• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile


Commentaire de frédéric lyon

sur Fils à haute tension


Voir l'intégralité des commentaires de cet article

frédéric lyon 26 avril 2009 09:07

« Précédemment, je n’étais pas à même de reconnaître avec la clarté désirable, la distinction entre ce capital proprement dit, dernier aboutissement du travail productif, et le capital dont l’existence et la nature reposent uniquement sur la spéculation.
J’en étais désormais capable grâce à un des professeurs du cours dont j’ai parlé, Gottfried Feder.
Pour le première fois de ma vie, je conçus la distinction entre le capitalisme international de bourse et celui de prêt.

 — Adolf Hitler, Mein Kampf, tome 1, chapitre VIII, p. 208-209

« Lorsque j’entendis le premier cours de Gottfried Feder sur « la répudiation de la servitude de l’intérêt du capital », je compris immédiatement qu’il devait s’agir ici d’une vérité théorique d’une importance immense pour l’avenir du peuple allemand. La séparation tranchée du capital boursier d’avec l’économie nationale présentait la possibilité d’entrer en lutte contre l’internationalisation de l’économie allemande,
[...]
La lutte contre la finance internationale et le capital de prêt est devenu le point le plus important de la lutte de la nation allemande pour son indépendance et sa liberté économique. »
 — Adolf Hitler, Mein Kampf, p.212


Voir ce commentaire dans son contexte





Palmarès