ne protège pas moins le prosélyte que l’athée.

l’autorité médicale s’accrois avec leur nombre de patient satisfait, encore aujourdh’ui, lorsque 2 voisins tombent malade d’une même maladie, si l’un voit un médecin moderne, et l’autre va voir le magicien marabout new age, lorsque l’un s’en remet en 3 jours, l’autre paye encore une consultation 2 mois aprés, il y a bien un moment où l’autorité du magicien sur son patient perd en crédibilité lorsqu’il tape la discute avec son voisin en pleine forme... 

l’espoir dans la science c’est bien parce qu’ils trouvent de temps en temps, les populations génèrent des soldats c’est bien parce que si elle le font pas, ou pas assez bien, elle se sont faite massacré et pillé par les voisins, la justice, la police, c’est bien parce que le crime existe.

l’autorité économique, que je constate beaucoup fantasme comme LE pouvoir, ne tiens que sur un postulat admis entre échangeur de bien et de services, c’est un concensus qui n’existe pas a l’état naturel de l’espèce humaine, ce qui induit que cette "autorité" est une vue de l’esprit partagée.

Beaucoup la confonde avec l’impression de modernité de nos civilisation, alors que cette modernité est d’abord dûe a des chercheurs, qui, force est de le constater, on trouver par l’usage de leur capacité humaine, pas leur chéquier.

il en va de même pour les mouvement sociaux et les autorités qui s’en glorifie, sans l’inventeur de la pilule, sans les recherches médicales pour l’ivg qui préserve la santé de la femme au maximum, pas de révolution de la libération de la femme et du fardeau de ses grossesses involontaires, tout simplement parce qu’avant c’était risquer sa vie donc condamné par l’église, et trés difficile.

on met souvent en avant la révolte, comme mai 68, la révolution française, comme la véritable lutte contre le pouvoir et l’autorité établie,

on oublie fréquemment la passivité, la désobéissance docile, la mollesse active, l’acceptation du travail mal fait, ce qui fait qu’a certain moment charnière, le pouvoir décisionnel s’embourbe au lieu de stimuler, a besoin de confiance, de crédibilité, d’émotion positive engendré dans son utilité, pour être au moins un peu obéis.

l’exemplarité et la vision cohérente d’un avenir dynamique sont les moyens de communication de l’élite les plus absent aujourd’hui, 

Qui n’a pas finalement remarqué que les 2 candidats au second tour de la dernière présidentiel voulaient " rassembler tous les français", mais n’ont déja pas été capable ni l’un ni l’autre de garder leur conjoint.

Qui n’a pas remarquer que le temps qu’on passe a réflechir sur une posture médiatique pour plaire au public est du temps qu’on ne passe pas a chercher des solutions efficaces pour le peuple ?

On constate la force de certaine expressions dans leurs capacité a mobiliser des actes concrets, si l’expression perd de son sens, cela veux dire que la valeur qu’elle utilise pour mobiliser l’effort perd de son importance dans la conscience collective de la population. 

Si je prend l’expression "au service de la france" par exemple, pour combien de % de la population ça veut dire " ça m’importe, j’y vais, j’agis, oui la tout de suite, qu’est ce que je dois faire pour mon pays" ?.

faites le test, posez la question autour de vous, vous verrez qu’agir au service de la france n’est pas une expression qui mobilise beaucoup d’énergie active spontanément, il faut juste veillez a bien poser la question, 

 qu’est ce que vous feriez pour la france vous, pas avec vos impots, mais vous, avec vos actes, gratuitement, par principe, mobilisateur, et constatez que c’est inversement proportionnel que le nombre de personnes qui veulent devenir fonctionnaire pour vivre loin de la peur du chomage.

vous constaterez que vous obtiendrez beaucoup de réponse qui veulent dire " rien de plus",

du je fais déja ça pour la france, en je paye mes impots, en passant par le "j’attend d’abord de voir ce qu’elle fait pour moi, ce qu’elle ne fait pas je le sais déja." Et la mise en avant de " je devrai plus faire attention a trier mes poubelles".

faite bien attention a trier ce qui est dit, du genre "je mourrais pour mon pays" dans la bouche d’une personne qui ne sait pas ce que c’est que de risquer sa vie, ou pour qui le nationalisme c’est une manière de consommer du spectable, comme dans un club de supporter avec drapeau, hymne, avec l’orgueil de choses pour lesquels on ne contribue en rien mais qu’on peu regarder avec l’impression que c’est un peu grâce a nous, etc..

Aprés ce genre de test, que je vous conseil de faire pour voir la réalité d’aujourdh’ui, autour de vous, comme ça autour d’une pause café, etc... ça évite de se glauser sur l’histoire des penseurs pour essayé d’en avoir une,

on peu souvent déduire que l’idée de la france est devenue une espèce d’héritage génant, le cumul de politiques d’aveugles de la réalité social et d’incapable, une grandeur passé déprimente, avec éventuellement une fierté passagère pendant tel ou tel moment de l’histoire, 

mais n’étant plus spontanément porteuse d’énergie active, l’idée de la france s’affaiblissant, elle porte de moins en moins un pouvoir mobilisateur, réformateur, etc... de gauche de droite du milieu, peu importe, ce qui se fonde sur une idée en baisse d’énergie mobilisatrice ne peu que s’affaiblir en même temps qu’elle.

les principes égalité, fraternité, solidarité, institutionalisé, sont privatisé par l’état, qui n’étant plus la représentation du peuple mais la représentation de partie politique noyauté par des groupes d’intérets, ne sont plus les garants de l’unité national,

parce qu’on ne commande pas l’envie d’égalité, le sentiment de fraternité, l’acte spontanée de solidarité, ils naissent au sein de la population, qui s’organise pour leur donner de l’efficacité, au sein d’une association ,d’un partie, d’une politique, etc.. lorsque le tissu même de l’expression publique, des parties politiques, est phagocité, le peuple s’exprime quand même, engendre la peur et le dépit dans le coeur de ses dirigeants, et ça devient tendu.

pour revenir a votre interrogation sur une philosophie politique du pouvoir, a mon avis cela ne peut se faire sans des apports philosophiques préalable, avant c’est du recollage de morceaux passéiste.

notamment sur la nature harmonieuse de la construction identitaire multiple d’un citoyen au sein d’une unité national ou continentale,

comment générer l’individu qui conscientise son JE SUIS, d’une suite d’identité secondaire " né le, a tel endroit, de sexe, de parents, etc...’ qu’il harmonise positivement pour lui servir a interagir positivement avec la société.

c’est un peu comme la pensée formelle partagée comme critère de vérité établie entre les peuples,

1+1 égal 2, tout le monde est d’accord, ce n’est pas moins vrai si cette vérité mathématique est prononcée par un croyant d’un athée, un allemand d’un rwandais, une femme d’un homme, etc..

l’identité premiere humaine a elle aussi, avant de se diviser en différence, un ensemble de vérités formelles qui reste culturellement a établir. Le potentiel d’apprentissage humain, par exemple, est établi sans autre distinction, même un enfant avec le 21 eme chromosome surnuméraire a un potentiel d’apprentissage comparé a ça son état naturel en naissant.

C’est seulement a partir de là qu’un gouvernement national comme celui de la france peut commencé par une constitution qui commence par " la france est une et indivisible",

parce que la nature humaine de chacun de ces citoyens l’est tout autant et c’est seulement dans une société française qui communément reconnais comme tel ce prima de vérité établie sur l’unicité de la nature humaine sur l’ensemble des différences qui compose une société, que le peuple français peu générer un pouvoir légitime.

Pour ceux que ça intéresse, d’une logique de "tolérance", qui par définition, a des limites et induit des conflits identitaires patent, des confusions de valeurs et des références incompatibles entre elles,

autant dans la conscience d’etre soi d’un seul individu que dans des groupes, 

on passe a une logique d’unicité primordiale, qui reconnais la diversité humaine comme élément naturel de son adaption guidée par la survie de l’ensemble de l’espèce, considérant comme naturel autant l’instinct de préservation raciale des uns, que la mixité des autres, comme contributif a la survie de l’espèce toute entière.

Nul ne pourra jamais nié ce qu’il voit quand il constate une différence de couleur de peau, d’accent, de conviction, et l’impression que ça lui est étranger, autre, potentiellement hostile, etc... mais nul ne peut nier l’appartenance a l’humanité de l’autre, et surtout son lorsqu’il s’avère et s’exprime sur des critères communément admis de vérité établi.

il y a une histoire de l’harmonisation des peuples qui étapes par étapes surmontent leur divisions pour devenir des ensembles de population de plus en plus capable d’assurer leur vie collective, devenir plus puissant, la construction de l’europe en est une, l’héritage d’un ancien empire colonial aussi, et le pouvoir de demain ne peut se fonder sans une harmonisation identitaire,

non pas consenti, mais voulu, non par tolérance, mais par motivation dans la construction d’une unité de population plus grande sur la base d’une unicité de valeur reconnu comme positive par tous.

voilà, je retourne a l’écriture de mon roman,

amicalement, barbouse,

qui vous aime bien monsieur dugué, dommage que vous avez étiquetté et orienté votre pensée au sein d’un mouvement politique, la philosophie prend en compte le caractère naturel de l’homme et sa fragilité tout comme l’ignorance de son point de départ dans la vie, sinon comment le faire avancé vers plus de sagesse et de discernement ?

vous verrez par exemple que lorsque nous aurons une femme présidente, pas ségolène, mais une femme présidente, la france assimilera que l’autorité féminine n’est ni meilleur ni pire, que ses travers ne sont pas moins existant que ses bonnes idées, et que ce faux combat démagogique n’est ni la question ni la réponse à la réalité pragmatique, qui veut que sous une dictature ou une démocratie, le bébé ne sourit pas moins a sa mère, sous tatcher ou tony blair, les anglais ne sont pas moins mort a la guerre en irak.

++


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