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Commentaire de Djanel

sur Les nouveaux sans-culottes : les sans-cravate


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Djanel 17 juillet 2008 21:55

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Papy en littérature les pseudos sont souvent utilisés comme par exemple avec Molière, Voltaire, Romain Garry… etc. C’est l’usage du pseudo qui prévaut ici. La justice reconnaît les allias dans les identités. Si une communauté vous donne un surnom, la justice reconnaîtra ce surnom par réputation… etc. … ce qui veut dire que si vous diffamez Morice, Morice pourra porter plainte. Dans ce cas, il lui suffira de prouver qu’il est ce Morice et avec tout ce qu’il a publié avec ce pseudo, ce sera un jeu d’enfant de convaincre la justice et d’autant plus facilement qu’il n’a jamais changé de pseudo.

Si vous croyez que vos changements de pseudos vous garantissent l’anonymat, détrompez-vous, la justice obligera votre fournisseur d’accès à fournir les informations vous concernant et permettant de vous identifier quel que soit le pseudo utiliser qui s’ajoutera à la liste. Votre identité sera aussi révélée par votre compte rédacteur lors de votre inscription : le numéro de téléphone étant votre identifiant même si vous en avez donné un faux, il y a des logiciels capables d’identifier le numéro d’appel. Si un procès en diffamation ou autre chose est lancé contre vous, les risques de payez les frais d’expertise seront déjà suffisamment énorme pour vous dissuader de recommencer.

Devant la justice, c’est la loi qui s’applique quel que soit le préjudice qu’aurait subi le plaignant. Demandez donc le conseil d’un avocat.

Tall, nous l’avons suffisamment averti qu’il commettait un délit lorsqu’il obligeait Morice à blasphémer. Une plainte sera suffisante pour attirer des associations qui ne demandent qu’à gagner du prestige en se portant partie civile et par la même occasion de l’argent en réclamant des dommages et intérêts. Je crois que Tall ne comprend pas le monde dans lequel il vit. Il devrait interroger Philippe Vassé qui en connaît un rayon sur les pratiques de certains maires qui ont porté plainte systématiquement dans le 92 contre leurs opposants. Même s’ils perdaient leur procès, ils faisaient appels ce qui augmentaient les frais de procédure en ruinant et en tourmentant tous ceux contre qui ces plaintes ont été dirigées. Et comme, ils agissaient au nom d’une municipalité au bout du compte, c’était le contribuable qui payait l’addition des frais de justice. Leur technique était simple : faire reconnaître par la justice que leurs plaintes étaient nécessaires et de bonne foi pour que la partie adverse se ruine en procès sans obtenir le dépend à leur avantage.

Avis aux amateurs.


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